Playlist hardeux boutonneux -et une devinette- !

Cette playlist dominicale comporte quatre albums parus au début des années 80, époque où, adolescent, ma musette US était taggée au marqueur noir de noms de groupes variés et de pin’s bariolés et où, donc j’écoutais parfois du hard rock –sans bouger ma tête chevelue en rythme toutefois ! – Ecoutés un peu fort, ces albums restent efficaces ! . –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Deux des groupes présents dans la playlist de ce jour sont issus de la mouvance NWOBHM –New Wave Of British Heavy Metal : en gros, guitares saturées qui jouent vite et fort et hurleurs à la voix en général haut perchée– : il s’agit de Saxon et de Judas Priest. Les deux autres ont évolué d’un hard rock de bon aloi, de la fin des années 70 au tout début des années 80, vers des propositions plus commerciales que l’on qualifiera de Hard FM, avec   ballades sirupeuses à la clé dans les deux cas.

Devinette inside :
L’un des albums de cette playlist a connu un très grand succès dans les charts et s’est tout de même vendu à plus de 10 million d’exemplaires : saurez-vous deviner lequel ?

Devinette un peu difficile : la solution !

J’avais soumis à votre sagacité cette devinette, restée en rade depuis quelques temps déjà, et que j’avais quelques peu oubliée. Mon immense talent de bassiste ne vous a pas permis de trouver la solution, que je vous livre à l’écoute ci-dessous !

Vous n’écouterez plus jamais cette ligne de basse de la même oreille désormais !

Devinette « Analogies » – Le résultat !

La devinette a été résolue par un individu né en 1967, qui n’en a cependant pas dévoilé le résultat manière très explicite, que je vous livre ici :
• Extrait 1 : il s’agissait de « The Rover », de Led Zeppelin, parue sur l’album Physical Graffiti, sixième album du groupe en effet, sortie en 1975.
• Extrait 2 : la chanson proposée était « Wicked Annabella », des Kinks, parue sur le superbe « The Kinks Are The Village Green Préservation Society » en 1968.

Devinette un peu difficile

Alors que la réponse à la devinette précédente n’ été qu’à moitié découverte à ce jour, bien qu’elle me semble facile, voici que je vous en propose une nouvelle, a priori plus difficile…

Il s’agit de cliquer sur l’extrait audio ci-dessous, pour entendre une ligne de basse que j’ai jouée spécialement pour vous, et de deviner le nom du groupe et le titre de la chanson dont il s’agit. En guise de question subsidiaire, vous pourrez toujours essayer de deviner sur quel album cette chanson est parue !

A vos claviers !

Devinette « Analogies »

Tiens, ça faisait un peu longtemps que je n’avais plus proposé de devinette sur cet espace ! En voici donc une nouvelle…
Je n’avais vraiment pas fait le rapprochement auparavant, mais ayant écouté nuitamment ces deux albums, j’ai été surpris de retrouver deux introductions étonnamment proches, que vous pouvez écouter vous aussi en cliquant sur les deux extraits ci-dessous.

L’objet de la devinette est évidemment simple : saurez-vous retrouver –titre + groupe– quels sont ces deux extraits ? Difficulté niveau 2/5 !

A vos claviers !

Devinette-anniversaire

Le magazine « The Gramophone », devenu « Gramophone » en juin 1969, fête au mois d’avril 2023 son centième anniversaire : un siècle d’existence, donc, et l’intégralité des numéros parus depuis cette date et tous accessible, sur abonnement, grâce à un système de numérisation des archives, dont une très grande partie est par ailleurs très soigneusement indexée. –Cliquer sur l’image de droite pour voir le prologue de son premier numéro-.

Son créateur, Compton McKenzie, était un romancier écossais très célèbre en son temps et au Royaume-Uni, sans doute agent des services secrets en Grèce durant la première guerre mondiale, membre fondateur du parti national écossais –SNP– et amoureux des îles méditerranéennes et de son Vocalion –image à la fin de cette notule-, qu’il voulait agrémenter des meilleurs disques.

Au fil de ce siècle donc, on pourra suivre avec un intérêt curieux :
l’évolution du système monétaire en Grande-Bretagne ;
la crise du prix du papier durant la seconde guerre mondiale ;
le passage du cylindre au 78 tours, puis le passage d’icelui au long player –33 tours-, avant d’aboutir hier à l’invention du Compact Disc et, aujourd’hui, au streaming ;
l’évolution du matériel d’écoute tout au long du siècle et, en corollaire, l’évolution des techniques d’enregistrement : acoustique puis électrique, monophonique puis stéréophonique, voire quadriphonique, analogique ou numérique;
évidemment, l’histoire de l’interprétation par le disque ;
la critique du premier album des Rolling Stones ;
l’évolution des procédés publicitaires depuis cent ans ;
l’évolution de la langue anglaise depuis un siècle.

L’objet de la devinette de ce jour est de trouver, dans la liste ci-dessus, l’intrus, ou les intrus, s’il y en a !

A vos claviers !

Dernière devinette hivernale ! Soyons flou !

Pour sortir de l’hiver, je vous propose une petite devinette relativement aisée, me semble-t-il…
1. Tu cliques sur l’imagette de gauche pour l’agrandir, cela devrait t’aider un peu beaucoup , malgré le flou qui y règne !
2. Tu essaies de répondre aux questions suivantes :
• quel est le nom de ce personnage ?
• quelle est sa nationalité ?
• de quel groupe légendaire fut-il le leader, et que faisait-il au sein de ce groupe ?

A vos claviers !

Devinette hivernale : la solution !

Vous avez été trop brillants et avez répondu rapidement et sans coup férir à la devinette proposée au début du mois. En effet, la photo proposée date du début 1967, époque de la sortie de « Between The Buttons » –sorti le 20 janvier 1967, n°3 dans les Charts UK, n°2 dans les Charts US et disponible en deux versions différentes : l’une pour l’Europe, l’autre pour les USA. La version parue en Europe est bien plus cohérente-. C’est l’album sur lequel Brian Jones –cliquer sur son portrait, à peine plus tardif,  pour le voir en plus grand– joue le plus d’instruments différents : guitare, piano, vibraphone, marimba, flûte, trompette et harmonica.

Mick Jagger n’aime pas, en définitive, cet album et l’a déclaré plus tard dans l’une des rares interviews qu’il a accordée. Pourtant, au moment de sa sortie, il le pensait supérieur à Aftermath et le présentait comme « l’album le plus varié du groupe ». De même, Bill Wyman considère que la production d’Andrew Loog Oldham, passablement noyée dans la réverbération, manque de subtilité.