D’abord : en ce jour d’élections, mon devoir citoyen a d’ores-et-déjà été effectué : un vote à 08:01, l’autre à 08:17. Attendons désormais ce soir pour voir ce que tout cela produira…
Ensuite : en cette période de « Disquaires Days », les marchands de vinyles sont moroses et le font savoir, ici et là, dans deux longs articles intéressants et qui illustrent assez bien leur aigreur face aux « Majors » –ou ce qu’il en reste, note de moi 😉 – ! Il faut dire que ces dernières bradent déjà leurs 33T neufs, faute de pouvoir les écouler au prix demandé : l’agitateur culturel, où je passais par hasard vendredi, les revend désormais à 10€, « opération spéciale des éditeurs pour écouler les trop nombreux invendus » dixit un vendeur lorsque je lui en demandais la cause… Evidemment, à 23-27€, il ne faut pas ‘étonner que ça ne se vende pas !
Cependant, il y avait d’assez jolies choses dans ses bacs, dont plein de « rééditions-nouveautés » : presque de quoi donner envie de racheter une platine 33T 😉 !
–Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand puis rendez-vous sur le blog de Sardequin pour en comprendre le sens !-.
Bah, le problème, c’est que les « multinationales » de la musique comme elles l’ont fait avec le CD en son temps ne pensent qu’à s’en mettre vite et beaucoup plein les poches. Et nous sortent des rééditions — pas toujours de bonne qualité — à des prix délirants !
Et le « fameux » Disquaire Day a été récupéré de la même manière. Des prix totalement déconnectés pour des rééditions inutiles, surtout quand on sait qu’on peut les trouver en occasion chez les disquaires (indépendants) en vide-greniers pour bien moins cher ! Et des « inédits » qui n’en sont pas vraiment !
Hier, j’ai dépensé 50€ (suivre le lien donné par Diablotin) pour un vrai Disquaire Day (personnel) qualitatif, et qui lui a rapporté au disquaire, et pas à Universal ! Et en plus, pour le même prix, j’aurais eu quoi ? 1 disque ½ ?
Après, il faut être honnête, j’ai acheté 5 ou 6 disques chez l’ex agitateur culturel, à 10€, parce que certains albums sont difficilement trouvable en occasion, il faut bien l’avouer et que la spéculation est aussi de la partie.
Vivement que la mode du vinyle s’essouffle, histoire de retrouver des prix décents en conventions et vide-greniers ! :-p