Avouons-le, j’avais oublié à quel point tout cela est mal écrit, et même assez mal construit !
Et pourtant, de la première à la dernière page, on est tenu en haleine par des rebondissements incessants et une certaine extravagance du propos. A lire, donc, avec indulgence et bienveillance !
Le film de Franju, qui en est une transcription assez fidèle, reste l’un des plus beaux films en noir et blanc qui ait été tourné -c’est, à sa manière, très maniéré, mais le travail sur la lumière et les contrastes est époustouflant-.