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Bienvenue dans l’atelier relooké ! Tout a été refait, du sol au plafond… Si vous êtes perdu-e, pas de panique, cliquer n’importe où, vous arriverez toujours quelques part !

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Playlist « Totale découverte dominicale » !

Playlist inédite ce jour, puisque consacrée à un artiste dont je ne vous avais jamais parlé jusqu’à présent, que je viens moi-même de découvrir au détour de lectures effectuées presque par hasard… Et pourtant, chose que j’ignorais, Meat Loaf est un énorme vendeur de disques dans le monde entier, sauf en France, où sa notoriété …

Playlist du très original au remarquablement commun !

La playlist du jour est remarquablement contrastée, puisqu’elle est constituée d’un album consacré à la niche de la niche -le disque a dû se vendre à moins de 100 exemplaires sans doute…- d’une part, au quatrième album le plus vendu de l’histoire du disque en France, d’autre part ! –Cliquer sur l’image pour la voir …

PHOTOS

La galerie des photos, c’est ici ! -…mais elle n’est plus à jour ! –.

Capture d’écran 2013-12-15 à 09.51.44

 J’utilise actuellement les appareils suivants -je ne les utilise plus…-

FujiS200EXR

Un Fuji S200EXR, bridge qui bénéficie d’un excellent capteur et d’un objectif plus que correct –équivalent 28-450-. Le meilleur bridge que j’ai eu l’occasion de tester lorsque je l’avais acheté, mais il était sensiblement plus cher que ses principaux concurrents. Les nains l’ont récupéré, mais je crois qu’ils ne s’en servent guère…

Nikon_D3000

Un petit Reflex Nikon D3000, qui est léger et agréable à utiliser au quotidien. Il y a sûrement mieux à beaucoup plus cher, mais il suffit amplement à mon usage ! Son achat fut l’objet d’un sketch, lié à une erreur d’étiquetage en boutique qui m’a valu de l’acheter tout équipé à prix fracassé…

MàJ (mai 2019). Ce Reflex fera désormais le bonheur –ou pas ?– de TheCookingCat, puisque je viens de trouver un formidable Nikon D7100 en occasion, à un tarif plutôt très attractif.
Corollaire de son exceptionnel capteur, mes objectifs actuels s’avèrent un peu légers eu égard aux performances de l’objet… L’achat d’une focale fixe à grande ouverture pourrait remédier à la chose !

Il est complété de deux objectifs : un 18-55 et un 55-200 qui sera remplacé sous très peu par un 55-300 ou un 70-300. –C’est désormais chose faite, comme indiqué ici. Je ne les utilise plus, je les ai tous donnés à TheCookingCat.

ObjPhoto

MàJ avril 2021. J’utilise désormais deux objectifs seulement : un 35 mm -équivalent ± 50 mm sur un capteur APSC- très lumineux et un zoom 55-300 stabilisé assez polyvalent et d’un très bon rapport qualité-prix. Je suis donc parfois limité en grand-angle, et l’achat d’un bon objectif genre 18-55 reste à l’étude…

L’ensemble de ce matériel –boîtier + optiques dans leur housses de protection, avec pare-soleil et bouchons…– est désormais transporté à dos d’homme dans un joli et robuste sac-photo, rembourré comme il faut, éventuellement protégé en cas de pluie, bien compartimenté et très pratique, puisque je peux y fourrer en sus différents filtres, des batteries de rechange ainsi que leur chargeur et, accessoirement, un pied –lourd et encombrant…-.
J’y range également mes papiers, voire de quoi manger si je pars pour journée ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

 

imagesAperture_Icon

Pour le traitement des fichiers RAW, j’utilise essentiellement DxO ou Aperture il faut que je lui cherche désormais un successeur, la faute à Apple !-. Les images sont gérées via ce dernier, qui mériterait une mise à jour ! Mais il fait de très beaux albums imprimés…

MàJ. Depuis l’abandon très regrettable d’Aperture par Apple, j’ai testé pendant très longtemps tout un tas de prétendants à son remplacement, m’offrant à la fois des solutions de catalogage simple et souple et une bonne puissance de post-traitement…
A vrai dire, j’y avais tant développé mes habitudes de travail et automatisé tant de routines que je n’ai rien trouvé d’aussi satisfaisant, pour des raisons qui tiennent plus à moi qu’à la qualité des applications testées.

