Playlist vivifiante pour réveiller les voisins !

Playlist07062015Entamée assez tôt ce matin –7h30 quand même-, cette playlist va me faire des amis dans le voisinage ! J’ai cependant veillé à ne pas élever le volume sonore au-delà du raisonnable des limites tolérables pour une cohabitation apaisée –et ça dort encore à poings fermés dans la maison-.

En même temps, même si la chaleur accumulée ces derniers jours s’est un peu dissipée, impossible quand même de rester couché –qui plus est, entre mon agenda chargé, même si aujourd’hui, c’est relâche, et des déplacements nombreux et parfois un peu longs, je dois être tout décalé…-.

La météo prévoit une amélioration pour aujourd’hui, ce qui implique une baisse bienvenue des températures, qui me convient très bien !

Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand : il y a de bien belles et bruyantes vivifiantes choses dans cette playlist !-.

Copie et original, dans cet ordre

CouronneAujourd’hui, on va parler de foot –un peu– et de poésie –un peu aussi, parce que le sujet s’y prête assez peu en définitive  :mrgreen: -. Hier soir, donc, « Barça : más que un club » a remporté un joli trophée, assez logiquement si l’on considère le match et l’ensemble de la saison, qu’il a éclaboussé de sa classe et d’un état d’esprit qu’on aimerait voir plus souvent : solidarité, joie de jouer, bel esprit collectif…

A cette occasion, on peut entendre l’hymne de l’UEFA –la branche européenne de la Fifa qui est l’objet de tant de remous et d’enquêtes actuellement-, et dont les paroles, qui s’affichent dans la petite vidéo, sont assez : ¤ risibles, ¤ nulles, ¤ ridicules, ¤ de haut niveau poétique –je vous laisse le soin de cocher ce qui vous conviendra le mieux, selon votre humeur et votre sensibilité-.

GFHandel

Cette musique, cependant, n’a pas été écrite pour la circonstance : on ne peut pas demander à des footeux d’être en plus des musiciens, ils ont déjà assez de mal avec la poésie  :mrgreen: ! En fait, il s’agit d’une adaptation de l’un des hymnes pour le couronnement du roi –ou de la reine, ça peut arriver chez eux– d’Angleterre et du Royaume-Uni, écrit par George-Frideric Handeloui, celui du Messie et de son Alleluia si célèbre, ou de la non moins célèbre Water Music-, que Beethoven considérait comme le plus grand musicien ayant jamais vécu –avant lui, s’entend-.
Les paroles de cet hymne, tirées du Livre des Roi dans la bible, sont les suivantes :
Zadok the Priest and Nathan the Prophet anointed Solomon King.
And all the people rejoic’d, and said:
God save the King, long live the King, may the King live for ever!
Amen Hallelujah!

Mis en musique, cela donne ça :

Playlist « En attendant le soleil »

Météo tristounette ce matin : le soleil –quand on le voit– fait grise mine ! Pour passer le temps agréablement, tout en vaquant à d’autres choses futiles, une petite playlist riche en couleurs… Un petit aperçu sonore, sous l’image, pour vous donner une idée : petit bijou, extrait d’un magnifique album, vraiment,  pour appeler le soleil…

– Cliquer sur l’image pour la voir en grand…-

Playlist30052015

Objet(s) pour collectionneur, la suite

Je vous parlais dans ma précédente notule de mon tout premier disque de musique Pop-Rock acheté. Voici les tout premiers 33 tours qui composaient, bien avant, ma discothèque classique, entamée en octobre 1972… Evidemment, tout cela a été racheté en CD par la suite, au gré des rééditions : on revient toujours à ses premières amours, même si dans certains cas, le souvenir qu’on en garde va bien au-delà de la valeur réelle de la chose ! Les Beethoven, notamment, étaient de plus ou moins gros coffrets de 5 à 19 disques dont je n’étais pas peu fiers !

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DiscoClassiqueDebut

Playlist 80’s

Playlist24052015Chaque dimanche matin, Gilsoub allume une petite touche de nostalgie dans ses chroniques consacrées aux élus du Top 50, véritable institution d’une époque que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître.

Ses notules nous renvoient ainsi vers des musiques et des images parfois oubliées depuis longtemps, plus rarement –à ce stade de ses chroniques, au moins– vers des choses qui sont passées dans une postérité de court terme, comme aujourd’hui –d’autres verront dans un siècle ce qu’il en restera : pas sûr d’y retrouver grand-chose…-.

