Et même pas dans mon musée du Mac ! A sa sortie, la disparition d’un lecteur de disquettes fit jaser –ça ne marchera jamais ! – et l’apparition en série d’un port USB sur une machine « grand public » tout autant ! Quelques mois plus tard, la mode du « Bondi Blue translucide – Sorry ! No beige » faisait fureur chez tous les fabricants d’imprimantes ou de lecteurs externe, et l’USB devenait une norme standardisée.
Pourquoi je n’en ai pas eu : à l’époque, j’avais upgradé mon PowerMac 4400 dopé en Ram –256 Mo, énorme pour l’époque…– avec une carte G3 et une carte graphique de compétition, me permettant de piloter un excellent moniteur 17 pouces cathodique avec une meilleure résolution que le « petit » 15 pouces de l’iMac original. De plus, ma chaîne graphique et mes éléments de sauvegarde étaient en SCSI, non proposé sur l’iMac. D’où cette impasse, jusqu’à l’achat d’un eMac quelques années plus tard…
J’avais encore mon bon vieux 7500 à l’époque 😉 après je suis passé au G3 puis G5 avant de passer à l’imac pour mon passage à Intel 😉
Ah, un vaillant PowerPC 601 suivi d’un G5 ! Je n’en ai jamais eu, suis passé du 68040 au PowerPC 603e, puis au G3 et au G4 ! Mais tout cela commence à dater, et la course à l’élévation de la fréquence semble un peu dépassée, maintenant !