En définitive, j’ai trouvé une solution qui me convient relativement bien : j’utilise l’application basique « Photos.app » d’Apple, pour la catalogage, qui me permet de retrouver mes habitudes de classement et de tri, et, pour le post-traitement des fichiers RAW, j’y ai intégré des modules d’excellente qualité, qui m’offrent une belle puissance de travail –et, notamment le module RAW Power, assez proche du moteur d’Aperture-. Mieux qu’un pis-aller, donc !

MàJ avril 2021 : RAW Power, outre qu’il continue à être développé et à s’améliorer, dispose désormais d’un assez convenable catalogueur d’images –qui se synchronise automatiquement avec celui de Photos.app– et peut tout-à-fait être utilisé de manière autonome –cf. cliquer sur l’mage ci-dessous pour la voir en plus grand-. : c’est ce que je fais plus souvent. Certains clichés post-traités bénéficient aussi, désormais, d’améliorations modérées dans LuminarAIcf. icône de droite-, lorsque je veux leur donner une ambiance toute différente ou les modifier plus radicalement.
Je continue cependant à utiliser Photos.app, qui constitue la solution la plus pratique pour l’export et la sauvegarde des photos dans le cloud, mais également pour la synchronisation des photos parfois réalisées avec un iPhone.

MAC MUSEUM

A une époque où Apple fait beaucoup parler d’elle pour ses iTrucs – pod, pad, phone…-, on oublierait presque qu’elle fut d’abord un innovant et souvent brillant constructeur d’ordinateurs !
Voici mon musée du Mac : tous ceux que j’ai utilisés régulièrement depuis la fin des années 80.

On retrouve donc, dans l’ordre : un Mac SE, auquel succéda un Mac Classic –celui-ci m’a duré fort longtemps-, puis un Performa 630 avec un écran 14 pouces couleurs et lecteur de CD Rom, ainsi que 12 Mo de Ram –énorme pour l’époque-, un lecteur de cartouches SyQuest EZ 135 Mo SCSI : j’entrais dans la modernité, d’autant qu’il était complété d’un très bon Powerbook 190 CS.

Les processeurs 680×0 ayant été abandonnés, je passais au PowerPC avec un PowerMac 4400 et un écran 17 pouces. Sur cet ordinateur, hors la carcasse, tout a été transformé : ajout d’un processeur G3, d’une carte graphique ProFormance 32 Mo –une bête de course en ces temps-là-, d’un disque dur de 60 Go –il était vendu avec un HD de 1,2 GO à l’origine-… Il était complété d’un scanner SCSI Agfa, excellent et silencieux et d’un graveur de CD qui m’avait coûté un demi-bras ! J’ai revendu cet ensemble et je sais qu’il tourne encore ! Lui succédèrent 2 eMac, un G4 700 MHz puis un G4 1,4 GHz. Très bonnes machines, attachantes et performantes, mais très bruyantes –ventilation-. Dans le même temps, et pour les nains, qui commençaient peu ) peu à grandir et à s’intéresser aux ordinateurs, j’achetais à tout petit prix une collection de Performa 5200 qu’ils utilisèrent assez longtemps, après qu’ils eurent été dopés en Ram.

C’est avec le premier eMac que je découvrais Os X –j’ai commencé avec Os X 1.0.6-. Le passage à Jaguar fut un vrai bond en avant ! Puis, j’ai revendu le dernier des deux pour acquérir un iMac alu 20 pouces, qui tourne encore actuellement, et un MacBook que j’utilise quotidiennement.

