Un bilan discographique annuel

Cette année, le bilan sera établi en une seule courte notule ! Non pas que je me sois désintéressé de la musique, loin de là, mais les circonstances très chaotiques de ces douzes derniers mois m’en ont tenu un peu éloigné…

De fait, j’ai acheté moins de CD que les années précédentes, une centaine d’albums et assez peu de volumineux coffrets dont les éditeurs ont le secret pour écouler leurs rééditions !

Ces achats plutôt raisonnés impliquent un lot très faible de déceptions relatives, même si elles ne sont pas complètement absentes –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, soit parce que je n’ai pas réussi à appréhender les oeuvres -c’est le cas pour Busoni, dont j’aime pourtant beaucoup la musique pour piano, ou pour la musique du film « Ivan le Terrible » de Prokofiev– , soit parce que les versions proposées me plaisent assez peu –Mozart, symphonies, Walter-, soit, enfin, parce que le disque était très en-deça de mes attentes –live à Montreux de Nina Hagen !-.

Tous les autres albums sont pour le moins très plaisants, et la liste serait trop longue pour les citer tous, et même mes véritables coups de coeur 2018 forment également une liste relativement exhaustive ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, même si j’essaie de restreindre cette liste : c’est plutôt signe d’un excellent cru !

Pélerinage hivernal annuel

Hier, Marché de Noël sous un beau soleil. Foule des grands jours, essai d’incursion de « Gilets Jaunes », applaudis par certains, et sifflés par beaucoup d’autres –notamment parce qu’ils ont interrompu une chorale d’enfants-, et en particulier par de nombreux touristes.

Scène surréaliste entre un groupe de « Gilets Jaunes » et des touristes anglais, qui ne comprenaient pas cette action contre l’ « Etat-Providence français, quelle chance vous avez ! », et auxquels d’autres touristes allemands ont expliqué que c’était normal, « Das ist doch Frankreich ! ». –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Cette année, la Finlande est à l’honneur, mais il y avait tant de monde que leurs chalets étaient difficilement accessible : il faudra que j’y retourne un soir de grand calme pour essayer de manger du renne avec de la confiture aux mûres de l’Arctique : il paraît que c’est fameux !