Playlist « Confiné en haute définition » !

Point de surprenantes découvertes, aujourd’hui, mais une playlist « audiophile » en haute définition ! Si si, je vous assure, ça existe, et le format permet, en outre, de gagner énormément de place –sauf que comme il faisait partie des gros coffrets dont je vous ai déjà parlé plus avant, ce gain de place ne se remarque pas du tout…– ! Pensez donc : tous les quatuors / sonates / symphonies de Beethoven ou le Ring de Wagner sur un seul support et selon des conditions techniques à la pointe de la technologie numérique ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

• Où trouver des Bluray « Pure Audio » ? Je ne m’en étais à vrai dire jamais préoccupé auparavant, le tout petit nombre de Bluray Audio dans ma discothèque faisant partie de coffrets de rééditions d’intégrales : chez certains éditeurs, ils sont désormais systématiquement « offerts » avec le coffret. Dans cette perspective, ils sont très intéressants.

• Est-ce que ça marche mieux ? D’abord, il a fallu que je branche un lecteur Bluray bénéficiant des sorties adéquates pour le brancher sur l’ampli Hifi -la majorité des lecteurs actuels ne possèdent généralement qu’une sortie HDMI-, mais il se trouve que j’en avais un sous la main –sans le savoir a priori, puisque je n’avais jamais eu l’idée d’en avoir cet usage– parmi le lot des appareils récupérés ici ou là et plus réputé, d’ailleurs, pour ses capacités de lecture audio que vidéo d’après ce que j’ai pu en lire.

• Et, au final, donc ? Les derniers remasterings CD de chacun des ces documents sonores, qui font partie, chacun à leur manière, des sommets de l’histoire de la musique enregistrée, étaient déjà de très grande qualité et bénéficiaient d’une réédition haute définition, mais « réduite » à la fréquence d’échantillonnage du CD. Les résultats étaient déjà, dans la plupart des cas, excellents.
En haute définition, on gagne une toute petite aération supplémentaire dans le medium-aigu, une spatialisation un peu plus précise et, surtout, le confort de ne pas avoir besoin de changer de disque pour écouter tout un corpus. Il s’agit donc plus d’une question de confort d’utilisation que de confort sonore, mais il faut dire que les progrès réalisés depuis une quinzaine d’années en matière de rééditions –au moins dans le domaine de la musique classique– sont tels qu’il paraît désormais difficile d’aller beaucoup plus loin, surtout si l’on tient compte de la date initiale de ces enregistrements, qui traversent les années 60. Pour des enregistrements très récents, l’apport par rapport à un SACD ne me semble pas aussi évident.

Notule en vrac !

Aujourd’hui, début du week-end pascal et, donc, on fait relâche pour tout ce qui concerne le travail !!! Pour le reste, mes journées confinées se ressemblent invariablement : lever vers 5 heures, télétravail intense entre 5h30 et 8h00, à l’heure où les serveurs ne sont pas encore engorgés, puis pause entre 8h00 et 8h30 et reprise relativement intense jusqu’à 10h30, où je joue notamment à Excel…
Ensuite, les choses s’allègent quelque peu et je peux commencer à travailler plus tranquillement, et même en profitant de quelques playlists construites n’importe comment !

L’après-midi, le plus gros du travail se situe entre 13h30 et 16h00 et consiste notamment à répondre aussi précisément –et, le plus souvent, assez laconiquement– aux nombreux courriels qui me parviennent : depuis le début du confinement, ma boîte-aux-lettres professionnelle m’indique 2326 courriels reçus, ce qui est un assez joli score !

Le lendemain se profile de la même manière, et le surlendemain et les jours qui suivent également ! Parfois, certaines journées sont égayées par une visioconférence –deux par semaine– et Moneypenny s’avère très attirée par les feux des projecteurs et s’est transformée en coqueluche des réseaux !

Evidemment, avec des journées aussi sportives –même si je me déconfine quelques minutes dans le parc ou pour faire de menues promenades et pour faire les courses-, trouver le sommeil est difficile !

La playlist du confinement, en vrac et de mémoire : j’ai écouté quand même, de nombreux albums durant cette période –cliquer sur l’image pour voir en plus grand un petit extrait assez réducteur de cette playlist-.

