En cette période passablement agitée, voire chaotique, mars est arrivé beaucoup plus vite que prévu et sans crier gare, accompagné d’un soleil radieux des plus agréables, malgré d’assez fortes gelées matinales !
Il est donc plus que temps de vous livrer la traditionnelle surprise mensuelle, que vous trouvez ici.
Vous comprendrez vite pourquoi elle s’intitule ainsi…
C’est un joli coffret –présentation et remasterisation soignées, jolie ligne éditoriale et texte de présentation intéressant et informatif-, j’aime énormément ce très grand chef à l’allure aristocratique et j’ai même du temps à y consacrer ce week-end !
A ce stade, deux conclusions alternatives semblent s’imposer : 1. Je n’ai plus de place pour ranger tout cela sur mes étagères ; 2. Avec l’âge, je suis devenu plus raisonnable.
On pourrait en rajouter une troisième, assez proche de la réalité : je manque de temps en ce moment pour en profiter pleinement.
Je viens tout juste d’apprendre la disparition de Gary Brooker, annoncée un peu tardivement semble-t-il, puisqu’il est décédé il y a quelques jours déjà.
Il fut membre créateur de Procol Harum –et seul membre originel du groupe alors de sa réformation tardive-, qui connut gloire et fortune au courant de l’été 1967 avec « A Whiter Shade of Pale ».
Dans cette vidéo, on le retrouve, à un âge déjà relativement avancé et presque à bout de voix –et de doigts, qui ont perdu de leur fluidité d’antan-, sans que le plaisir soit gâché pour autant.
Ce que l’on voyait chaque matin en ouvrant les rideaux… Par beau temps, le soleil qui se lève sur les côtes anglaises les rend bien plus visibles qu’en été, et notre maison offrait un point de vue exceptionnel ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Cette nouvelle surprise mensuelle devrait s’avérer réellement surprenante, tant par le répertoire que par la présence d’une certaine artiste, dont la participation à ce projet constitue presqu’un retour aux sources !
Adaptée d’une oeuvre très populaire en Angleterre, issue des bas-fonds un peu glauques et des arrière-cours sordides, c’est drôle et plein de gouaille… Et très facile d’accès !
La surprise est disponible ici.
Après des jours de jachère auditive, je remonte dans le temps, avec cette courte playlist, puisqu’elle est composée respectivement des deuxième et troisième disques que l’on m’avait offerts, lorsque j’étais encore enfant –bien avant mes années collège-, au début des années 70 !
J’ai dû les écouter une bonne centaine de fois depuis –ma discothèque étant alors remarquablement peu fournie, ce n’était pas bien difficile-, mais très rarement ces trois dernières décennies…
Evidemment, je ne les ai plus en LP, mais ils sont toujours présents dans ma discothèque. Dans les concertos de Liszt –j’ai toujours adoré la première partie du second concerto-, j’ai trouvé des versions régulièrement plus nourrissantes, même si celle écoutée ce jour est très loin d’être indigne et faisait alors partie des versions largement recommandées en France, où le pianiste a toujours bénéficié d’une énorme réputation –qu’on peut interroger avec le recul d’aujourd’hui…-.
Pour ce qui concerne Tchaïkovsky, en revanche, difficile de faire mieux en termes de hauteur et de fermeté du discours : c’est noble et grand, même si on peut faire autrement de manière tout aussi persuasive.
Janvier 2022, qui touche presqu’à sa fin, a été parfaitement pauvre en achat de disques et à ce jour ! Il faut dire que je n’ai guère eu le temps d’écouter beaucoup de musique ces dernières semaines, alors envisager de nouveau achats dans ces conditions serait assez vain…
En conséquence : un seul coffret de 5 disques acquis depuis le début de l’année ! A priori, c’est peu ! Mais celui-ci me fera de l’usage !