Comment ??? Décembre est arrivé en se précipitant quelque peu, avec son cortège de flocons annoncés prochainement… Et pas encore de surprise !!! 😯
Tragique erreur, qu’il convient de réparer derechef !
Et ce n’est même pas, en cette saison, l’effet d’un trop-plein de vin chaud délicatement parfumé, mais plutôt d’un agenda de fin d’année qui frise, pour le coup, le trop-plein !
La voici, la voilà, elle est là, et en lien avec une notule publiée précédemment, tant qu’à faire. Laissez-vous surprendre !
Dans le rubrique « Cancanons joyeusement et alimentons les rumeurs cocasses », il me semble que nous entrons depuis peu dans une nouvelle ère de classe exceptionnelle 🙄 ! Et pour une période indéfinie à ce jour…
Enfin ! 😉 Surtout merci.
Je me disais… que tu attendrais Noël pour déposer ta surprise au pied du sapin. Ce mois-ci nous aurons donc le bonheur de recevoir deux cadeaux ! Rire.
Tu l’as dit, c’est visiblement la classe du/dans le slip Français.
J’ai toujours aimé Sibelius pour son côté éthéré… à la fois proche de Mahler dans sa façon de traiter les cordes et par son côté contemplatif, pas loin (à mon sens) des mouvements lents du compositeur autrichien (je pense à l’adagietto de la 5ème ou l’adagio de la 4ème, et distant du compositeur parce que moins audacieux au niveau des couleurs et du rythme. Beau choix en tout cas… J’aime beaucoup l’allegro de la 5ème !
Ach Teufel ! Je n’ai jamais fait le rapprochement entre Mahler et Sibelius : ce dernier est parfois proche de Tchaïkovsky, dans ses oeuvres de jeunesse, et quand même très éloigné de la tradition austro-bohémienne dans laquelle s’inscrit Mahler. Après, le travail par strates propre à Sibelius produit des couleurs très différentes de celle de Mahler, qui est sans doute un meilleur orchestrateur que le finlandais.
J’aime beaucoup les deux, qui font partie de mes compositeurs « de base », mais je crois qu’en ce moment, je préfère Sibelius. Par contre j’ai adoré Mahler dans mes jeunes années -entre 18 et 25 ans, j’en écoutais très régulièrement, et présentement, d’ailleurs, j’écoute la fin de la troisième dans une très belle version de Boult, un peu ancien et pas très connue, mais qui mérite un grand coup d’oreilles-.
Je ne connais pas cette version de la 3ème symphonie de Mahler. Je suis un passionné de ce compositeur depuis mon adolescence, évidemment son sens de l’orchestration, l’ambiance qu’il créé, sa fougue, ses audaces… J’ai adoré la 3ème par Leonard Bernstein… (certains la détestent)… par la puissance des attaques (Ah ! Le premier mouvement !)… (peut-être quelque peu personnelle à ce chef d’orchestre… mais j’aime beaucoup )
Mahler et Sibelius, pour moi, possèdent un traitement des cordes qui s’apparente (la couleur, les amplitudes, les longues tenues…), on y retrouve aussi des influences « folkloriques »… Sibelius se rapprochant aussi sur certaines mélodies de Bela Bartok… Mais je ne suis pas non plus un spécialiste du compositeur finlandais et je livre là des impressions.
Sibelius et Tchaikovsky par contre, je n’avais pas fait ce rapprochement. C’est vrai que je ne connais pas les œuvres de jeunesse de ce dernier.
Dans Mahler, j’aime bien Kubelik, Sinopoli -si si-, voire Haitink et quelques autres, mais pas trop Bernstein -dont j’ai pourtant les deux intégrales-, à dire vrai. Il paraît que c’est une faute de goût, selon certains 😉 Mais je devrais y survivre. D’une manière générale, j’ai du mal avec ce chef dans à peu près tout, donc…
Sibelius de jeunesse est parfois rapproché de Tchaïkosvsy et, pour la troisième symphonie, Karajan, qui ne l’aimait pas et ne l’a jamais dirigée disait même : « du mauvais Tchaikovsky… ».