Playlist d’avant le dernier apéro de l’année !

En attendant de préparer le dernier apéritif de l’année –forcément suivi d’un repas de Réveillon dont il va falloir que je m’occupe également : tout le repas sera à base de produits de la mer, accompagné d’un excellent Pinot gris-, cette petite playlist fait très bien l’affaire, et permettra de terminer aimablement 2018 : mélodies simples mais belles pour entamer assez joyeusement la soirée ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Faire les courses, aujourd’hui, relevait d’un authentique marathon, puisque j’ai passé plus de temps aux caisses –près de 45 minutes quand même– qu’en rayons pour effectuer mes achats… Joies des préparatifs de dernière minute, vraisemblablement !

Dehors, traditions locales –stupides et dispendieuses à mon avis– obligent, les pétard pétaradent déjà à qui-mieux-mieux !

2018 n’a pas été très prolixe en notules, j’espère être plus productif en 2019 !

Playlist pour -presque- finir l’année

Peut-être, sans doute, me suis-je levé avant le soleil ce matin, mais comme il ne devrait pas se montrer de toute la journée, c’est assez difficile à dire ! En tout cas, depuis très tôt, cette playlist très disparate résonne dans la maison, de plus en plus fort à mesure que l’heure avance ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Pas grand-chose à en dire, puisque je vous ai déjà parlé ici de la symphonie de Glière et qu’elle est délivrée dans une version « avec coupures », comme tous les enregistrements de cette symphonie avant l’apparition du CD –les deux versions dans ma discothèque sont plutôt anciennes, mais je sais qu’il en existe au moins une complète, très bien enregistrée de surcroît, mais assez chère-.
Les albums des Cure et d’AC/DC sont déjà « des classiques » et celui des Flamin’Goovies est, à mes oreilles et pour de nombreux autres, l’un des meilleurs albums parus en 1969, grand année pour la « Rock-Music » au sens large du terme : c’est dire sa grande qualité !

Bref, une matinée dominicale qui s’annonce bien !

Playlist dans l’attente du Nouvel An

Evidemment, cette playlist se passe de commentaire superfétatoire –deux des trois plus grands interprètes de ce répertoire, le troisième étant l’autre K : Erich Kleiber-, mais l’extrait que je vous propose de découvrir est vraiment miraculeux de grâce ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Les surprises de l’Avent – 2018.4

Dernier dimanche avant Noël, déjà ! Et dernière surprise, en conséquence., que vous trouverez ici.
Forcément, elle sera très éloignée de celles des semaines précédentes, mais devrait s’avérer non moins surprenante cependant ! Ici, les préparatifs de Noël avancent bien, et un dernier petit tour au Marché de Noël, cette après-midi, n’est pas exclu ! ENJOY !

Préparation des agapes de Noël

Tombé du lit avant l’aube, je suis parti faire les courses très tôt ce matin –j’étais de retour, paniers remplis, à 9h00-, en vue de notre repas de Noël : des noix de joue de porc au Pinot noir et au miel façon Bäckehoffe.

J’ai donc acheté :
• 1,2 kilo de noix de joue de porc
• 2 kilos de carotte
• 1 kilo d’oignons grelots
• 2 kilos de pomme de terre « Rattes du Touquet » –pas besoin de les éplucher, elles cuisent gentiment dans leur peau…
• 3 bouteilles de Pinot noir –dont deux pour la marinade et la cuisson et une pour accompagner le repas-.
• j’avais déjà du miel de forêt étiqueté « Bio » et toutes les épices nécessaires.
La viande va mariner à partir de lundi matin, et je lancerai la cuisson, pour 3 – 4 heures, mardi matin. Comme j’ai prévu large, on en remangera quelques fois la semaine prochaine !

Playlist anti-idées reçues

Lorsque j’étais plus jeune, il y a une petite trentaine d’années, il était de bon ton de considérer Claudio Arrau comme un pianiste d’une profondeur marmoréenne, avec sa sonorité à la fois grave et opulente et son goût prononcé pour des tempos très modérés, voire, dans certains cas, d’une lenteur extrême. Personnellement, j’aime assez, mais ne suis pas totalement inconditionnel, cependant, des enregistrements qu’il réalisa pour Philips, à partir des années 60 et jusqu’au son décès, en 1991, à l’âge plutôt avancé de 88 ans –il enregistra quasiment jusqu’à l’année de sa mort-. En définitive, plutôt attaché à des lectures un peu plus vives et claires, je m’en étais un peu éloigné, et nombre de ses interprétations quittent assez peu souvent leurs étagères. A contrario, je reviens assez régulièrement, et avec plaisir, vers ses enregistrements antérieurs.

