Objet(s) pour collectionneur, la suite

Je vous parlais dans ma précédente notule de mon tout premier disque de musique Pop-Rock acheté. Voici les tout premiers 33 tours qui composaient, bien avant, ma discothèque classique, entamée en octobre 1972… Evidemment, tout cela a été racheté en CD par la suite, au gré des rééditions : on revient toujours à ses premières amours, même si dans certains cas, le souvenir qu’on en garde va bien au-delà de la valeur réelle de la chose ! Les Beethoven, notamment, étaient de plus ou moins gros coffrets de 5 à 19 disques dont je n’étais pas peu fiers !

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5 réponses sur “Objet(s) pour collectionneur, la suite”

  1. Si je me souviens bien, mon premier disque de musique classique était les symphonies 40 et 41 de Mozart (impossible de me souvenir de l’interprétation). Mais ce n’est pas moi qui l’avait acheté mais mes parents en guise de cadeau d’anniversaire. En revanche, mon premier disque (vinyle – à l’époque, le CD n’existait pas encore) rock, c’était Deep Purple – In Rock, acheté à un copain de collège (j’avais 14 ans) pour 5 francs… Et j’ai attendu plusieurs années avant d’acheter du classique, le Requiem de Mozart (çhef d’orchestre – Sir Colin Davis) a été le premier d’une longue série, en vinyles et ensuite en CD, et maintenant de nouveau en vinyle. Je dois avoir 4 ou 5 interprétation différentes de ce fabuleux Requiem.
    Quant à Beethoven, en vinyle, ce coffret :

    Tiens, ça me donne des idées de d’articles.

  2. Les symphonies par Furtwängler, donc… Oui, pourquoi pas ? Ce n’est pas ma tasse de thé préférée, mais c’est très largement reconnu comme une très grande version, bien que les versions tardives avec le Philharmonique de Vienne ne soient pas les plus réussies par ce chef… Lorsqu’elles parurent, et jusqu’au début des années 80 en fait, la réception de ces versions par la critique anglo-saxonne était assez hostile : des versions trop lentes, enregistrées par un grand chef, certes, mais trop subjectif dans son approche, malade et déprimé… Dans ces pays, les approches de Toscanini et de Karajan / Philharmonie étaient largement plébiscitées. En France, l’accueil fut, de tout temps, bien meilleur !

    1. Ce qui fait l’intérêt de la musique classique, c’est la « variété » des interprétations. Walter, Szell, Bernstein et même Harnoncourt proposent (ont proposé) de belles versions.
      J’avoue ne pas être fan de celle de Karajan.

  3. Oui, je suis bien d’accord, la diversité est toujours intéressante ! Alors, pour ma part, quelques précisions :
    • Harnoncourt, j’ai eu, je m’en suis séparé sans regret excessif : je préfère, dans une optique similaire, Gardiner • Walter, j’aime bien, même si c’est un peu gris, comme souvent chez lui, qui ne fut guère gâté par les prises de son : encore faut-il privilégier, à mon avis, sa première intégrale avec New York, plutôt que celle avec le Columbia symphony orchestra • Szell, c’est toujours intéressant et excellent dans une optique « objective », mais assez dénérvé dans sa version studio avec Cleveland, je préfère ses enregistrements live • Bernstein : c’est assez bordélique mais plutôt vivant avec New York -mais la cinquième et la neuvième sont vraiment ratées-, et très « commun » et pas si intéressant que ça avec Vienne -mais je dois préciser que je n’aime pas trop le Bernstein vieillissant en général-.

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