Les surprises de l’Avent. 2024-2

En ce deuxième dimanche de l’Avent, voici donc la deuxième surprise, que vous trouverez ici. Comme celle de la semaine précédente, elle est en lien avec une notule relativement récente. Ce n’est pas toujours le cas 😈 ! En attendant dimanche prochain et dans la perspective du Réveillon, je file dans ma cuisine réaliser quelques expériences culinaires…

ENJOY !

La retraite en marchant…

Nombre de kilomètres effectués en marchant durant le mois de novembre. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. J’ai la chance d’habiter à quelques centaines de mètres de deux grands parcs, et à peu de kilomètres de l’hypercentre, ça aide à varier les promenades quotidiennes : généralement, une très tôt le matin et une plus longue dans le courant de l’après-midi ou en début de soirée !

Une première !

Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.


Pas de mauvaise surprise, c’est exactement ce qui avait été annoncé, et versé au jour J –un jour plus tard que le traitement des fonctionnaires, il n’y a pas de petit profit pour l’État, surtout en ces temps de disette– ! Et une confirmation, en réponse à une question que je me posais : les impôts sont également prélevés à la source, reste désormais à vérifier à quel taux !

Mise à jour cosmétique, la suite…

Première mise à jour cosmétique de la page « Ile déserte », en respectant le format des autres pages mises à jour. Elle reste encore à compléter dans les jours qui viennent, les textes de présentation ont presque totalement disparu pour l’instant, ils devraient progressivement revenir dans les prochains jours…

3 millions : record à battre !

Le marché de Noël de Strasbourg a attiré, en 2023, 3 millions de visiteurs, ce qui occasionna bien des angoisses, tant auprès de la préfète que de la maire ! Il s’agissait d’un record de fréquentation, la fréquentation s’élevant plutôt autour de 2,5 millions pour les éditions précédentes. Qu’en sera-t-il en 2024 ? Réponse à partir de vendredi !

En attendant, la ville, où une foule très dense commençait à se presser dans les boutiques hier après-midi, a retrouvé ses décorations de Noël, le sapin est installé depuis quelques semaines et décoré depuis quelques jours, dans un climat loin d’être hivernal : aujourd’hui, il fait 15°, ce qui ne m’a pas empêché de déguster mon premier verre de vin –blanc– chaud ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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Playlist « Eddie envahit la maison ! »

On m’a offert récemment et à cette occasion, « pour me rappeler ma jeunesse », quelques albums de la musique que j’écoutais adolescent, et, parmi ces albums figuraient notamment les trois premiers disques d’Iron Maiden, sortis entre 1980 et 1982 que je n’ai plus écoutés depuis au moins quarante ans, et que je n’ai guère côtoyés, adolescent, que l’espace de quelques mois ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Dans ce genre de la « New Wave Of British Heavy Metal« , Iron Maiden est sans doute le groupe qui connut le plus grand succès : plus durable que Saxon et plus d’audience que Judas Priest, pour citer les trois groupes de cette mouvance que j’ai essentiellement connus. Il faut donc : un chanteur-hurleur capable de belting éraillé et de cris suraigus, deux guitares se répondant à coups de pyrotechnies techniques, une section rythmique capable d’endurer des doubles croches sur le long terme en jouant très fort et, accessoirement mais non obligatoirement, des claviers. De temps à autre, une ballade musclée vient apporter un peu de repos pour les tympans ! Vous l’aurez compris : une fois, ça va, mais point trop n’en faut !

Par ailleurs, les pochettes des albums du groupe permettaient de suivre l’histoire d’Eddie –la mascotte du groupe-, genre de zombie psychopathe qui évoluera au fil des décennies, tout au long des productions du groupe, vers une sorte de cyber-créature trépanée et décharnée. –Cliquer sur les imagettes pour les voir en plus grand-.

Mises à jour cosmétiques…

Les pages [MAC MUSEUM] et [PHOTOS] ont été totalement refondues et remises à jour : il était temps, me semble-t-il, elles étaient devenues progressivement trop « cafouilleuses » au fil de leur évolution. La réorganisation de ces pages et les modifications sont certes essentiellement cosmétiques, mais certaines informations ont également été réactualisées, ce qui devrait largement en faciliter la lecture !

Playlist « bleu-blanc-rouge du 11 novembre »

Aujourd’hui, 11 novembre oblige, la playlist sera patriotique ou ne sera pas ! Je continue à faire le tour de mon fond de discothèque, et, notamment, des coffrets anthologiques répertoriés sans trop de détail dans ma base de données sous la forme [Anthologie X_Artiste –chef ou orchestre ou soliste…– – Compositeurs divers] : le meilleur moyen, en définitive, de ne plus exactement savoir de quoi est composé précisément chacune de ces anthologies… C’est le cas, en particulier, du premier album du jour –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– , que je n’ai dû écouter qu’une et une seule fois depuis l’achat du coffret consacré à Paul Paray, dont je vous entretenais il y a peu.


On retrouve donc dans cette playlist :

Un «pot pourri» d’extraits orchestraux d’opéras de compositeurs français du XIXè siècle –***
La symphonie de César Franck –*****
La troisième symphonie avec orgue de Camille Saint-Saëns –*****

Le premier disque s’écoute avec plaisir malgré son caractère hétéroclite et composite. Les deux symphonies, quant à elles, sont de belles réussites, clairement architecturées et brillamment exécutées : des versions que je n’hésite pas à placer parmi les meilleures, pour ces deux oeuvres bénéficiant d’une fort abondante discographie.

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