Mon nouvel instrument de torture...

LesPaul
... pour oreilles sensibles !

Avec l’ampli -de basse- à fond, ça décoiffe !!! Yapuka en jouer correctement, mais ça, c’est une autre paire de manche !!! Par contre, pour enregistrer des boucles pour GarageBand, ça devrait être tout bon !

Pour en retrouver le son, légendaire, je vous propose, aujourd’hui, d’écouter ces deux disques, vraiment bien ! (Cliquer sur l’image des disques pour en entendre des extraits).


beano Crusade

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Une page d'histoire

LauritzMelchior
J’ai eu droit, comme cadeaux, à des « petites choses » tout-à-fait remarquables -les imagettes vous en donnèrent une idée-que je lorgnais depuis longtemps :
WalterWien
Le plus ancien de ces enregistrements date de 1913, il a donc 100 ans, le plus récent de 1960 et les deux concernent le même artiste, qui n’est pas chef d’orchestre, mais chanteur ! C’est dire la longévité de cet artiste totalement hors-norme, qui fut le « Heldentenor » -ténor héroïque- majeur du vingtième siècle. Un souffle d’une longueur exceptionnelle, une beauté de timbre à se damner, une voix d’une solidité à toute épreuve qui lui a permis de chanter, sur toues les scènes européennes et américaine, les plus grands rôles wagnériens des centaines de fois : 223 fois Tristan (Tristan und Isolde), 183 fois Siegmund (dans la Walkyrie, la dernière fois à 70 ans), 235 fois Siegfried (dans Siegfried et le Crépuscule des dieux).
ToscaniniBBC
L’extrait joint date de 1940, Melchior avait quitté l’Europe peu après l’arrivée des Nazis en Allemagne et déroulait une carrière triomphale aux Etats-Unis. La longueur des appels « Wälse, Wälse » -c’est le nom de son père- est proprement inouïe, de même que l’art d’alléger cette immense voix dans les passages les plus expressifs.


WlaterWalkyrie
C’est avec ce rôle, d’ailleurs, qu’il achèvera sa carrière, lors d’un jubilé donné en son honneur au Danemark, pour ses 70 ans.
Evidemment, à cette occasion, les appels seront moins longs, la voix beaucoup moins fraîche, mais, néanmoins, encore largement crédible, du fait d’une technique exceptionnelle, construite très lentement et très patiemment -et d’une solidité physique naturelle, également-. Sa plus belle prestation, dans ce rôle, c’est peut-être en 1935, avec Bruno Walter, qu’il la donna. L’enregistrement eut lieu à Vienne, les disques sont entrés dan sla légende aussitôt,et n’ont jamais quitté le catalogue depuis ! Ils sont reparus, récemment, remarquablement remastérisés, et ces « vieilles cires » de 1935 sont d’une qualité sonore formidable !
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Tout beau tout neuf...

OS_X_9
Installé ce matin sur 2 iMac, en cours d’installation sur un MacBook, et complété des très nombreuses mises à jour mises à disposition cette nuit...
Pour l’instant, tout semble fonctionner, y compris Rapidweaver, après recherche du dépannage d’un et un seul bug pour le moment (virer un très vieux fichier qui empêchait le lancement). Et même l’antique logiciel d’upload devrait encore permettre de mettre à jour mon serveur !

Un peu de découverte à venir des nouveautés neuves, mais rien de très fondamental...
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Une réconciliation et un hommage

A la fin des années 60, ils s’étaient quittés, irrémédiablement brouillés et, pendant près de 20 ans, ont tenu des propos amers l’un à propos de l’autre : l’histoire n’a jamais réellement tranché, leurs deux carrières en solitaire ont connu des -très- hauts et des -presque- bas, toujours un peu en marge des sentiers battus.
Il aura fallu la mort de leur mentor, Andy Warhol, pour que ces deux-là se retrouvent et lui consacrent un très bel album : « Songs for Drella », à la fin des années 80. Très joli extrait…


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