Lecture décevante…

Hier, j’ai emprunté à la médiathèque le livre que je vous présente à votre droite –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. Il est en effet assez difficile de trouver des ouvrages consacrés à Felix Mendelssohn en français, et celui-ci me faisait donc d’autant plus de l’oeil qu’il s’agissait de l’unique monographie consacré au musicien.

J’étais donc rentré tout content, et enthousiaste à l’idée d’en savoir un peu plus sur ce compositeur que j’aime décidément de plus en plus ! En fait, le livre s’avère très décevant : une construction bizarre, ni vraiment thématique, ni complètement chronologique; une écriture abstruse; des considérations en circonvolutions implicites… Le début est intéressant, car il présente une vision assez rapide de l’Allemagne d’alors, et notamment du Berlin du début du 19ème siècle, mais l’alignement un peu à la chaîne des nombreux personnages qui accompagnèrent l’enfance puis la jeunesse de Mendelssohn s’avère vite lassante…

Au demeurant, c’est vite lu, mais ça pourrait être plus informatif avec une construction plus ferme et moins de disgressions confuses. On ne fait que deviner le caractère vraisemblablement très attachant de ce grand musicien si injustement honni presque tout de suite après son décès.

Je me suis malgré tout demandé si ce n’était pas de ma faute –après tout, certains jours, on peut passer côté d’un livre…-, mais les critiques lues ici ou là a posteriori semblent confirmer mon exact ressenti face cet ouvrage.

Il ne me reste plus qu’à trouver, sur le même sujet, un autre livre mieux construit et plus agréable à lire.

Mort d’une légende

C’était l’un des plus grands, voire le plus grand, « songwriter » du 20ème siècle, un interprète de grande talent, un excellent guitariste et un caractère de cochon : Chuck BERRY est mort ce jour à plus de 90 ans –il était né en 1926-, endeuillant une planète rock qu’il avait si profondément marquée de son empreinte. Il rejoint Johnny B Goode, qui l’attend déjà dans les étoiles…