Et voilà ! Avec la fin des vacances et le retour à une vie de labeur pas encore acharné –mais cela ne saurait tarder-, c’est la « vie normale » qui reprend son cours…
L’occasion de reconfectionner de petits programmes musicaux à même d’égayer le quotidien ! Voici la première de cette nouvelle série –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, qui se veut éclectique et largement ouverte à différents styles que j’affectionne !
Donc : de la musique pour piano –cf. l’extrait ci-dessous, une de mes piécettes préférées du compositeur-, mais aussi du Chicago Blues, excellent et faisant suite à une petite note de Sardequin sur son blog –ici, il manque le rosé mais on a de la bière pour le remplacer par cette chaleur accablante!-, et un peu de grosses machines symphoniques pour faire bonne mesure ! Le tout renforcé d’un peu de Dylan d’avant sa trahison révolution électrique –quelques excellents textes parsèment cet album, même si, musicalement, ce n’est pas peut-à-fait ma tasse de thé-.
Suite à une aimable conversation avec un autre lecteur de ce blog sur son blog, que je vous invite à lire si vous vous sentez l’âme d’un mélomane, j’ai, durant ces vacances, occupé une partie de mes soirées avec la série des Pardaillan, de Michel Zévaco –cf. imagette de la barre de menu à droite-, entre deux Maigret.
Pour les lecteurs de ma génération, la geste doit rester un peu en mémoire : il s’agit de romans de cape et d’épée fréquentés durant notre adolescence, sur fond de guerre de religions post-Renaissance. C’est très romancé, plein de rebondissements et d’une assez jolie plume de surcroît. Il en existe une adaptation télé avec l’excellent Patrick Bouchitey, qui doit dater, vraisemblablement, de la fin des années 70 ou du début des années 80.
Pas de la grande littérature, mais mais de la bonne littérature populaire qui reste plaisante à lire, même si nos adolescents trouveront cela sans doute trop « littéraire » et trop loin de leur univers, désormais.
« grosses machines symphoniques » : c’est tout à fait ça. d:-)
Oui, sans doute, mais, personnellement, j’aime beaucoup ces grosses machines symphoniques de Richard Strauss et, dans ce genre, il a même fait encore plus enthousiasmant 😀 !
Bon, je ne vais pas être objectif avec Dylan, comme toujours.
L’album est sans doute plus « aride », la pochette d’ailleurs est parlante. En fait, de la période folk, c’est quand même très ancré dans son époque, entre protest songs et ballades poétiques (ballade qui montrent que Dylan commence déjà à s’éloigner de la scène folk new-yorkaise).
Personnellement, j’ai du mal à départager les chansons. Bref, pour moi, c’est un album sans fautes !
Les textes sont vraiment excellents, en effet, mais c’est ce côté folk un peu répétitif que je trouve lassant sur la longueur, sans compter que voix très monocorde rend l’ensemble un peu univoque. Nonobstant, c’est un très bel album, même si je préfère Highway 61… et Blonde on blonde 😉 !