L’heure du bilan

Comme l’an dernier à pareille époque, l’heure est au bilan annuel de ce blog –avec graphique à l’appui : cliquer sur l’image pour la voir en plus grand; 2014 est en bleu et 2015 en vert-.

Bilan2015

A ce jour donc, et nonobstant le présent billet et les éventuels à venir jusqu’à demain, en 2015 :
221 notules ont été publiées, dont certaines très courtes et d’autres plus fournies : c’est nettement plus que l’an dernier et ça place la barre assez haut pour 2016 !
322 commentaires y ont été apportés : c’est à peine moins que l’an dernier
19 surprises ont été déposées dans l’espace dédié : c’est plus que l’an dernier

En 2016, on tâchera de conserver peu ou prou ce rythme, en fonction notamment d’un planning professionnel qui s’annonce déjà très chargé pour janvier –je rêve d’un agenda criant famine !-. Une éventuelle remise en peinture de l’atelier est à l’étude, même si le local est plutôt joli à ce jour, je crois…

4 réponses sur “L’heure du bilan”

    1. Bonsoir David,
      C’est-à-dire que mes notules –terme utilisé sur feu mon blog de 2004 à 2009– le sont réellement, pas comme certaines qui se prétendent telles et qui sont de réelles notes détaillées et exhaustives, genre : les opéras de Lully en long, en large et en travers 😉
      By the way, j’ai réussi à écouter Armide en entier et en une seule traite : je considère cela comme un authentique exploit !!! C’est mieux que du Rameau, cela étant 😀 Au moins, on ne s’endort pas…
      Je n’y retournerai pas tous les jours, cela étant, et cette déclamation très scandée avec insistance sur les rimes finales, c’est un peu exaspérant de systématisme pour mes oreilles délicates forgées à la poésie wagnérienne 😀 ! Je veux mes allitérations, moi, Monsieur ! Garstig Glatter / Glitschriger Glimmer / Wie gleit ich aus !

      1. Félicitations ! Oui, c’est bien mieux que tu Rameau, justement parce qu’il y a un sens de la déclamation très poussé, vraiment au cordeau – si on ne s’occupe que de musique, forcément, on peut trouver ça limité ou répétitif, mais proportionné au texte, c’est littéralement de la tragédie en musique.

        (J’aime beaucoup ce mot de notule, je me réjouis toujours de le voir fleurir – rarement, hélas.)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.