Du coup, ce matin, je me suis concocté ma traditionnelle playlist dominicale et matinale : elle est consacrée aux 80’s, avec des trucs qui sont restés, au moins pour moi : pas forcément des morceaux qui ont marqué le Top 50 –quoi que : plusieurs de ces titres ont magnifiquement cartonné dans les charts à l’époque de leur sortie-, mais des mélodies faciles et entêtantes, qui font de ces chansons des petits moments de bonheur pour entamer la journée dans la bonne humeur ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

A l’époque où elles se déroulaient, les 80’s avaient une réputation peu engageante –c’est toujours mieux avant, on le sait bien– : arrivée des boîtes à rythme, des synthés et des sonorités électroniques, simplification à outrance d’une musique déjà simple dans son essence, paroles généralement éloignées des problématiques sociales ou sociétales après une décennie marquée par l’emprise desdites problématiques de nombreuses mouvances de la « Pop Rock music » –c’est revenu un peu plus tard-… Avec le recul, et la nostalgie aidant –et l’évolution de cette musique vers des choses bien plus insipides, pour tout dire-, on s’y fait assez bien. Après tout, on y avait 20 ans !

Pour le plaisir, ajoutons un petit extrait de cette playlist, ci-dessous.

Noël, c’est le 3 juillet !

FricsayVol2Je vous avais parlé, à Noël, de mon potentiel futur cadeau de Noël pour 2015…

Cette année, Noël devrait arriver en juillet, puisque la sortie de mon futur cadeau du « grand barbu rouge qui passe par la cheminée » est officiellement annoncée pour le 3 juillet 2015.

-Cliquer sur les images pour les voir en grand-.

Et, si je ne me précipite pas, il risque de ne plus y en avoir en décembre. Noël avant l’heure, c’est parfois économiquement justifié  :mrgreen: !

91ddPePs8KL._SL1500_En effet, le premier coffret semble s’être très bien vendu, et n’est plus accessible maintenant qu’à un prix beaucoup moins accessible, justement –en gros, par rapport à la fin de l’année dernière, le prix a doublé, pour le moins, voire triplé par rapport à mon magasin en ligne à l’étranger, où les tarifs sont bien plus avantageux pour ces gros objets, en tout cas moins chers que le tarif annoncé pour l’instant pour ce coffret…-.
Donc : de futures pépites -38 exactement- à poser sur ma platine –quelques doublons en perspective, mais c’est inévitable…-, et je m’en réjouis d’avance ! D’autant que la présentation est soignée et la ligne éditoriale –réplique des pochettes d’époque, textes de qualité…– alléchante…
En attendant, il va falloir que je fasse un peu de place sur les étagères –ou que je négocie l’achat d’une colonne supplémentaire, il me reste encore un petit bout de mur, mais ça, ce n’est pas gagné !-.

A King is gone…

Jagger-BBKingL’annonce a fait les choux gras de la presse, dès hier : BB King n’est plus. Surnommé « Black Boy King » par les blancs racistes du sud des Etats-Unis au début de sa carrière, il se renomma lui-même « Blues Boy King », afin de garder les mêmes initiales. On  ne l’entendra plus, de même qu’on n’entendra plus Lucille, sa très belle guitare –une Gibson ES335 relookée rien que pour lui-.

Des trois King du blues –Freddie King, Albert King et, donc, BB King-, c’était celui qui me parlait le moins, car représentant d’un blues rural du sud, à l’inverse du blues plus urbain des deux premiers cités, qui allait progressivement déboucher sur le Chicago Blues. Mais je l’appréciais néanmoins beaucoup.

Ayant entamé une carrière couronnée d’un succès relatif au début des années 50, il sera éclipsé durant une grande partie des sixties par l’émergence de la vague du british blues, et il faudra attendre 1969 pour que sa carrière redémarre pleinement.

BBKingHeavenGrâce à son titre le plus connu « The thrill is gone », d’une part, et aux Rolling Stones, d’autre part, qui le choisirent, avec Ike and Tina Turner, pour ouvrir leurs concerts lors de la tournée US de 1969. Il en reste les traces –show complet-, que Lester Bang, le grand critique rock américain, qualifia de plus grand live jamais enregistré.

Personnage débonnaire, grand guitariste par le feeling et un toucher exceptionnel, il nous manquera. Restent tous ses disques, et de nombreuses vidéos, qui montrent que son plaisir de jouer était resté intact jusqu’à la fin.