Playlist éclectique et légère

Après avoir deux jours durant, exploré le Ring wagnérien dont je vous entretenais dans ma notule précédente, la playlist du jour permet de passer à des chose plus légères et variées ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

On y retrouve, pêle-mêle :
le troisième –déjà– album de Stephan Eicher, mais le premier qui connut un vrai succès grâce notamment à deux titres populaires à cette époque : « Two People In A Room » et « Komm zurück ». I Tell This Night, 1985;

le moins connu des albums des Cure parus au début des années 80, à l’époque où le groupe était réduit à un duo : il s’agit en fait d’une compilation des 45 tours ou 45 tours EP sortis après la parution de Pornography, en pleine période de reconstruction pour le groupe : l’album est donc très disparate, mais s’écoute agréablement. Japanese Whispers, 1983;

une autre compilation, post-mortem, consacrée à George Harrison, mon Beatle préféré, qui permet d’aller au-delà du magnifique « All Thongs Must Pass », sans cependant m’encombrer d’albums entiers, assez inégaux, dans la production du musicien. Let It Roll, 2009;

enfin, un album de blues-rock de l’éphémère groupe Electric Flag, où brille le guitariste Mike Bloomfield, mais où les cuivres sont parfois un peu envahissants. Le guitariste américain s’y montre tout-à-fait excellent ! A Long Time Comin’, 1968.

Lectures pour les temps à venir

Alors que la lecture de l’excellent McPherson dont je vous parlais ici est déjà bien avancée –même si, à ce stade, la guerre civile n’a pas encore commencé, ses prémices et ses fondements sont remarquablement analysés-, j’ai également de beaux projets de lecture pour les semaines à venir. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

lecturesavenir

Pour les avoir feuilletés rapidement, ces deux ouvrages allient une riche iconographie à des textes de qualité. Le premier devrait, de surcroît, occasionner de jolies balades à travers la ville, à la recherche des lieux cités, appareil photo au poing, et me ramener vers le quartier de mon enfance, où de nombreuses constructions Jugendstil furent érigées avant la première guerre mondiale.

Et vous, vous en donneriez combien ?

whiten1Personnellement, un peu mais pas trop –et du coup, je ne l’aurai jamais, mais ça ne m’empêchera pas de dormir–  ! Bon, l’objet est rare d’autant qu’il est unique, et pourra évidemment passionner les collectionneurs les plus avertis, toujours avides de ce genre de raretés. Personnellement, mon exemplaire porte un numéro beaucoup plus élevé  🙄 . Et il est unique aussi  :mrgreen: !!!

Cela étant, le contenu est plus appétissant que le contenant, même mes oreilles supportent difficilement une écoute en continu des quatre faces qui composent l’album : il y a quand même des titres très oubliables dans ce qui fut un double 33 tours !

Mon morceau préféré, c’est une chanson de Lennon, à la beauté troublante malgré les wahwahwah incongrus : Sexy Sadie, qui n’est de loin pas la plus connue du groupe –en extrait ci dessous-. Et j’aime beaucoup, également, la chanson de George Harrison : While my guitare gentry wheeps, avec Eric Clapton à la guitare. Mais des niaiseries genre « Ob-la-di Ob-la-da », ou des collages vaguement bruiteux du style « Revolution 9 », ça me parle très moyennement…