Il en restera peut-être quelque chose…

Archivez, archivez, qu’ils disaient ! Il en restera peu-être quelques chose, ajouterai-je ! Je vous racontais dernièrement que j’avais eu besoin d’accéder à mes antiques archives gravés, en double, sur CD-Rom et qu’à cette fin, j’avais dû racheter un lecteur Superdrive.

L’accès aux fichiers a donc été aisé, les fichiers n’étaient pas corrompus, mais quelle galère pour ouvrir les plus anciens d’entre eux, réalisés sous QuarkXPress 3 avant même l’émergence des processeurs PowerPC, soit au bon vieux temps des Motorola 68040 !
Normalement, on doit pouvoir les ouvrir sur une version récente du logiciel moyennant un convertisseur que j’avais eu un jour qui ne semble plus accessible sur le site de l’éditeur mais que j’ai fini par retrouver dans une autre boîte d’archive, sur une disquette Iomega ZIP !!! Il me reste même des disquettes syQuest 135 –dans l’absolu, c’est nettement mieux que les Iomega ZIP, mais le lecteur était plus cher et n’a pas survécu aux changement d’interface, restant scotché au SCSI : tous mes disques SyQuest sont bons pour la poubelle…-.

Ne restait donc qu’à trouver le lecteur de disquettes USB : en diablotin ordonné à ses heures, je savais l’avoir rangé avec disques durs et câbles variés dans un joli carton ! Et c’est ainsi que j’ai eu la joie de retrouver mes plus anciens fichiers !

Dit comme ça, ça semble simple, mais ça m’a coûté quelques heures de galère !

Sauvegardes à nouveau accessibles !

Je n’avais plus accès à certains de mes travaux -grosso modo, ceux réalisés depuis le milieu des années 90 jusqu’à 2016 environ-, ce qui représente une bonne vingtaine d’années quand même, dont certaines très productives, parce que je les avais essentiellement archivés sur des CR ou des DVD, gravés chacun en double exemplaire –au cas où…-, ou bien parce qu’ils étaient enregistrés sur des disques durs avec interface FireWire, laquelle est totalement abandonnée depuis assez longtemps déjà par Apple.

Or, j’ai eu récemment besoin d’accéder à certaines de ces archives. Et c’est ainsi que je me suis retrouvé dans l’obligation de me procurer un lecteur-graveur de CD/DVD « Superdrive », auquel, pour faire bonne mesure, j’ai ajouté un adaptateur USB A –> USB C pour en profiter éventuellement sur le MacBook M2 si nécessaire.
Ça arrive dans le courant de la journée, et mes boîtes d’archives sont déjà prêtes !

Qui se souvient de la disquette ?

Les 40 ans du Mac sont l’occasion de publier, ici ou , toute une série d’articles plus ou moins nostalgiques pour les quinquagénaires qui ont connu ces temps lointains de l’émergence de « l’informatique ».
Aujourd’hui, le regard est porté sur la disquette, qui connut son heure de gloire durant les années 80 et 90, avant qu’un certain Steve Jobs décide d’en supprimer le lecteur lors de l’annonce du tout premier iMac, en 1998. Progressivement, la disquette fut remplacée par la clé USB.

Avec dans le meilleur des cas, une capacité de stockage limitée à 1,44 Mo (!!!), la disquette s’avèrerait évidement totalement dépassée de nos jours, où l’unité de bas semble être le Go… Pourtant, pendant longtemps, les logiciels vendus en boîte étaient inscrits sur un nombre plus ou moins élevé de disquettes que l’on insérait, l’une après l’autre –la création d’un jeu de sauvegarde était par ailleurs un processus relativement long et fastidieux…-, dans le lecteur afin d’installer une application. Ainsi, MacOS 8 était-il livré dans une boîte comprenant une vingtaine de disquettes -pour ma part, j’avais une version sur CD Rom, autre support désormais disparu…-.

40 ans et toutes ses dents !

C’est un anniversaire largement célébré et commenté ces derniers jours : le Mac a 40 ans, et, depuis 1984, bien des choses ont changé et évolué, se sont souvent alourdies,  mais le principe de base initié dès cette époque reste le même : un bureau virtuel où l’on collecte des feuilles et des objets  !
Si vous souhaitez vous amuser à remonter le temps et à tester un à un chaque système depuis la création de System 1, vous pouvez vous rendre sur ce site, très bien réalisé !
Quant à moi, j’ai débuté sur le Système 6 à la fin des années 80 –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, suis resté longtemps sur les systèmes 7 et 8 avant de passer, parmi les tout premiers, sur MacOS X. Je vous raconte tout cela sur cette page !

