C’est dimanche ! On dévoile tout…

Diablotin_vertDevinette 1.
Les réponses correctes à ces questions de complexité variable sont contenues dans le Quizz.

Devinette 2.
La bonne réponse a été apportée par Sardequin, qui gagne une jolie récompense !

Devinette 3.
C’était sans doute introuvable : il s’agit du premier album de la liste : « Egmont » de Beethoven, musique de scène qui ne passe pas très bien au disque –les parties avec le récitant-.

Devinette 4
A titre de solution, je vous dévoile la première ligne.
1-8. Bach, Variations Goldberg :
• Gould 1 –studio 1955– • Gould 2 –live 1959– • Gould 3 -studio 1981– • K. Jarrett –l’un des disques les plus ennuyeux de toute ma discothèque– • Transcrites pour trio à cordes : Maisky/Nobuko/Imai • Rosalyn Tureck –live 1982– • Rosalyne Tureck –studio 1999– • Simone Dinnerstein
9. Bach – Récital pour piano, Argerich
10. Bach – l’art de la fugue, version piano. Nikolaeva
11. AC/DC Back in black

Devinette 5
La solution a été trouvée de longue date mais non dévoilé à cette époque par Sardequin,, qui gagne une autre jolie récompense !

Devinette 6
Celle-ci était plus difficile. Sibelius fut inspiré par le vol d’une « compagnie » de cygnes au-dessus de sa Finlande natale. C’est l’ample mouvement de leurs ailes qui est ici suggéré.

cygnes-en-vol

Devinette 7
Celle-ci était vraiment facile et il est étonnant qu’elle pas été trouvée rapidement. Serge Gainsbourg : « My lady héroïne » est composée d’après « Sur un marché persan » de Ketèlbey. Il cite d’ailleurs le nom de l’oeuvre dans sa chanson : « … Es-tu venue d’Extrême-Orient / Ou bien d’un marché persan ? » Il en existe une jolie version en ligne, précédée d’un « poème » que Gainsbourg lui-même juge « pas dégueu, voire classieux »  ! –Âmes sensibles et chastes ou moins de 18 ans : s’abstenir-.

Playlist en noir et blanc

La playlist en noir et blanc de ce matin est consacrée pour partie à des « bizarreries » de ma discothèque, à savoir des disques qui s’éloignent assez résolument des canons du genre mais n’en sont pas moins passionnants pour autant. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

playlist25092016

Le Beethoven de Maria Grinberg est très diversement apprécié de par le monde –très favorablement au Japon en France, d’une manière générale, beaucoup moins favorablement dans d’autres pays européens : lorsque je l’avais acheté, mon disquaire allemand, grand spécialiste du piano, m’avait signalé que c’était une choix très contestable !-. Le son n’est pas formidable et les pianos utilisés ne sont pas tous très performants, mais c’est un Beethoven vivant et dynamique que j’aime écouter de temps à autre.

Le Beethoven d’Anatol Ugorski est tout aussi étrange : très très très  lent –certains accords de la toute dernière sonate du compositeur sont quasiment arpégés tant le tempo est lent-, mais d’une magnifique sonorité et avec de grands écarts dynamiques. En plus, je peux même profiter de la fameuse « Lettre à Elise » !!! Et je vous en fait profiter également en extrait ci-dessous.

Les deux pianistes partagent la particularité d’avoir été longtemps réprimés par le régime soviétique : leur carrière en pâtit sérieusement.
Vraisemblablement, deux albums qu’on ne saurait recommander pour découvrir ces oeuvres, mais qui s’avèrent très bine adaptés pour les approfondir ou les entendre autrement.