2 devinettes en rade et 1 solution

A ce jour, 3 devinettes restent en rade sur le blog. L’une d’elle étant vieille de plus de deux mois, je vous en livre désormais la solution. Les deux autres se trouvent ici et . Comme toujours, chaque bonne réponse donne lieu à un joli cadeau.

Solution de cette énigme : il fallait trouver qui joue quoi dans chacun des quatre extraits proposés, le nom de chacun des guitaristes étant par ailleurs donné dans la notule. Vous pouviez donc écouter, dans l’ordre :
1. Hartley Quits. Mick Taylor, 1968
2. The Stumble. Peter Green, 1967
3. All Your Love. Eric Clapton, 1966
4. My Time After A While. Mick Taylor, 1967

Devinette presque facile pour entamer le week-end

En un extrait et deux chansons, voilà de quoi entamer le week-end de manière un peu ludique. L’extrait est assez aisé à identifier, les deux chansons également –elles furent très célèbres en leur temps-, mais dans des versions un peu alternatives toutefois…

La question est simple : qui interprète quoi dans cette playlist ? Je distribue 1 point par titre de chanson, 1 point par interprète, soit au total 6 points à attribuer… Comme toujours, le gagnant sera récompensé d’un joli cadeau !

Playlist -parfois bizarre- en attendant Noël

Alors voilà : les derniers achats de cadeaux sont effectués, le frigo est plein pour les fêtes –et à peu près vide pour le quotidien…-. Aujourd’hui, peu de cohue dans les magasins, mais j’y suis allé à l’heure où, normalement, les gens mangent !
Le pied du sapin est bien achalandé en paquets plus ou moins bien réalisés –j’ai toujours été nul en paquet…-, ce qui donne de jolies couleurs au salon…

Demain, nous partirons au pays des grandes oreilles, où les corbeaux volent sur le dos en Lorraine, pas trop loin d’ici, pour le Réveillon. A ce propos, et en guise de devinette quant aux traditions locales –in : ‘Vie et culture dans nos régions », chapitre 2-, savez-vous pourquoi les Lorrains ont de grandes oreilles ? C’est facile et presqu’évident !!! Ça remonte à une période ancestrale, et c’est lié à la vieille et néanmoins amicale inimitié opposant Lorrains et Alsaciens, sur un vieux fond de guerre de religion et de guerre des paysans –les Lorrains, catholiques, avaient saccagé une partie de l’Alsace pendant la « révolte des Rustauds »-.

En attendant, une playlist fort variée égaie mes oreilles –cliquer sur l’image pour la voir en plus gand-.

L’album de U2, leur plus connu et sans doute leur meilleur, reste, 30 ans après, un solide compagnon, même si je ne l’écoute pas très souvent à vrai dire –quant aux albums postérieurs, je ne les ai jamais trop appréciés-.

Par ailleurs, les plus anciens lecteurs de ce blog savent déjà :
• que « Wozzeck », d’Alban Berg, fait partie de mes quelques opéras de chevet, et il est ici dans une fort belle version. Quant à « Cardillac », de Paul Hindemith, c’est un opéra bizarre sur un livret non moins bizarre. Mais l’ensemble fonctionne formidablement bien dans cette version ancienne mais à la distribution assez prestigieuse –cliquer sur l’extrait pour vous faire une idée de la chose-;

• que j’aime beaucoup Otto Klemperer, dont les rééditions à petits prix ont largement fait mon bonheur ces derniers mois –on en  trouve trace ici ou encore , par exemple-. Dans Bruckner, c’est souvent étrange, dans des éditions parfois très contestables, mais l’ensemble constitue un témoignage dont je n’aimerais pas me passer, d’autant que dans la première moitié du vingtième siècle, le chef était un brucknérien très réputé.

Dernière devinette en rade avant Noël

Je vous rappelle qu’une devinette -et une seule- reste à ce jour en rade… Elle ne me semble pas si difficile que ça et permettra à celui qui aura trouvé la solution de remporter un joli cadeau !

Pour vous aider un peu, je vous livre une petite précision supplémentaire, qui, en fait, ne vous avancera pas beaucoup :mrgreen:  !!! Dans les quatre titres, les trois guitaristes utilisent le même modèle de guitare : une Gibson Les Paul, « LA » guitare des bluesmen. Par contre, les amplis utilisés par les trois gaillards ne sont pas identiques, ce qui expliquera des sonorités voisines mais pas totalement similaires.