C’est pourquoi, j’ai été très agréablement surpris en écoutant cet album –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, trouvé pour une bouchée de pain dans un bac à soldes, et qui propose des enregistrements de relative jeunesse : le concerto de Brahms s’avère très éloigné des futurs enregistrements que le pianiste chilien réalisé plus tard : ici, c’est à la fois vif et clair, presqu’autant que la célébrissime version de Clifford Curzon, qui, paraît-il s’inscrit vers les sommets de la discographie –personnellement, je ne l’a goûte pas outre mesure-. De même, les quelques sonates de Beethoven proposées sont très différentes dans l’esprit de celles qu’il enregistra plus tard pour Philips. 

Un joli coffret et très bonne surprise, donc ! Et, pour faire bon poids bonne mesure, je vous en propose même un petit extrait en prime !

Playlist « Grands classiques »

De retour d’une longue journée laborieuse qui m’aura vu affronter un formidable brouillard alors que je parcourais de petites routes, il ma fallait une playlist réconfortante, composée de grands classiques qui ont marqué leur époque, et au-delà, tout en me précipitant vers la cuisine pour préparer une tarte légumes grillés – bacon – mozarella – miguaine épicée à ma façon, qui dore dans le four. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Inutile d’en dire beaucoup plus, chacun de ces albums est possède sa propre légende, à sa manière, et je les aime tous beaucoup. L’album de Neil Young bénéficie, en outre, d’un remastering très soigné, et très éloigné de toutes les autres versions que j’en ai possédé au fil du temps, qui allaient du médiocre à l’abominable !

Demain, une autre longue journée m’attend, mais demain est un autre jour… En attendant, à table !!!

Les surprises de l’Avent – 2018.3

En ce troisième dimanche de l’Avent, il neige ici et voici donc la troisième surprise pour préparer les festivités de Noël, et au-delà. Celle-ci, disponible ici, est tout-à-fait extraordinaire, fut longtemps introuvable, et propose l’un des absolus sommets de la carrière de ces artistes, lors d’événements qui firent beaucoup parler d’eux, tant pour des raisons artistiques qu’extra-artistiques : beaucoup de neige aussi… C’est, dans son genre, absolument grandiose.

Comme d’habitude, la surprise du week-end précédent disparaît par la même occasion : il fallait en profiter avant ! PLAY IT LOUD & ENJOY !

Playlist romantique, entre télétravail et musique !

Ces derniers jours ont été marqués par des échéances électorales professionnelles qui m’ont apporté, au final une belle satisfaction. Evidemment, les opérations de dépouillement et de répartition des sièges m’ont procuré deux nuits blanches en fin de semaine dernière, puisque, malgré le vote électronique, elles restent fastidieuses et longues.

Je profite, depuis la fin de la matinée et en ce début d’après-midi, d’une journée de télétravail loin de mon bureau pour oeuvrer en musique : une belle playlist romantique à souhait, qui me fait ponctuellement lever l’oreille lorsque j’y trouve des beautés cachées ou oubliées –il y a longtemps que je n’avais plus écouté la majorité de ces versions-, le tout sur un nouveau système Hi-Fi dont je vous ai un peu parlé précédemment. Cela faisait un bout de temps que je n’avais plus trouvé le temps, justement, de profiter d’un peu de musique calmement et tranquillement ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Avec cette version des symphonies de Schumann par Rafale Kubelik –sa seconde intégrale-, j’ai, à vrai dire, assez peu levé l’oreille : sa première version me semble meilleure, et, ici, l’ensemble est un peu terme est assez peu vivant, avec des articulations un peu téléphonées, notamment dans la quatrième symphonie, ma préféré du lot.

En revanche, le quintette de Schubert trouve dans cette interprétation une fort belle version, avec, notamment, un très bel équilibre entre les deux violoncelles –trop souvent, le second violoncelle est tenu par un « grand nom » qui occupe trop le devant de la scène, ce n’est pas du tout le cas ici-. L’oeuvre est absolument magnifique, ce qui ne gâte rien à mon plaisir –et ne m’incite pas trop à la tache…-.

Les deux derniers albums me permettent de retrouver le grand chef hongrois George Szell, très à l’aise dans ce répertoire : le Mendelssohn est vif et équilibré, le Brahms plutôt tendu et dans une ligne assez claire, encore renforcée par un pianiste qui aborde les oeuvres dans sa prime jeunesse, avec beaucoup de ferveur. Une très belle version, assurément !

Inquiétudes britanniques…

Je ne sais pas si vous avez le temps de suivre l’actualité internationale, en cette période d’agitation nationale, mais j’ai trouvé cette vidéo à la fois drôle et inquiétante –et les Anglais sont bien plus embêtés que nous, avec le Brexit qu’ils ont voté il y a près de deux ans et qui engendre chaque jour son lot de péripéties…– !
Elle devrait aussi rappeler quelques aimables souvenirs aux lecteurs cinéphiles…