Souvent, ils volent, parfois ils se posent… Tout est affaire de patience ! –Cliquer sur l’image pour voir le collage en plus grand-.
Souvent, ils volent, parfois ils se posent… Tout est affaire de patience ! –Cliquer sur l’image pour voir le collage en plus grand-.
Jamais facile à réaliser ce genre d’images ! J’avoue ne pas être très fort ! Il me faudrait sans doute un pied pour l’APN, déjà, ça rend les choses plus simples !
Oui, c’est d’ailleurs parce que je n’ai pas utilisé de pied que le papillon a un peu la tremblote 😉 ! Mais je n’avais pas le téléobjectif pour le saisir, du coup, c’était jouable en m’approchant très près avec précaution. Avec le télé en mode macro, le pied est indispensable ne serait-ce qu’à cause de son poids -celui du télé- 🙁 Du coup, je l’emmène assez souvent avec moi, alors qu’il est à la foi lourd et encombrant -le pied-. Bref, tu auras compris, il me faut un sac assez rempli en choses lourdes et parfois encombrantes !!!
C’est pour ça que très souvent, quand j’avais le 24X36 argentine (un Minolta 7000) et ses deux objectifs, et le trépied, le sac restait très souvent à la maison. Poids, flemme de tout sortir. Et pas envie forcément de reproduire les même contraintes avec le Fuji X20 (d’autant que son objectif n’est pas interchangeable).
heureux veinard : j’aime beaucoup les APN Fuji, ce sont même mes préférés ! Le seul frein, c’est que le traitement des RAW Fuji avec un Mac est assez pénible…
Mon rêve, ça reste le Fuji S5, qui, bien qu’ancien, a un capteur absolument magique ! Malheureusement, ils sont très difficiles à trouver en occasion : soit pas chers et vraiment usés, soit chers…