Ce matin, avant même que pointe l’aube, j’ai mis à jour ma discothèque, activité que j’avais laissée en friche depuis quelques mois… Ce qui donne le résultat suivant pour ce qui concerne les compositeurs et groupes les mieux représentés –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– :
Bref, pas de grandes surprises, le quinté gagnant est le même depuis 2016, même si le tiercé gagnant a changé depuis 2015 !
J’ai commencé à encartonner les CD, du coup, les murs se retrouvent tout vides… Par précaution, j’ai pris des cartons pas trop volumineux, afin de ménager mon dos et mes efforts lors du transport ! Et j’ai même numéroté les cartons, ce qui permettra de ranger tout cela avec un semblant d’ordre par la suite…
… Et ce qui est fait n’est plus à faire, n’est-ce pas ? On va laisser reposer un peu tout cela avant de poser les contre-plinthes, et la pièce sera finie et prête à accueillir des meubles !
Ce parquet était le plus facile à poser, pour le coup : le système « easy clic » était vraiment d’un grand confort, et peu de découpes complexes à effectuer… Ainsi, les 20 mètres carré ont pu être achevés en cinq heures environ sans se presser, pose de l’isolant acoustique comprise. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Hier, nous avons très largement entamé le montage de la cuisine, que nous finirons aujourd’hui par la pose de plinthes de meubles et de joints de silicone : de la petite besogne… Un peu plus tard, une crédence que nous n’avons pas encore choisie viendra compléter l’ensemble.
Le rendu final est à la hauteur de notre projet et, lorsque nous emménagerons, au plus tard le 31 mai, les derniers éléments trouveront facilement leur place : micro-onde, frigo et indispensable lave-vaisselle ! –Cliquer sur la photo pour la voir en plus grand-.
Travailler avec un pro doté de tous les outils –dont une indispensable scie circulaire très puissante qui permet de découper vite et bien les plans de travail…– et d’un vrai savoir-faire, ça aide grandement à accélérer les choses pour mettre l’ensemble à niveau et rattraper les erreurs d’angles ! A midi, la cuisine sera finie ! Ce qui me laissera du temps pour poser la couche d’isolant acoustique au sol, dans le salon, avant la pose de parquet, que j’effectuerai demain…
Démentons les vieilles rumeurs, qui veulent généralement que « Avant, c’était mieux« … –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Encore les photos, de piètre qualité, ne rendent-elles pas compte de l’ampleur des travaux réalisés : plus de 30 kilos de sous-couches et de peinture pour une surface somme toute réduite et, surtout, un sol affreusement pénible à poser : j’ai mis beaucoup plus de temps pour ces 12 mètres-carrés que pour le parquet de mon futur bureau, qui en fait 20 ! Déjà, trouver un angle droit parfait pour entamer la tâche s’est révélé quasiment impossible, et celui trouvé imposait de commencer par des découpes complexes… Commentaires de MiniNain, assistant-poseur : « Ils appellent ça EasyClick, qu’est que ça doit être un système uneasy ! ».
La cuisine sera livrée vendredi et posée la semaine suivante… je suis déjà en train de réfléchir au premier plat que j’y cuisinerai !
Ici, le printemps semble définitivement installé, presque sans crier gare, durant le week-end –mais trop occupé par les travaux, je ne m’en étais pas vraiment rendu compte-, et, hier, déjouant avec témérité les dictons antiques, j’ai décidé de me découvrir d’un fil, en remisant enfin au placard mon manteau d’hiver !
C’est donc une playlist printanière dont j’avais besoin pour m’acclimater !
Entamée très tôt –presqu’avant l’aube-, voici donc une playlist composée d’enregistrements plutôt anciens –années 50 et 60-, mais qui restent aussi frais, par leur spontanéité, qu’un petit matin de printemps à l’heure où le soleil darde tout juste ses premiers rayons ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Pour un réveil dans la bonne humeur, le premier album proposant quelques valses de Strauss et autres bonbons plus ou moins sucrés convient parfaitement : de belles lectures, par un chef qui ne négligeait pas ces oeuvres et les traitaient avec respect. Ici, avec le Philharmonia Orchestra, les lectures sont soignées très bien rendues, même si on n’y trouve pas tout-à-fait l’idiomatisme des versions enregistrées avec la philharmonie de Vienne.
Les Variations Enigma par Beecham, en revanche, sont totalement idiomatiques dans cette version : composition anglaise jouée par un orchestre et un chef anglais. C’est très bien, et, cependant, ce n’est pas ma version préférée, j’en connais quelques autres encore plus abouties –et mieux enregistrées-.
Il fut un temps où les grandes firmes discographiques pouvaient se permettre de réunir les plus grands artistes pour former d’épisodiques formations de chambre, le temps d’un enregistrement : c’est le cas avec cette très belle version des trios de Beethoven. Ces réunions furent parfois hasardeuses, proposant des résultats pas toujours probants –chaque « star » voulant s’approprier le leadership– : ce n’est pas le cas ici. On entend une belle collaboration chambriste, et les oeuvres sont magnifiquement jouées et interprétées. Les trois premiers trios de Beethoven sont ses premières compositions officiellement éditées et, déjà, le sérieux et un certain sens de la « construction implacable » du musicien sont sous-jacents dans des compositions d’une belle fraîcheur. –cf. extrait-.
Enfin, le jeune Lorin Maazel propose, dans l’un de ses premiers disques, une version tout bonnement épatante de la symphonie de César Franck : c’est vif, plein d’arêtes et de spontanéité.