Désormais, je suis sur un iMac 21 pouces, bien pourvu en Ram, avec un disque dur relativement conséquent, complété de plusieurs disques de sauvegarde –trois en FireWire, trois en USB, une station multimédia qui navigue entre la TV et l’ordinateur et quelques disques nus insérés dans un rack toujours connecté en USB-. Il est relié à deux bornes Apple Airport Express pour écouter de la musique dans de bonnes conditions –connexion à deux systèmes HiFi– depuis l’ordinateur, les iPad ou l’iPhone, à trois imprimantes –une laser couleur et une jet d’encre et une imprimante photos-, un petit scanner, le tout au sein d’un réseau domestique assez complexe, mêlant l’ethernet, le Wifi amplifié et le CPL pour arriver tout au bout de la maison.

MàJ. mars 2019. Le MacBook blanc et l’Imac 20 pouces, qui sont encore fonctionnels, ne servent plus au quotidien à ce jour –l’iMac est encore dans son carton d(origine après le déménagement, en attente d’un transfert de ses données vers son remplaçant, un second iMac 21 pouces-. Quant au MacBook blanc, il a été remplacé par un MacBook Air tout neuf, très léger et tout fin, qui me donne entière satisfaction pour l’usage professionnel que j’en ai !

MàJ. Avril 2021. Nous avons rationalisé tout cela ! Désormais, restent à la maison : un iMac 27 pouces dopé en RAM et complétés de plusieurs disques SSD pour moi un MacBook 13 pouces dernier cri pour TheCookingCat, dans une moche couleur dorée quel adore –c’est elle qui l’a choisie…– ! Je continue également à utiliser quotidiennement le MacBook Air 2019 à des fins professionnelles.
Les 2 iMac 21 pouces ont été scratchés, nettoyés, vérifiés, totalement remis à jour et donnés : à cette heure ils fonctionnent encore tout-à-fait parfaitement !

Sur ces machines, les logiciels que j’ai le plus utilisés sont : Quark XPress –depuis la version 2.1– et Photoshop –depuis sa version 2, qui ne gérait pas les calques…-, iTunes depuis la version 1.0 –auparavant, j’utilisais SoundJam, qui fut racheté par Apple pour créer iTunes, justement-, Claris Works –devenu ensuite AppleWorks depuis la version 1 jusqu’à sa disparition –regrettable et regrettée-, MS Word et MS Excel depuis leur version 4 et à des fins professionnelles essentiellement, Keynote, depuis sa version initiale, offerte à l’époque au monde de l’éducation –avec Mac Os X.2 Jaguar-. Mail et Safari aussi, bien évidemment. Je me souviens également d’avoir fait mon tout premier site avec Claris HomePagevaguement wysiwig, on gérait la mise en page avec des tableaux, grosso modo, en utilisant assez peu de code...-.

MàJ. Octobre 2022. Pour finir dignement ma carrière et pour cette dernière année professionnelle, j’ai rajouté une pièce à mon musée : je me suis offert un petit bijou léger, compact et puissant, dont la batterie est d’une longévité exceptionnelle quant à sa durée de charge et l’écran d’une très belle qualité.
L’objet en question est un MacBook Air M2 –coloris : gris sidéral, donc assez sombre– obtenu à un prix très concurrentiel. L’ancien MacBook Air acheté en 2019 fait désormais une heureuse : c’est Trésor-de-Janvier qui en a hérité !

MON ÎLE DÉSERTE

Privilège de l’âge, mes goûts ont peu changé et sur mon île déserte, j’emmènerai de la musique, un livre et sans doute quelques films pour affronter les grands froids… Il fallait faire un choix, forcément très restreint, mon île déserte est toute petite ! J’emporterai avec moi le strict indispensable à une survie dans de bonnes conditions… Et choisir, c’est nécessairement éliminer !

BeethKarajan62 S’il ne fallait qu’une seule intégrale des symphonies de Beethoven, c’est celle-ci que j’emporterais, sans hésiter. Le son est beau, l’orchestre joue remarquablement bien. Ces disques, depuis leur parution en 1963 –coffret uniquement disponible en souscription dans un premier temps-, n’ont jamais quitté le catalogue de la marque, dont le chef était le plus gros vendeur –jusqu’à plus de 40% des ventes du label jaune-. Ils sont reparus dans de multiples collections en 33 tours, puis en CD et même en SACD, dans une splendeur sonore retrouvée. La meilleure des quatre intégrales -il en existe également une cinquième, excellente, en DVD, chez le même éditeur- du chef et une version majeure de ces oeuvres.

