Où il est question de fissures et de trolls, sur fond de marché de Noël et de facture augmentée ! Selon les habitudes des uns ou des autres, on en rira un peu ou on en râlera beaucoup… Quoi qu’il en soit, aucune manifestation pour bloquer la ville n’est prévue à ce jour !
Quant la photo de feu le sapin présentée la semaine dernière, elle est évidemment caduque –ou historique, selon le point du vue auquel on se place-…
NB. Si vous utilisez un bloqueur de publicités, il faudra le désactiver le temps de la lecture de l’article ci-après, qui vous explique tout sur ces épineuses considérations…
Pour illustrer cette notule, rien de mieux qu’une « Marche des trolls » ! A écouter ci-dessous. Après tout, ils sont responsables –mais pas coupables, évidemment– de cette situation !
L’oubli de la lettre J dans mon approche alphabétique des playlists n’a pas encore été relevée, mais je m’aperçois qu’en effet, entre le I et le K, manque le J ! Erreur réparée dès aujourd’hui, donc, avec cette playlist dominicale concoctée tôt ce matin, alors que la pluie tombait dru ! Le choix était à peine plus grand qu’hier, au demeurant… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Pas de rareté en revanche du côté de cette playlist, qui ne comporte que des albums plutôt très connus, à une exception près, le dernier cité, qui est aussi le premier de cet artiste prolifique…
Dans l’ordre, on retrouve donc : • U2, « (The) Joshua Tree » –1987-. Dernier album d’une belle trilogie entamée en 1983 avec « War », suivi en 1984 par « The Unforgettable Fire ». A mes oreilles, tous les albums studio qui suivront seront bien en-dessous de ces trois disques. Sur l’album de ce jour, l’enchaînement des trois premiers titres est un petit miracle. • Eric Clapton, « Just One Night » –1980-. Sorti comme double-LP à l’origine, ce disque permet de retrouver Clapton en concert à l’issue de sa longue période de passage à vide du milieu des années 70 et de ses déboires multiples –drogue, alcool, politique…-. Le guitariste est très bien accompagné, mais l’album me semble un rien longuet. • Neil Diamond, « Jonathan Livingston Seagull » –1973-. La musique de Neil Diamond accompagnait le film adapté du roman de Richard Bach, élevé sur le même piédestal dans les pays anglo-saxons que « Le Petit Prince » en France. Tout petit, je raffolais de ce disque, qui était sans doute le seul album « non-classique » de la discothèque paternelle.
• John Mayall, « John Mayall Plays John Mayall ». Paru aussi tard qu’en 1965, alors que « le parrain du blues anglais » tournait depuis plusieurs années déjà, il s’agit du premier album de John Mayall, enregistré en live, remarquablement bien d’ailleurs –quelques saturations passagères-, puisque le petit Klooks Kleek club où il se produisit ce soir-là était relié directement aux studios Decca voisins, les câbles sortant par la fenêtre… Le guitariste qui l’accompagne ici est Roger Dean, vraiment excellent, mais vite retombé dans un oubli relatif après avoir quitté « le maître ».
La météo de ce jour est parfaitement dégueulasse, alors qu’hier, en fin d’après-midi, les terrasses étaient encore bondées d’un monde légèrement vêtu, tant il faisait doux. Au pied du grand sapin, c’était très étrange –et tout-à-fait inhabituel– de se promener presqu’en tee-shirt !
Après bien des péripéties, le traditionnel sapin de Noël géant est arrivé à destination et se retrouve planté au coeur de la ville, comme chaque année, en attente d’être bellement paré. Les boutiques commencent également à installer leurs décorations, les guirlandes sont peu à peu posées par les services techniques de la ville et s’illuminent le soir venu –assez tôt, donc, avec le décalage horaire…-.
Pour sûr, l’ambiance de Noël commence à émerger, même si le marché de Noël n’ouvrira pas ses portes avant plusieurs semaines –le 24 novembre officiellement-.
Dans cette attente, ce matin, c’est « Opération nettoyage d’automne ». Les riverains étaient sommés de ne pas stationner dans la rue, en raison du traditionnel nettoyage de celle-ci, à grands renforts d’engins très sonores : souffleuse de feuilles, laveuses, aspirateurs mobiles…
La rue mesure moins de 200 mètres, l’opération dure trois heures et mobilise pas mal de personnel, pour ce que j’ai pu en observer. Evidemment, après, c’est tout propre, mais, au moins, je sais à quoi sert ma taxe d’habitation ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand et ramasser éventuellement une feuille oubliée…-.
