Copier n’est pas jouer…
Ou aurais-je dû dire « copier n’est pas tricher » ? Article très intéressant, et un peu édifiant, à lire ici… Pour une fois qu’on a gagné, on s’en serait bien passé 🙄 !
Ou aurais-je dû dire « copier n’est pas tricher » ? Article très intéressant, et un peu édifiant, à lire ici… Pour une fois qu’on a gagné, on s’en serait bien passé 🙄 !
… de m’armer de patience, de typex et d’user d’huile de coude et d’une calculette pour affronter ça !
C’est de saison, paraît-il, et je ne me suis toujours pas résolu à « télédéclarer ». Du coup, s’il n’y a pas encore tout-à-fait urgence, le temps commence un peu presser quand même : on verra donc ça, au mieux demain, sinon le week-end à venir ! J’ai déjà ouvert l’enveloppe 🙂 c’est un premier pas d’accompli !
Et dire que l’on est obligé de remettre ça chaque année ! Vive le prélèvement à la source, comme dans la majeure partie des pays civilisés… Comment, il y en aurait qui sont contre ? Drôle d’idée !
Durant toutes ces années, on m’aurait donc menti ???
Je m’explique : en me vantant l’opéra italien, que je n’apprécie guère, on me disait qu’on y trouve une ligne mélodique bien plus affirmée et lisible que chez Wagner (au hasard) et des thèmes d’accès beaucoup plus facile, une écriture pour les voix beaucoup mieux adaptée et que sais-je encore…
Donc, j’ai essayé : hors « Turandot » de Puccini, et « Meurtre dans la cathédrale » de Pizzetti, dont je vous avais déjà parlé là, mon inculture en la matière était immense. J’ai découvert, ces derniers jours et en vrac : le prosaïsme des lignes mélodiques, les orchestrations parfois débraillées et une ambiance « fête de la bière » que je n’aurais pas soupçonnée -en général, on n’associe pas l’Italie à ce type d’ambiance…-. Et pourtant, écoutez ce petit extrait, et vous ne me donnerez peut-être pas tort !!!
Bref, selon mon verdict personnel : Bayreuth : 1 – Scala : 0; Wagner : 1 – Verdi : 0… En opéra, comme en football, « à la fin c’est toujours l’Allemagne qui gagne »
J’ai trouvé ça, aujourd’hui : la propagation de l’espèce semble assurée et c’est du dernier chic, si si !!! Il est interdit d’en rire, bien évidemment…
Mai, joli mai, mois des ponts, est arrivé, avec son muguet et ses ponts, auxquels je ne participe même pas !!!
Il paraît que lesdits ponts feraient perdre des milliards à l’économie française… Le chiffre exact varie selon les sensibilités de ceux qui effectuent les calculs 😀 Etonnant, non ? Dans les autres pays où les ponts existent aussi -car contrairement à une idée que l’on essaie de propager dans nos contrées austères, il n’y en a pas plus ici que dans la moyenne des pays européens-, le calcul n’a pas été effectué, semble-t-il.
Ou bien tout simplement, les gens en profitent et ne se posent pas ce type de questions -et ils ont bien raison !-. En tous cas, ça commence cette semaine, et ça se poursuit les suivantes -8 mai, 29 mai- ! Vive les ponts !
Rappelez-vous de cette jolie publicité à la sortie de l’iPad mini. Ça y est, vous vous en souvenez ?
On la retrouve jouée aux pieds, si si !
Mais comme cela, c’est encore plus joli, en fait (très belle interprétation de cette bluette : Heart and soul, de Hoagy Charmicael, le compositeur de Georgia on my mind immortalisée par Ray Charles) !
Aujourd’hui, j’ai momentanément arrêté de travailler pour lever l’oreille en écoutant ce disque. C’est qu’il devait être rudement beau, pour que cela arrive !
Un ou deux pains sans incidence dans la sonate de Liszt, qui est d’une complexité et d’une difficulté technique avérées, une beauté des lignes et des timbres à couper le souffle, un sens puissant de l’architecture, dans une oeuvre où la structure du discours est fondamentale, mais difficile à construire : beaucoup de pianistes interprètent l’oeuvre de manière séquentielle. La plus belle version de l’oeuvre que je connaisse -elle fait partie des multiplons évoqués ici-. Et le Schubert (en court extrait) est à l’avenant.
Un disque magnifique, témoignage d’un concert où j’aurais bien voulu être !
J’ai retrouvé cela, aujourd’hui, en faisant un peu de classement dans la pagaille des innombrables concerts de The Cure… Mémoire d’un excellent concert donné à Toronto, en août 2004.
A l’époque, le groupe tournait encore à 5 -c’est la même tournée que celle qui les vit passer par Festilac à Aix-Les-Bains en juillet de la même année : un grand souvenir-, dernière année d’une formule qui avait trouvé une bonne stabilité depuis plusieurs années. Depuis, entre départs, arrivées, départs, retours… Robert Smith a multiplié les formules, avec plus ou moins de satisfaction semble-t-il : du quatuor -comme en 2005 à Saint-Malo : un souvenir mitigé- au trio puis à nouveau au quintette 🙂 !
Ce concert, pour le coup, est vraiment très bon !
Après quelques exemples cités ici ou là, voilà que, dans ce cas précis, je préfère la copie à l’original ! Ce qui n’engage que moi 🙂 ! Et c’est un grand titre que celui-ci !!!
Hop, voici d’abord l’original… Voix un peu forcée, cuivres très -trop ?- présents, batterie trop en avant à mon avis. Le texte est néanmoins très intéressant et la mélodie facile d’accès et aisément mémorisable.
… et voici maintenant sa copie ! Tempo un rien plus vif, instrumentarium rénové, voix plus souple, belle mise en oeuvre de la mélodie dans un contexte plus contemporain -léger halo de réverbération sur la voix-, mais peut-être moins intemporel…