C’est beau d’avoir 20 ans…

Il y a 20 ans, déjà, je m’offrais un iPod de toute première génération : 5 Go de musique in the pocket –au sens propre : il tenait facilement dans une poche, même assez petite-, ce qui, pour l’époque, était énorme ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
L’objet, alors, était sorti depuis quelques mois et commençait à faire parler de lui. Il a beaucoup évolué par la suite et pris des couleurs !
Ce premier modèle possédait déjà la molette qui a fait sa popularité –en matière de navigation, on était à mille lieux des autres lecteurs de mp3 de l’époque en termes de confort et de facilité d’utilisation-, une batterie d’une durée de charge d’une dizaine d’heure et une interface sobre mais extrêmement pertinente et efficace –organisation en playlists– !

Un jour, pour vous, j’ai -malheureusement- testé…

Internet Explorer 5 pour MacOS X !

Il fut un temps, relativement bref, où le seul navigateur développé pour MacOS X était celui de Microsoft : Internet Explorer ! C’était au tout début du millénaire et le tout nouveau système d’exploitation de la marque à la pomme disposait encore d’une assez maigre logithèque !

A l’heure où Internet Explorer va être supprimé, les plus jeunes auront du mal à imaginer qu’il régna en maître quasi-absolu durant quelques années, à la toute fin des années 90 et au début des années 2000. La seule réelle alternative était constituée, alors, par Netscape, le navigateur historique de la fondation Mosaic, que j’utilisais sur les systèmes d’exploitation antérieurs à MacOS X, mis qui ne fut jamais développé pour ce système. Donc : j’ai dû me résoudre à utiliser Internet Explorer, pendant environ deux ans, de 10.0.6 à 10.1.x !

Interface assez lourdingue, interprétation du code –relativement moins touffu qu’aujourd’hui– « à ma manière », lenteur assez prononcée du chargement des pages -alors que j’avais une connexion ADSL performante eu égard aux standards de l’époque…-: si je n’y avais pas été obligé, je me serais bien passé d’utiliser ce navigateur !
Très heureusement, Apple sortir assez rapidement son propre navigateur, Safari, à l’interface très allégée et d’une rapidité alors remarquable, à partir de sa version 10.2 –Jaguar, que j’ai adoré– de son système d’exploitation.

Oh P… ! 30 ans déjà !

Cette notule retrace une page d’histoire que les moins de 40 ans n’ont pas pu connaître –les pauvres ! -. Une histoire où l’informatique était encore un monde de Ko ou de Mo plutôt que de Go ou de To, où Internet tel que nous le connaissons n’était pas encore né et où les écrans cathodiques encore étaient de règle.

En mai 1991, Apple sortait son tout nouveau système d’exploitation, livré dans une volumineuse boîte -cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– de près de deux kilos contenant 12 disquettes numérotées et un manuel d’utilisation de 600 pages : Système7.
L’avancée était alors majeure : gestion des couleurs, support du 32 bits et du multitâches, indispensable –pour la PAO– lissage des polices vectorielles, traitement des vidéos via QuickTime, ineffable procédure de reconstruction du bureau lorsque le système devenait instable…
Tout, donc, aurait dû aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais, dans les faits, ce système d’exploitation, tout au long de sa longue existence –de 1991 à 1997-, accompagna le lent déclin de la marque à la pomme avant sa renaissance –aujourd’hui première capitalisation boursière du monde, mais au bord de la faillite au milieu des années 90...-, liée au retour aux manettes de la marque à la pomme de Steve Jobs et à la sortie de l’iMac Bondi Blue en 1998.

Les premières déclinaisons de Système7 –de 7.0 à 7.1.2– s’inscrivaient encore dans la lignée de la version précédente, mais, à partir de Système 7.5indispensable aux nouveaux processeurs Power PC, beaucoup plus puissants que les anciens Motorola des gammes 680XX-, de nombreuses instabilités sont apparues, liées notamment à des conflits d’extensions, et je fais partie des utilisateurs qui ont largement pesté face à ces bombes inopinées qui apparaissaient assez régulièrement du fait d’un gestionnaire d’extensions trop chargé ! Lesquelles extensions s’affichaient progressivement, façon pièces de puzzle, au bas de l’écran à chaque démarrage de l’ordinateur, ce qui était assez joli !

La plus inénarrable de ces versions reste sans doute la maudite 7.5.3, remarquablement capricieuse mais avec des icônes en relief… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. Il fallut attendre l’apparition éphémère de la version 7.6 pour retrouver un vrai confort d’utilisation.

Pourtant, Système 7 fut très largement en avance sur son temps, et même l’apparition de MS Windows 95 –et sa funeste base de registre…-, malgré le large succès de ce dernier, ne combla pas totalement le retard en matière d’élégance et de souplesse d’utilisation. Et, surtout, Système 7 était un peu personnalisable et l’on pouvait le débugger soi-même sans trop de difficulté.