Playlist « L’autre Tétralogie »

J’ai entamé cette playlist hier matin, en tombant du lit très tôt –juste avant 5 heures…– pour l’achever ce matin, très tôt aussi, étant rentré bien trop tard hier soir pour y consacrer un brin d’oreille !
Il ne s’agit pas, comme vous pouvez le constater, de la Tétralogie wagnérienne, mais de celle, bien plus courte, des Bluesbreakers de John Mayall conçue entre 1966 et 1968 ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Quatre configurations variées autour du « vieux » mentor, qui voient passer quelques-uns des meilleurs musiciens anglais du blues de cette époque : trois guitaristes d’exception –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, d’abord, avec Eric Clapton (1), puis Peter Green (2) et, enfin, Mick Taylor (3 et 4); John McVie à la basse; Hughie Flint, Colin Allen, Jeff Hartley et Ainsley Dunbar à la batterie; et, sporadiquement, une section d’excellents cuivres.

Le premier album, avec Eric Clapton, est sans doute le plus connu et contribua à forger la légende du guitariste –c’est son meilleur album, il ne jouera plus jamais aussi bien, dans ce répertoire, par la suite. Et, comme de plus, pour quasiment cette unique occasion, il joue sur Gibson Les Paul, il trouve un son vraiment idiomatique : auparavant, il jouait sur Fender Telecaster au sein des Yardbirds; dans Cream, il jouera essentiellement sur Gibson SG puis, plus tard, passera sur Fender Stratocaster-. Mais celui qui marcha le plus fort en terme de vente et dans les « charts » de son époque, c’est le dernier, « Bare Wires », paru en 1968. C’est, pourtant, le moins directement accessible peut-être, presque plus proche du jazz que du blues par moment.

Les quatre albums forment, quoi qu’il en soit, un ensemble remarquablement cohérent et ont tous été réédités, avec parfois de très nombreux et intéressants « bonus » dans d’excellentes conditions techniques –même si la stéréo schématique, sur les trois premiers albums, produit parfois de curieux résultats-.

En guise de devinette, je vous invite à essayer d’attribuer un guitariste à chacun de morceaux suivants… Quatre morceaux, trois guitaristes, et l’on se rend compte, pourtant, d’une unicité de style assez étonnante ! A vous d’écouter et de jouer !

Devinettes en rade : solutions

Je vous rappelais, ici, que deux devinettes restaient en attente de solution.

vinchaudLa seconde a trouvé une réponse correcte d’OBNI, qui gagne donc un joli cadeau. La voiture de courtoisie que le vitrier avait mis à ma disposition était une Skoda, modèle Fabia de 2016. Skoda fait actuellement partie du groupe Volkswagen, après avoir été le plus grand kartel industriel d’Autriche-Hongrie, puis de Tchécoslovaquie : ils fabriquaient notamment toutes sortes de moteurs et de véhicules, y compris militaires.

La solution à la première devinette n’a été qu’esquissée par Christophe. Il s’agissait de la « Valse des patineurs », d’Emil Waldteufel, interprétée en 1993 par l’Orchestre philharmonique de Strasbourg sous la direction de Theodor Guschlbauer.
Rien que pour le plaisir des oreilles, je vous propose un autre extrait de ce compositeur, je suis d’ailleurs sûr que la majorité des lecteurs de ce blog le connaissent, puisqu’il servit de générique à au moins une émission de TV fort connue -et, sans doute, à de nombreuses publicités-.

Et, pour le plaisir des yeux, vous trouverez une photo du grand sapin de Noël, symbole du Marche de Noël de Strasbourg, où, comme annoncé hier, j’ai pu déguster mon premier verre de vin chaud, parmi une foule nombreuse malgré la « bunkerisation » de l’ensemble du centre ville.

sapin2016

Devinettes en rade !

DiablotinQuizA ce jour, deux devinettes restent en rade sur le blog…

La première a commencé à trouver un début de solution, mais n’est pas totalement éludée. Sa résolution me semble assez aisée désormais et permettra au vainqueur de gagner une jolie récompense.

La seconde a peut-être échappé à la sagacité des lecteurs, puisqu’elle apparaît dans le corps de cette notule sans être clairement identifiée. Il me semble qu’elle est encore plus facile que la précédente mais donnera néanmoins lieu à une autre jolie récompense également !

