Alors que mon emploi du temps ne me laisse guère profiter, pour le moment, de l’aubains mensuelle dont je vous parlais l’autre jour de manière vraiment continue –j’écoute par actes et non par opéra entier : j’attends la mi-juillet pour en profiter pleinement, d’autant que c’est un doublon, mais dans un son très largement amélioré-, il est en revanche assez propice, outre les infos à la radio, dans la voiture, à l’écoute de petites pièces à découvrir ou redécouvrir…
Entre autres, celle-ci, à écouter dans le lecteur ci-dessous, agréable bluette –par définition, je vous invite donc à découvrir donc une oeuvre légère, sans prétention mais joliment réalisée– d’un compositeur russe –Nikolaï Medtner– assez peu connu au-delà du cercle restreint des « mélomanes » désireux d’élargir le « répertoire de base ». Il faisait partie des conservateurs plutôt que des progressistes, ce qui ne l’empêcha pas de réaliser quelques pièces intéressantes, essentiellement pour le piano. Les grands pianistes russes, depuis les années 50-60, contribuèrent à le faire sortir un peu de l’anonymat.
Essayez, et vous pourrez constater par vous-même que cela s’écoute agréablement !