Ces écoutes sont d’autant plus propice à la redécouverte de mon fond de discothèque que l’achat de nouveaux CD est remis à plus tard : les délais de livraison sont très allongés et le prix des CD a bondi d’un coup d’un seul sur ma boutique en ligne habituelle –effet d’aubaine ? -, où les stocks, de surcroît, sont au plus bas ! Du coup, je n’ai même pas fait de liste d’achat et je vais sagement attendre la fin de cette période !

Enfin, comme je ne l’avais pas encore fait –tragique erreur ! -, voici que je vous livre la surprise de ce moins d’avril ! Il était plus que temps, non ?
Elle est disponible ici et il s’agit d’une vraie rareté, qui devrait contribuer à égayer pour un petit moment votre confinement ! ENJOY !

Confinement, jour n+1 -je ne compte plus…- !

Le télétravail, c’est bien quand cela ne s’inscrit pas dans la durée et que je n’ai pas plusieurs centaines de courriels, entre presqu’autant d’appels téléphoniques, tous urgents évidemment, à traiter chaque jour ! Parce que, pour le coup, c’est une vraie plaie !!! Je jongle entre les ordinateurs et le téléphone, ce qui n’est pas très pratique ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Du coup, mon bureau est un véritable capharnaüm et certaines journées sont à rallonge, ce qui m’oblige à travailler le week-end également pour rester à jour… Quand ce ne ont pas les serveurs pro qui sont sporadiquement saturés, vu la très grande quantité de données échangées ! J’arrive généralement à prendre une bonne avance le matin très tôt quand même, ce qui me permet de me ménager quelques temps de respiration salutaires chaque jour, et je devrais survivre à cette épreuve, mais cela me laisse assez peu de temps pour vaquer à d’autres occupations.

Quant à TheCookingCat, son métier l’expose évidemment bien plus que moi, mais elle a droit à une ovation au balcon chaque soir à 20:00. Et ce n’est que justice !

Plus que quatre semaines et demi à ce rythme là si tout va bien !

Je me confine, donc je mange…

Bilan au terme de ces deux premiers jours de confinement :
je télétravaille, ce qui, en cette période, est épuisant : appels téléphoniques incessants, échanges de mails frénétiques -plusieurs centaines hier- et vidéo-conférence lorsque cela veut bien fonctionner, c’est-à-dire pas si souvent que cela, puisque c’est aussi tributaire de la robustesse des connexions des uns ou des autres, d’une part, et d’un engorgement certain de la tuyauterie mondiale, d’autre part : on dépasse désormais assez largement les 10 térabits de données par seconde sur le réseau mondial !

• je fais le tour du parc de la résidence chaque jour (2 ou 3 fois quinze minutes), c’est un espace privé sans maréchaussée, mais ça atteint vite ses limites !

• je cuisine : ça détend, ça occupe les mains et l’esprit pendant une petite heure et le résultat est plutôt goûteux ! -Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Et, sinon, je lis et j’écoute de la musique, comme chaque jour « normal ».

Etat d’urgence – Confiné ?!

Depuis midi, me voilà confiné, ou presque ! Je suis encore passé au bureau toute la matinée –grand moment de solitude, mais voyage express pour cause de route quasi-déserte…– régler les urgences urgentissimes qui s’accumulent depuis vendredi et qui m’ont valu un week-end bien bien bien rempli à en traiter une multitude d’autres !

Ma carte professionnelle me vaut la mansuétude des forces de l’ordre lors de mes éventuels déplacements professionnels, mais un collègue qui avait oublié la sienne a eu droit aux remontrances de la maréchaussée, à exactement 12:05 : la ville où il exerce était bouclée par les forces de l’ordre et il fallait monter patte blanche ! J’ai, également, consciencieusement rempli l’attestation de déplacement dérogatoire en 5 exemplaires, que j’emmène lors de chacun de mes déplacements !

Scène surréaliste ce matin sur le parking du supermarché où je fais régulièrement le plein d’essence : à 07:15, une file d’une cinquantaine de personnes au moins attendait déjà l’ouverture des portes du magasin, dont les portes n’ouvrent qu’à 08:30 !!! De l’art de perdre son temps, non ?

