Le week-end s’annonce joyeux avec la fin de la canicule et des températures nettement plus supportables depuis deux jours.
Pour l’aborder, une petite opérette, ce soir, fera parfaitement l’affaire, d’autant que la production de cet album –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– d’une oeuvre légère mais agréable aux oreilles fut particulièrement brillante : souci des dialogues, importants dans ce répertoire, voix choisies avec soin et discernement –et quelle joie d’entendre René Kollo dans ce répertoire plutôt que dans ses Wagner un peu sous-dimensionnés-, orchestre dirigée avec élégance et raffinement –le chef raffolait des oeuvres de ce genre et s’y montra souvent inspiré, dans le genre « grand-style » qu’il affectionnait pour les opérettes viennoises-.
L’argument –simple sans être simpliste, parfaitement ancré dans son époque, l’oeuvre ayant été créée en 1905– et l’importance de cette opérette –la plus jouée au monde ?– sont parfaitement résumés ici, et vous pourrez même en entendre un extrait juste en-dessous !