Ces derniers jours, j’ai épuisé, entre deux visio-conférences longues et studieuses et plusieurs déplacements fastidieux, toute la pile en attente des CD qui me restaient à écouter : pas une seule galette dorée n’a résisté à ce traitement !
Désormais, j’ai écouté au moins une fois en entier l’ensemble des 4712 albums de ma discothèque, et, pour certains, cela frôle l’exploit : du bordélique « Exile On Main Street » de Pussy Galore aux très ennuyeuses mélodies chantées de Debussy en passant par les polkas, quadrilles et autres marches de la famille Strauss, les opéras et la musique de chambre de Britten, les symphonies et concertos de jeunesse de Mozart et quelques chants écossais de Beethoven, tout est désormais éclusé !
J’y ai survécu et mes oreilles ne saignent pas !
Je ne compte pas, j’ai peut-être un quart ou un tiers de ton nombre de disques, mais déjà je trouve que j’en ai trop. Mais je peine à en éliminer…
Ici, c’est d’autant plus difficile à éliminer que même si je me doute que je ne réécouterai pas certains disques avant longtemps, ils font partie de coffrets d’intégrales ou d’anthologies, lesquels coffrets contiennent bien d’autres trésors…