Beeth_Gilels Des 32 sonates pour piano de Beethoven, il doit exister une bonne centaine d’intégrales, dont aucune n’est réellement indigne. Plusieurs sont excellentes, et l’on ne saurait se contenter d’une seule. Faire un choix est difficile, voire impossible… Néanmoins, c’est une quasi-intégrale seulement que j’emmènerai : celle d’Emil Gilels, malheureusement décédé avant d’avoir eu le temps d’enregistrer les 32 –il en manque 5, dont, malheureusement, la dernière-.

Une vision puissamment architecturée, beethovénienne en diable ! Le pianiste modèle le son sur des tempi plutôt lents, mais on ne s’en rend guère compte, tant la dynamique et le contrôle du son –jeu de pédales– sont  impressionnants. Des enregistrements de toute beauté !

Bach_Gould La deuxième version studio des variations Goldberg de Bach du pianiste canadien, homme original et singulier personnage, est sans doute la plus connue de toutes les versions de cette oeuvre ! Parue au début des années 80, elle est très différente de la première –datant des années 50-, qui était intéressante, ouvertement virtuose et complètement azimutée. C’est ce premier enregistrement qui avait révélé Glenn Gould au grand public.

Les tempi sont assagis, la beauté sonore et la profondeur de la vision sont à couper le souffle. Il en existe une version filmée, quasi-identique, parue en DVD. Le pianiste est mort quelques mois après sont enregistrement, qui constitue son testament.

Bruck_Karajan• Huitième symphonie de Bruckner : de cette symphonie majestueuse, une vision épurée et distanciée, qui bénéficie d’un orchestre de rêve –l’orchestre philharmonique de Vienne, puisque les fâcheries réciproques avaient éloigné Karajan de Berlin-. Il en existe deux autres versions, avec Berlin, qui sont de très haut niveau également.

Les deux derniers mouvements sont exceptionnels et l’émotion palpable : le chef, malade et affaibli, allait décéder quelques temps après, et il s’agit de l’un de ses tout derniers enregistrements, en public de surcroît. La puissance du finale est phénoménale. Dans les pays anglo-saxons, Karajan était réputé, de son vivant, pour être le plus grand brucknérien… vivant.

Capture d’écran 2013-12-15 à 17.08.13• Le Ring des Nibelungen, de Wagner, c’est un monde en soi, et une oeuvre monumentale, composée de quatre opéras qui sont généralement donnés en une quinzaine. Pour les chanteurs, les musiciens et le chef, c’est un événement, autant que pour le public, d’autant que l’oeuvre supporte assez aisément des mises en scène très variées.

Cette oeuvre, comme tous les opéras de Wagner, trouve forcément mieux à s’exprimer dans son temple, à Bayreuth, où elle est jouée quasiment chaque année. C’est en 1953 que Clemens Krauss et tous les grands chanteurs wagnériens de l’époque en donnèrent cette magnifique vision. Des disques longtemps non officiels, que tous les wagnériens se passaient « sous le manteau » et thésaurisaient avant même leur parution officielle. Il en existe plusieurs éditions, toutes sont d’une qualité sonore pour le moins convenable. Du Wagner du plus haut niveau.

