Essai culinaire non traditionnel

Aujourd’hui, dans la perspective des fêtes de fin d’année à venir –elles approchent en réalité à grands pas : le grand sapin de Noël local est déjà en place ! -, je commence à penser aux futures agapes et je vais me lancer dans la confection d’une choucroute non traditionnelle mais, je l’espère, suffisamment goûteuse pour être proposée en auguste société : une choucroute aux volailles et au Monbazillac. Ce qui changera quelque peu de la traditionnelle –et incomparable– choucroute impériale aux onze viandes, mais également à la choucroute de la mer proposée il y a quelques années.
Pour cela, j’ai été chez mon volailler préféré afin qu’il me prépare :
– des saucisses de canard ;
– des saucisses de volailles ;
– des suprêmes de pintade ;
A Noël, pour faire bonne mesure, il n’est pas exclu que je rajoute des filets de poulet ou de dinde, mais aujourd’hui, loin trop n’en faut.
J’ai pas ailleurs acheté du chou à choucroute en quantité suffisante pour deux ou trois personnes –que je vais cuisiner à la graisse de canard et non pas à la graisse d’oie-, quelques rattes du Touquet et une bouteille de Monbazillac. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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