Playlist « Concerts parisiens »

L’avantage du télétravail, c’est que je peux l’agrémenter assez facilement d’une playlist, pour peu qu’elle ne demande pas une écoute trop attentive, même s’il peut m’arriver ici ou là de lever une oreille, voire les deux, à un moment ou un autre ! Profitons, profitons, en espérant que cette période ne s’éternise pas outre mesure !
La playlist du jour, à dire vrai, s’écoule agréablement et ne nécessite pas en soi une grande concentration : elle est consacrée à « d’aimables » concerts parisiens d’un rock plus ou moins intense selon le groupe envisagé ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Ce qui me sied tout-à-fait, puisqu’entre tableaux Excel ou enquêtes diverses et variées à renseigner et autres multiples réponses à de multiples courriels, j’ai déjà une grande partie de mon cerveau déjà mobilisée, sauf à l’occasion de courtes pauses que je m’impose toutes les trois heures…
Ainsi, le martèlement rythmique de Rammstein ou de Trust induit même une vitesse de frappe accrue sur le clavier –et donc, conséquemment, de dyslexie coutumière du clavier : je suis parfois obligé de baisser le son pour me relire…-. Le concert parisien des Cure n’est assurément pas leur meilleur –le groupe est même curieusement atone parfois-, mais, en revanche, le concert de Supertramp constitue un genre de « best of » en live du groupe tout-à-fait agréable et assez bien adapté à ce type d’écoute un peu distraite –même si mon oreille a été attirée, au détour d’une chanson, par quelques fausses notes divergentes de saxophone ! -.

Playlist éclectique et légère

Après avoir deux jours durant, exploré le Ring wagnérien dont je vous entretenais dans ma notule précédente, la playlist du jour permet de passer à des chose plus légères et variées ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

On y retrouve, pêle-mêle :
le troisième –déjà– album de Stephan Eicher, mais le premier qui connut un vrai succès grâce notamment à deux titres populaires à cette époque : « Two People In A Room » et « Komm zurück ». I Tell This Night, 1985;

le moins connu des albums des Cure parus au début des années 80, à l’époque où le groupe était réduit à un duo : il s’agit en fait d’une compilation des 45 tours ou 45 tours EP sortis après la parution de Pornography, en pleine période de reconstruction pour le groupe : l’album est donc très disparate, mais s’écoute agréablement. Japanese Whispers, 1983;

une autre compilation, post-mortem, consacrée à George Harrison, mon Beatle préféré, qui permet d’aller au-delà du magnifique « All Thongs Must Pass », sans cependant m’encombrer d’albums entiers, assez inégaux, dans la production du musicien. Let It Roll, 2009;

enfin, un album de blues-rock de l’éphémère groupe Electric Flag, où brille le guitariste Mike Bloomfield, mais où les cuivres sont parfois un peu envahissants. Le guitariste américain s’y montre tout-à-fait excellent ! A Long Time Comin’, 1968.