Alors que les températures commencent à baisser régulièrement, il était temps de vous livrer la devinette de ce mois de novembre ! Elle est assez difficile, mais pas insurmontable…
Il s’agit d’écouter l’extrait ci-dessous et d’essayer de trouver le compositeur de cette pièce pour piano, et, subsidiairement, le nom de la pièce entendue –très connue, mais pas forcément sous cette forme-là : voici un bel indice…-.
A vos claviers !
Sans écouter (car il y a déjà du son diffusé chez moi), je pense à Modeste Moussorgski, Les tableaux d’une exposition.
Je pense aussi à ce compositeur.
Oui, ça eût pu, mais en fait, non ! Ce n’est pas Moussorgsky dont il s’agit ici. En revanche, le compositeur partageait avec Modeste un fort penchant pour l’alcool, voire l’ivrognerie…
Petit indice : je parle de cette oeuvre dans une notule d’octobre 2017 – http://latelierdediablotin.fr/WordPress3/2017/10/ – et en livre un autre extrait dans sa forme la plus connue.
Sibelius : Karelia, suite transcrite pour le clavier.
Sympa au piano…
(j’ai bien du mal à le publier :o( )
Pour les poivrots, dans une moindre mesure : Bruckner et Brahms !
Seul point d’accord entre les deux hommes : la chopine. Le critique Eduard Hanslick étant le principal acteur du conflit entres leurs styles respectifs…
Suite de Karelia de Sibelius transcrit pour le clavier…
Sympa au piano :o)
@Claude : en effet, il s’agit bien d’une transcription pour piano de la suite Karelia de Sibelius, effectuée par le compositeur lui-même. C’est très peu enregistré, cela étant, et on le retrouve essentiellement dans le coffret de musique pour piano de la formidable collection consacrée à l’intégrale de l’oeuvre de Sibelius parue chez BIS. Bravo !
Mozart et Beethoven étaient de fameux buveurs eux-aussi…
Quant à Hanslick, ce chantre d’un certain académisme musical, l’avenir lui a donné tort…