Murphy, sors de ce corps !

reseaumaisonAprès la mésaventure connue par mon pare-brise, c’est, hier soir, une sérieuse panne du réseau domestique, assez tarabiscoté ici –cliquer sur l’image pour voir en plus grand comment il est bizarrement fichu…– qui a frappé ! En même temps, chacun voulant bénéficier d’un internet confortable et rapide, difficile de faire autrement !

testresauL’après-midi, donc, une coupure de courant a sévi dans la maison, voire dans la rue –les travaux de voirie sont importants ici, actuellement  suite à un incendie récent qui a frappé un immeuble voisin : ceci explique peut-être cela ?-. Suite à cette panne de secteur, avérée puisque mon fournisseur d’accès me l’a confirmée lorsque je lui ai téléphoné, le réseau se traînait à la vitesse d’un escargot anémique –cliquer sur l’imagette de droite pour vérifier que c’est vrai-, mais de manière assez aléatoire en plus.

Finalement, après moults essais, il s’avère que c’est un port du switch Ethernet qui ne fonctionnait plus que très lentement, et que, de plus, il engendrait, forcément, des instabilités sur les autres ports…

Bref, j’ai dû le changer ce matin, et, désormais, tout semble rentrer dans l’ordre à nouveau ! Pourvu que ça dure !

switchethernet

Devinette -facile- couleurs locales et playlist variée

strasbg_mempoirmusique« Strasbourg reste sans contredit le lieu de France où la culture musicale s’épanouit de la manière la plus naturelle et la plus traditionnelle ». François Lesure, 1999.

Telle est la conclusion, par un des plus éminents musicologue français, de la préface, de cet excellent petit ouvrage, remarquablement documenté et doté d’une riche bibliographie, qui appelle d’autres lectures. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand et lire le titre

patineursEn matière de devinette –moins difficile qu’il n’y paraît-, je vous propose aujourd’hui d’écouter cet agréable et très connu extrait et de me donner :
• le nom de l’oeuvre;
• le nom du compositeur, surnommé « le Johann Strauss strasbourgeois », puis « le Strauss de Paris », les troubles de l’histoire complexe de la région obligeant… Né à Strasbourg, il fut très en vogue dans les salons parisiens du Second Empire et du début de la Troisième République;
• le nom de l’orchestre interprétant cet extrait -c’est facile dans ce contexte…-;
• en guise de bonus pour départager les éventuels ex-aequo : le nom du chef à la tête dudit orchestre. Autrichien, il en fut le titulaire -très apprécié des musiciens- à la fin du 20ème siècle.
Cliquer aussi sur l’image pour la voir en plus grand : meilleur indice que cela, je ne pourrai pas vous fournir !-.

Comme d’habitude, le vainqueur gagnera un joli cadeau… Et, pendant que vous vous creuserez la tête –ou pas, parce que ce n’est pas si difficile que ça…-, je profite pour ma part de cette jolie playlist ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

playlist16102016

C’est dimanche ! On dévoile tout…

Diablotin_vertDevinette 1.
Les réponses correctes à ces questions de complexité variable sont contenues dans le Quizz.

Devinette 2.
La bonne réponse a été apportée par Sardequin, qui gagne une jolie récompense !

Devinette 3.
C’était sans doute introuvable : il s’agit du premier album de la liste : « Egmont » de Beethoven, musique de scène qui ne passe pas très bien au disque –les parties avec le récitant-.

Devinette 4
A titre de solution, je vous dévoile la première ligne.
1-8. Bach, Variations Goldberg :
• Gould 1 –studio 1955– • Gould 2 –live 1959– • Gould 3 -studio 1981– • K. Jarrett –l’un des disques les plus ennuyeux de toute ma discothèque– • Transcrites pour trio à cordes : Maisky/Nobuko/Imai • Rosalyn Tureck –live 1982– • Rosalyne Tureck –studio 1999– • Simone Dinnerstein
9. Bach – Récital pour piano, Argerich
10. Bach – l’art de la fugue, version piano. Nikolaeva
11. AC/DC Back in black

Devinette 5
La solution a été trouvée de longue date mais non dévoilé à cette époque par Sardequin,, qui gagne une autre jolie récompense !

Devinette 6
Celle-ci était plus difficile. Sibelius fut inspiré par le vol d’une « compagnie » de cygnes au-dessus de sa Finlande natale. C’est l’ample mouvement de leurs ailes qui est ici suggéré.

cygnes-en-vol

Devinette 7
Celle-ci était vraiment facile et il est étonnant qu’elle pas été trouvée rapidement. Serge Gainsbourg : « My lady héroïne » est composée d’après « Sur un marché persan » de Ketèlbey. Il cite d’ailleurs le nom de l’oeuvre dans sa chanson : « … Es-tu venue d’Extrême-Orient / Ou bien d’un marché persan ? » Il en existe une jolie version en ligne, précédée d’un « poème » que Gainsbourg lui-même juge « pas dégueu, voire classieux »  ! –Âmes sensibles et chastes ou moins de 18 ans : s’abstenir-.