Privilège de l’âge, mes goûts ont peu changé et sur mon île déserte, j’emmènerai de la musique, un livre et sans doute quelques films pour affronter les grands froids… Il fallait faire un choix, forcément très restreint, mon île déserte est toute petite ! J’emporterai avec moi le strict indispensable à une survie dans de bonnes conditions… Et choisir, c’est nécessairement éliminer ! -Cliquer sur les images pour les voir en plus grand-.
Musique classique :
• Bach : 32 variations Goldberg, Glenn Gould
• Beethoven : les 9 symphonies, Orchestre philharmonique de Berlin, Herbert von Karajan- Sonates pour piano, Emil Gilels
• Bruckner : symphonie n°8, Orchestre philharmonique de Vienne, Herbert von Karajan
• Elgar : variations Enigma, Orchestre philharmonique tchèque, Leopold Stokowski
• Handel : Messiah, Solistes, The English Concert & Choir, Trevor Pinnock
• Mendelssohn : les 5 symphonies, Orchestre philharmonique de Vienne, Christoph von Dohnányi
• Sibelius : The Essential Sibelius, édition BIS
• Wagner : Der Ring Des Nibelungen, solistes, Choeurs et orchestre du festival de Bayreuth, Clemens Krauss
Musique Pop-Rock
• The Beach Boys : Pet Sounds
• The Cure : Pornography
• The Flamin’Groovies : Supersnazz
• John Mayall : Blues From Laurel Canyon
• The Rolling Stones : Between The Buttons ; Beggars Banquet ; Brussels Affair
Lecture – Film
Et s’il ne fallait emmener qu’un seul livre, c’est « Ainsi parlait Zarathoustra » de Nietzsche –le nom du personnage est aussi compliqué à écrire que le nom de son auteur ! – que je prendrais avec moi. « Un livre pour tout le monde et pour personne », tel est son sous-titre. C’est une oeuvre riche et profonde, à lire et à relire, sans qu’on l’épuise jamais.
Une bonne édition bilingue fera parfaitement l’affaire, les traductions françaises étant par ailleurs très inégales, et la clarté de la langue de Nietzsche étant quasiment sans égale chez ses compatriotes.
J’emmènerai, enfin, quelques films. Du Lubitsch ; • The shop around the corner –le plus beau film du monde ?-et • Cluny Brown; du Lynch : • Wild at heart; du Chaplin : • Le dictateur et • Les temps modernes. Et puis quelques autres, mais ceux-ci sont incontournables !
Merci d’avoir joué !!
Qu’il est dur de choisir…
Le but du jeu était un choix restreint, drastique, unique !
Mais ta sélection et tes critiques prouvent le mélomane expérimenté. Bravo !
Bonjour Antiblues,
Bienvenue sur ce blog et merci pour ton aimable commentaire !
Bonjour Diablotin
Alors dans ton île du désert, je te pique : la 8ème de Bruckner par Karajan (surtout cette gravure tardive), le Glenn Gould et tant qu’à faire Le Gilels. Et bien sûr les Beethoven par Herbert, édition années 60…
Petit nota : j’ajoute l’adresse de ton blog dans la liste des sites partenaires du Deblocnot…
Bonjour Diablotin
Alors dans ton île du désert, je te pique : la 8ème de Bruckner par Karajan (surtout cette gravure tardive), le Glenn Gould et tant qu’à faire Le Gilels. Et bien sûr les Beethoven par Herbert, édition années 60…
Petit nota : j’ajoute l’adresse de ton blog dans la liste des sites partenaires du Deblocnot…
Bonjour Claude, et bienvenue sur ce blog !