Edit juin 2021 : il existe de cette remarquable version une édition totalement remastérisée et nettoyée par l’éditeur français Pristine Classical qui apporte un confort d’écoute supplémentaire et vient encore conforter son statut de version princeps. Le prix en est malheureusement un peu élevé, mais parfois, quand on aime, on ne compte pas et à tout prendre, c’est cette édition que je retiendrais…

Certes, mon île reste toute petite, mais, évolution de mes goûts aidant depuis que j’y ai emménagé, il s’avère désormais indispensable que j’y emmène également quelques albums nécessaire à une survie des plus plaisante, quitte à construire une petite extension à ma cabane ! Afin de ne pas alourdir trop conséquemment ma barque, je vais faire preuve de pragmatisme et de rationalité en privilégiant quelques coffrets plus ou moins massifs…

Ainsi, Sibelius faisant désormais partie, avec Mendelssohn, de mes absolus chouchous, il est hors de question que je me passe de ces deux compositeurs. Alliant qualité et quantité, il m’a fallu opérer des choix sévères… J’ai donc prélevé dans ma discothèque cette assez copieuse anthologie Sibelius, presqu’uniformément remarquable, proposant un choix varié et judicieux et bénéficiant d’excellentes conditions techniques –ainsi que, pour l’anecdote, d’un copieux livret dont la version française vaut le détour, truffée de coquilles et de barbarismes du fait d’une traduction parfois approximative…-.

Le menu est encore plus copieux pour ce qui concerne Felix Mendelssohn, et trouver une anthologie « allégée » de ses oeuvres s’avère en réalité difficile.
Dans celle que j’emmènerai, en définitive, tout n’est pas égal, mais la diversité des genres pratiqués par le musicien est très bien représentée, et l’on y retrouve, notamment, une très vivifiante intégrale des symphonies et quelques oeuvres chorales de très belle tenue. Le reste -quatuors, concertos…- est un peu moins à mon goût, mais on ne peut malheureusement pas toujours tout avoir et je n’ai, à vrai dire, rien trouvé de mieux sous cette forme…

Enfin, j’ajouterai à cette liste un album supplémentaire qui prend très peu de place et qui n’alourdira pas beaucoup la barque, mais qui contribuera largement à égayer mon séjour : cet excellent disque Elgar –oui, je sais, on va me dire que ce compositeur n’est vraiment pas essentiel ! -reprend ses deux plus belles oeuvres à mes oreilles –les Variations Enigma et le concerto pour violoncelle-, dans des versions que j’apprécie particulièrement qui plus est.
Une anthologie en un seul disque, en quelques sortes, et qui suffit à mon bonheur : il fallait le faire !

Mais comme je ne saurais me contenter d’écouter que de la musique classique, j’emporterais également dans ma barque :
Beggars Banquet des Rolling Stones -leur meilleur album studio à mon avis, datant de 1968 : un retour aux sources du delta blues, beaucoup de morceaux presqu’acoustiques et des textes intéressants-;
leur live à Bruxelles, désormais officiel après agir circulé « sous le manteau » lui aussi pendant près de quarante ans, où le groupe est à son sommet avec un Mick Taylor en apesanteur et une section rythmique furieusement efficace;
 Pornography, des Cure, absolument essentiel à mes oreilles : un grand disque, sombre voire glauque, mais d’un souffle et d’une puissance expressive réels;
et puis, pour me détendre les oreilles de manière chatoyante, le magnifique Pet Sounds, des Beach Boys : une aisance mélodique et une beauté des harmonies des plus agréables !

IleDesertePopRock

ID10Lubitsch_ShopEt s’il ne fallait emmener qu’un seul livre, c’est « Ainsi parlait Zarathoustra » de Nietzsche –le nom du personnage est aussi compliqué à écrire que le nom de son auteur ! – que je prendrais avec moi. « Un livre pour tout le monde et pour personne », tel est son sous-titre.  C’est une oeuvre riche et profonde, à lire et à relire, sans qu’on l’épuise jamais.

Une bonne édition bilingue fera parfaitement l’affaire, les traductions françaises étant par ailleurs très inégales, et la clarté de la langue de Nietzsche étant quasiment sans égale chez ses compatriotes.

J’emmènerai, enfin, quelques films. Du Lubitsch ;  The shop around the corner –le plus beau film du monde ?-et  Cluny Brown; du Lynch :  Wild at heart; du Chaplin :  Le dictateur et  Les temps modernes. Et puis quelques autres, mais ceux-ci sont incontournables !