Pour vous, j’ai testé…

…macOS Big Sur !

Une version semble-t-il si majeure qu’elle vient marquer la fin de MacOS X, après 20 ans de bons et loyaux services : il s’agit en effet de la version 11 de macOS, qui perd une majuscule au passage ! C’est plein de couleurs et de transparence, avec une volonté marquée, esthétiquement, d’unifier les interfaces macOS et iOS pour iPhone et iPad.

A l’usage, et jusqu’à présent, rien de très révolutionnaire, si ce n’est que j’ai quelque peu réorganisé certaines barres de menu des logiciels que j’utilise le plus, afin de retrouver rapidement mon fonctionnement habituel ! De même, les raccourcis claviers fonctionnent de manière identique –depuis quasiment la nuit des temps…-, ce qui est bien pratique pour la mémoire dactyle ! –Cliquer sur les images pour les voir en plus grand-.


Une nouvelle histoire (re)commence : après avoir testé, depuis 1989, les systèmes 6, 7 et 8 sous leurs différentes moutures avec des bonheurs divers –7.5.3 et 7.5.5 me remémorent d’assez pénibles plantages et, pour les anciens qui s’en souviennent, la nécessité de « jouer » assez souvent avec le gestionnaire d’extensions pour résoudre moults conflits…-, après avoir laissé de côté la version 9 de MacOS « Classic », j’ai connu MacOS X sous toutes ses déclinaisons –de la version initiale 10.0, tout-à-fait révolutionnaire à son lancement, à la 10.15 donc- sauf une que je n’ai jamais utilisée -MacOS 10.14 Mojave-.

Dopons un iMac !

Comme annoncé lors de l’achat de l’Imac 27’ à la fin de l’été, je lui ai rajouté 2 barrettes de 8 Go de RAM –à des tarifs très éloignés de ceux pratiqués par la marque à la pomme-, portant ainsi le total à 24 Go2×4+2×8 Go-. L’opération est très aisée, pas besoin du moindre outil la réaliser ! 

La retouche-photo notamment, grosse consommatrice de mémoire lors des opérations de dématriçage des fichiers RAW, est désormais fluide et rapide : un pur bonheur ! Cependant, quand on y pense, on peut rester dubitatif devant cette inflation : mon premier ordinateur contenait uniquement 4Mo de RAM, mais c’était il y a bien longtemps !

Et, un bonheur ne venant jamais seul, j’en ai profité pour acheter un chouette clavier à pavé numérique dont la caractéristique principale est que l’on peut également le connecter à quatre périphériques Bluetooth supplémentaires de manière totalement indépendante les uns des autres : iPhone, iPad… La saisie de SMS et autres MMS un peu longs –ça m ’arrive dans le cadre du travail…– s’en trouve grandement simplifiée !

Nouveau projet réalisé !

Parmi la liste des projets en attente évoquée durant le printemps, voici désormais le troisième qui s’est réalisé hier, avec l’achat d’un nouvel ordinateur pour remplacer mon vaillant iMac 2011, qui va poursuivre une seconde carrière –allégée– chez Trésor de Janvier, une fois formaté et remis à neuf pour elle.

Je vous présente son successeur : un gigantesque iMac 27’ dernier cri, avec processeur et disque SSD de course, que je vais doper en RAM moi-même –les tarifs de la marque à la pomme en la matière sont prohibitifs…-. La bête occupe une place conséquent sur le bureau, que j’ai quelque peu réaménagé en conséquence, mais c’est très confortable pour les yeux –l’écran est de très bonne qualité, Retina 5K oblige– et on sent la puissance sous le capot, notamment en retouche photo…

Etonnamment, l’Apple Store local m’a offert, outre un prix remisé très convenable du fait de ma carte professionnelle, une paire d’AirPods sans fil d’une valeur assez conséquente, mais dont je n’ai que faire pour ma part : je vais les offrir à je ne sais qui, cela fera un chouette cadeau… J’ai essayé de négocier autre chose en échange, même d’une valeur moindre –clavier avec pavé numérique-, mais pas moyen d’obtenir gain de cause.
J’ai commencé hier à l’équiper selon mes besoins –installations diverses et mises à jour que je ne pouvais plus faire sur le trop ancien 21 pouces-, il me reste désormais à le paramétrer à ma main et à  le personnaliser à mon image !

Quoi qu’il en soit, les mesures d’hygiène adoptées par le magasin, en cette période si particulière, sont assez drastiques, mais comme j’étais dans la bonne file –celle des achats-, je n’ai pas attendu trop longtemps -moins de dix minutes- pour entrer dans le magasin, où la jauge d’accueil est très réduite. De l’autre côté –file « conseils techniques »-, le délai d’attente annoncé était de plus d’une heure !