Etat d’urgence, ou presque…

Comme d’habitude, j’étais le premier –et le seul…– à voter, tôt ce matin, muni des documents nécessaires et d’un stylo que j’avais apporté –noir indélébile, mais le bleu convient aussi-. J’ai hésité à prendre une paire de gants en latex –TheCookingCat en a des boîtes pleines, c’est normal vu son métier…-, et j’ai finalement renoncé. Et je ne portais pas de masque : c’est grave, docteur ?
En revanche, des flacons de gel hydroalcoolique sont disponibles –ils devraient les coller sur la table, ça évitera les vols– et le bureau de vote était organisé conformément aux dernières recommandations. Je ne sais pas encore si j’assisterai au dépouillement ce soir, mais il risque d’être plus rapide que d’habitude, le taux d’abstention s’annonçant vraisemblablement élevé !

Au retour, je ne suis pas passé par la case petit noir au comptoir : la brasserie voisine est fermée depuis hier soir –je me demande ce que les restaurateurs vont faire de leur stock de denrées périssables– : du coup, arrivé à la maison, je me suis refait un expresso ! La ville est déserte : certes, nous sommes dimanche matin et il est encore relativement tôt, mais pas le moindre petit joggeur ni le moindre promeneur de canidé… sauf sur le chemin du retour, via un petit détour par la boulangerie : devant sa porte, une file de dix clients s’étirait sur près de 50 mètres, et l’accueil en boutique se faisait un par un ! L’Alsacien est naturellement méfiant – prudent – discipliné – respectueux des règles édictées –ou un peu de tout cela…– !

Le plus surprenant reste encore à venir : le spectacle des jours suivants risque de ressembler à ce spectacle dominical !

En attendant, mettons tout cela en musique, avec cette chanson somme toute assez rare et peu connue d’un groupe archi-célèbre…

COVID-19 : devinette belge -et autres considérations-

Les cabaretiers belges n’ont pas perdu leur sens de l’humour, malgré la propagation du Coronavirus-19 un peu partout en Europe… Ainsi, pour la consommation de deux pintes de la marque CORONA, ils vous offrent une troisième pinte d’une marque différente : l’objet de la devinette est, justement de trouver la marque de cette autre bière, assez logique somme toute ! Evidemment, un engorgement des toilettes est à prévoir… Mais c’est un moindre mal !

Sinon, afin de maîtriser parfaitement l’impédance assez basse de mes enceintes et d’en profiter dans les meilleures conditions possibles, je me suis offert ce joli joujouen importation directe d’Angleterre et à prix défiant toute concurrence par rapport à ceux pratiqués en France, avant l’entrée en vigueur effective du Brexit…-, très agréable aux oreilles de surcroît ! Puissance –pour elles– et plaisir –pour moi– accrus ! Un bonheur n’arrivant jamais seul, TheCookingCat le trouve très joli, dans sa livrée « Lunar Grey » ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Recette pour devenir millionnaire…

C’est plus facile qu’il n’y paraît, dès lors qu’on a acquis une certaine notoriété… De toute façon, quand on aime, on ne compte pas, c’est bien connu !

  1. Organiser quelques concerts dans des stades, pas besoin d’en faire trop non plus, de toute manière, les gens viennent de loin pour remplir le stade et les tickets sont vendus en quelques heures –mais la vente aux vieux fans, comme moi par exemple, est ouverte quelques heures avant la vente au grand public-…
  2. Pratiquer des tarifs exorbitants : pourtant, le son dans un stade est loin d’être excellent, mais les tarifs sont à faire peur. En gros, selon la place et pour les « non VIP », il vous en coûtera, pour une personne, entre 200$genre place assise lointaine où tu vois des lutins s’égayer sur une scène surdimensionnée– et près de 2500$à ce prix, on t’offre un petit morceau de pelouse à relative proximité de la scène et plus ou moins dans l’axe de celle-ci-.

A ce prix-là, ils pourraient embaucher un super guitariste, et même le payer décemment : à tout hasard, je leur proposerai Mick Taylor !!!

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