La tradition bien installée des bacs à soldes, en Allemagne, m’a valu quelques jolies surprises en de début de printemps ! Pour une somme assez dérisoire –rien à voir avec les soldes d’ici : en Allemagne, les bacs à soldes, parfois exposés sur le trottoir lorsque le temps le permet, proposent des prix vraiment fracassés chez les disquaires, qui cherchent avant tout à faire de la place dans leurs rayons-, j’ai trouvé quelques bons, très bons, voire excellents albums pour abonder ma discothèque « Pop-Rock » : ça faisait assez longtemps qu’en la matière, je n’avais plus acheté grand-chose… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
On retrouve plusieurs albums de Blues-Rock avec d’excellentes parties de guitare –meilleur représentant dans cette catégorie selon mes oreilles : un très bon album de la première période de Fleetwood Mac-, mais également des albums artistiquement ambitieux du genre « concept-album », dont le meilleur est, selon moi, le remarquable « The Kinks Are The Village Green Preservation Society », empli d’une belle et tendre nostalgie de la « vie d’avant » en Angleterre. La seule relative déception est constituée par l’album de Ted Nugent, bavard, bruyant et brouillon, d’une virtuosité un peu vaine…
Evidemment, avec les travaux de rénovation, je n’ai pas trop de temps à consacrer à l’entretien de mes oreilles, mais cela va vite changer ! Les travaux avancent assez rapidement désormais : la mise en peinture est quasiment achevée et, hier, j’ai parqueté l’une des deux grandes pièces, destinée à mon futur bureau, en un temps presque record, avec l’aide précieuse de mini-Nain : ambiance plutôt scandinave et claire –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– ! Mon dos et mes genoux s’en souviennent encore ce matin !
Mini-Nain étant très serviable, il m’aide à chaque fois en échange d’un repas au restaurant plutôt que contre espèces sonnantes et trébuchantes –c’est son choix…– : il lui reste deux repas à gagner, l’un pour l’autre grande pièce –futur salon-, et l’autre pour la cuisine, pour laquelle nous avons opté –surtout TheCookingCat-, parce que moi, je n’avais pas d’opinion très arrêtée en la matière- pour des dalles « rétro carreaux de ciment » –cliquer sur l’image de droite pour voir en plus grand ce que cela devrait donner à la fin…– qui sont paraît-il et selon des avis divergents, « très faciles à poser » ou « une véritable plaie à poser »… On verra bien !
Dans la Présipauté voisine de Groland, le tragique décès du Président devrait entraîner très rapidement de nouvelles élections… Aucune candidat à sa succession n’est encore annoncé à ce jour, tant cette tâche s’avère ardue.
Célèbre pour sa taille et ses discours à l’humour ravageur, réélu triomphalement depuis 1992, le Président s’est éteint après une longue maladie. Ses concitoyens le regrettent déjà, et s’interrogent sur la survie de la Présipauté de Groland après sa disparition.
Alors que comme chaque année à cette période, mon agenda professionnel est au bord de l’explosion –mes journées se ressemblent toutes en commençant invariablement vers 05:30 pour s’achever vers minuit-, il me reste trois semaines pour finir la cuisine avant la livraison et la pose des meubles : les délais seront tenus, puisque l’électricien est en train d’achever la mise aux normes, que le peintre passera à sa suite et qu’enfin, je pourrai enfin poser le sol que nous avons choisi !
Quant aux autres pièces, elles sont actuellement poncées, enduites, renoncées et peintes, ce qui prend un peu de temps, et la hauteur sous plafond rend ces travaux longs et fastidieux, sans compter que la couche nuageuse impose une lumière de piètre qualité…
Bref, ça avance, moins vite que je ne l’imaginais, mais tout sera achevé d’ici un petit mois désormais… Après, ne restera plus qu’à déménager – emménager, ce qui est une autre histoire –la maison commence à se remplir de cartons que je vais chercher régulièrement au supermarché du coin…– !
… on le savait depuis des années, mais c’est, à nouveau, confirmé ! L’intégralité de l’enquête, au demeurant, est extrêmement intéressante à lire, et on peut la trouver ici.
Comme la perspective de passer des vacances estivales à la mer -ou ailleurs…- s’éloigne à grands pas ces derniers jours –même si les travaux de rénovation avancent plutôt vite et bien, ils sont d’ampleur, chronophages et s’avèrent un peu coûteux-, je me suis rabattu sur une playlist où de chatoyantes sonorités évoquent cette mer… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
On retrouve donc, évidemment, « La Mer », de Claude Debussy, oeuvre « impressionniste » très agréable, et son presque pendant stylistique « Les Océanides », de Sibelius –une très belle pièce, restée longtemps peu connue, mais néanmoins vraiment belle !-. La symphonie « Hebridean » de Granville Bantock est sa première, et, à mes oreilles, sa plus belle. Elle s’inscrit dans une veine post-romantique, mobilise un orchestre important et distille quelques magnifiques sonorités –cf. extrait ci-dessous– ! Enfin, l’ouverture « Les Hébrides » de Mendelssohn, qui complète, sur cet album, une troisième symphonie solidement charpentée, vient achever ce rapide voyage marin…
Une petite matinée de relâche, avant de poursuivre mes activités de décollage de papier peint –qui sont presqu’achevées : à partir de demain, les longs travaux de peinture (± 80 mètres carrés de plafond et au moins autant de murs) et de mise aux normes électriques pourront débuter– !