Opération deuxième chance !

Il m’arrive régulièrement –pas trop souvent quand même : je préfère me faire plaisir avec des choses que je suis sûr d’aimer !– de tenter, pour certains CD dont j’avais gardé une impression mitigée, de tenter une session de rattrapage : c’était le cas aujourd’hui avec les disques suivants -cliquer sur l’image pour la voir en grand- :

SessionRattrapage0115

 On trouve donc : le Mahler par Bernstein « seconde manière », très prisé par de nombreux mélomanes, mais auquel je n’accroche guère, une vision sans doute engagée mais éminemment personnelle et qui manque à mon sens trop de simplicité pour laisser la musique s’exprimer; • les 5 dernières sonates de Beethoven par Pollini, un coffret qui avait défrayé la chronique lors de sa parution en 33 tours, mais qui, depuis, ne m’a jamais convaincu –des versions correctes, dans une prise de son très moyenne– : une de mes plus grandes déception eu égard à la réputation de l’objet; • The Cure : « Wild mood swing » contient un excellent titre : le tout premier, « Want », la suite manque cruellement d’inspiration. Leur seul disque que je n’écoute quasiment jamais… • Guns’n’Roses : « Greatest hits », normalement, la quintessence de ce groupe, si on en croit le titre : je ne sais pas ce que vaut le reste, mais si c’est encore moins bon, je ne saurais expliquer leur notoriété –un peu révolue quand même de nos jours-.

5 réflexions sur “Opération deuxième chance !”

  1. Je fais partie des personnes qui aiment beaucoup l’interprétation de Bernstein pour cette première symphonie de Mahler. Dans mes lointains souvenirs après avoir regarder la partition orchestre de cette œuvre et les annotations du compositeurs, j’ai toujours pensé que Mahler devait être viscéralement dirigé avec hargne et une certaine rage… Je m’y retrouve dans Bernstein et pas du tout dans Kubelic pour ne citer qu’un autre chef d’orchestre. Après c’est sur que cela reste personnel.

  2. Oui, ça change un peu d’un quotidien qui se vit dans un contexte peu évident à définir, en définitive, tant il est surchargé d’émotions de toutes sortes…
    J’aime beaucoup Kubelik dans Mahler -c’est avec lui que j’ai découvert le compositeur, il y a plus de trente ans…-, et notamment dans la première symphonie. Et c’est une symphonie où Bernstein est encore aisément supportable !

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