Sur les étagères, une réelle surprise pour cette fois : c'est une vraie rareté, longtemps introuvable, et, aujourd'hui encore, difficilement trouvable. A savourer comme un grand cru, donc !
C'est ici !
Sur les étagères, une réelle surprise pour cette fois : c'est une vraie rareté, longtemps introuvable, et, aujourd'hui encore, difficilement trouvable. A savourer comme un grand cru, donc !
C'est ici !
C’est parfois faux, au piano notamment, au chant aussi ! Mais c’est encore très bien, de la part d’un groupe qui a survécu, loin des modes, depuis le milieu des années 60, malgré les renouvellements fréquents de personnels.
J’ai presque effectué ma semaine de 35 heures en moins de trois jours : je pourrais travailler chez Amazon et je devrais même y survivre.
Du coup, j’ai eu très peu de temps pour écouter un peu de musique, et n’ai pas avancé d’un mot dans mon roman depuis lundi. J’ai quand même jeté une oreille aux inédits des Beatles publiés sur iTunes : franchement, ça ne va pas me pousser à apprécier davantage le groupe, c’est vraiment très proche de la variété, si si : c’est gentillet, et même pas très bien joué !
Quand on écoute les inédits de la même époque des Rolling Stones, on comprend tout ce qui sépare les deux groupes (même si les cris des adolescentes et les scène d’hystérie collective sont les mêmes, les charges de policiers dans tous les pays du monde et les salles dévastées lors des concerts des derniers, ça a une autre gueule !!! ). L’entreprise, au demeurant, est essentiellement commerciale et en lien avec la réforme de la durée de vie des droits d’auteur (prolongée à 70 ans en Europe, mais pas encore transposée en doit français si je ne m’abuse).