Cette notule est en lien direct avec un petit article de Sardequin, qui nous cause Discogs, base de données, marché du disque et comportement de certains acheteurs !
Je n’ai pas les mêmes références que lui pour l’achat de mes disques –vu que je les achète généralement neufs, et brillants plutôt que noirs ! -, mais on peut partager, au moins, un constat : celui de la volatilité des prix en la matière, qui pourrait faire de ces albums des objets de spéculation.
De cette démarche spéculative, je sortirais assurément gagnant pour certains coffrets de musique classique –mais pas seulement– de ma collection, dont la disponibilité est devenue très aléatoire et comme le montre l’imagette à votre droite. Certains coffrets étaient en « édition limitée – numérotée », et sont donc voués à rester rares –et à devenir plus ou moins chers– : dommage que je n’ai pas l’esprit mercantile !
Discogs a clairement eu un effet spéculatif sur le prix de certaines références. En même temps, ça reste une mine d’informations et de renseignement quand on cherche des disques. Ensuite on eput essayer de les trouver ailleurs !