C’est un peu une playlist de fainéant que je propose à mes oreilles pour entrer dans la période des fêtes, entre deux achats et quelques recherches pour améliorer le menu du Réveillon –les courses sont faites quant aux victuailles, les idées d’accommodement de tout cela commencent à émerger !-. Donc, entre ces diverses occupations, agréables mais un peu chronophage avec la foule, j’écoute des choses un peu légères et propices à la fête, dans les versions les plus immédiatement accessibles –je sais exactement où les trouver sur les étagères, sans avoir à trop fouiller…-. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
L’ouverture de la « Cavalerie légère » de Franz Von Suppé n’a de légère que son nom –cliquer sur l’extrait pour vous rendre compte que vous connaissiez sans peut-être le savoir !-…
Les autres ouvertures du compositeur s’écoutent très aisément, sans avoir besoin qu’on y prête une attention trop grande, l’ensemble étant aimable mais sans prétention. Il en va de même pour les ouvertures de différentes opérettes d’Offenbach, de belle qualité, dans une interprétation plutôt vilipendée en France mais louée à l’étranger au moment de sa sortie, pour la beauté de l’orchestre et des phrasés notamment. Le chef, en revanche, est dans son meilleur répertoire avec les valses des Strauss, qu’il enregistra régulièrement, et régulièrement avec bonheur, tout au long de sa carrière.
Enfin, le disque consacré à des concerti de Noël du baroque italien me rappelle les Noëls de mon enfance : avant l’émergence du courant HIP –baroqueux pour les intimes-, ces version faisaient fureur dans les chaumières –il s’agit de l’une des meilleures ventes de Karajan, qui vendit beaucoup, comme chacun sait– et il tourna régulièrement sur la platine paternelle chaque fin d’année.
Comme toutes les bonnes choses ont une fin, voici en ce dernier dimanche de l’Avent la dernière surprise du même nom… Même si j’ai eu un peu moins de temps à y consacrer que pour la précédente, elle me semble néanmoins tout-à-fait adaptée à la période –et me rappelle, allez savoir pourquoi, mes Noëls d’enfant-.
De quoi abonder un peu le pied de votre sapin de Noël ou attendre l’an prochain et la surprise de janvier ! Pour ma part, il faut que je m’attache aux menus des jours de fête à venir et à quelques derniers achats de cadeaux, notamment pour les trois nains et Trésor-de-Janvier ! Les prochaines journées risquent donc de ressembler un peu à ce petit manège infernal !
En ce troisième week-end de l’Avent, troisième surprise, à déposer au pied du sapin en attendant le jour de Noël, ou à consommer illico presto, selon votre niveau de patience d’impatience !
J’ai même eu un peu plus de temps à y consacrer que pour la surprise de la semaine dernière, étant tombé du lit à une heure indue ce matin, pour bien entamer le week-end –ensoleillé à cette heure, ça va changer de la grisaille tristounette de tout le début de cette semaine– !
Chaque week-end nous rapproche un peu plus de Noël… La surprise de ce deuxième week-end de l’Avent devrait vous aider à patienter dans la joie et la bonne humeur. Elle est désormais disponible.
Dans le même temps, cette période d’attente est pavée d’une consommation modérée de vin chaud, pour réchauffer le corps, qui en a autant besoin que l’esprit : hier, avec quelques collègues, c’est un vin blanc chaud qui fut à l’honneur, très agréablement épicé et vraiment bon –si vous essayez la recette livrée dans le lien, un seul conseil : remplacez le sucre par deux grandes cuillères de miel, c’est bien meilleur ! Plus généralement, c’est beaucoup plus doux qu’avec du vin rouge-, sur un petit marché de Noël local, dont c’était la seule échoppe qui a retenu notre attention … Le week-end prochain, ce sera de la cervoise tiède –si si, ça existe…– !
La seconde a trouvé une réponse correcte d’OBNI, qui gagne donc un joli cadeau. La voiture de courtoisie que le vitrier avait mis à ma disposition était une Skoda, modèle Fabia de 2016. Skoda fait actuellement partie du groupe Volkswagen, après avoir été le plus grand kartel industriel d’Autriche-Hongrie, puis de Tchécoslovaquie : ils fabriquaient notamment toutes sortes de moteurs et de véhicules, y compris militaires.
La solution à la première devinette n’a été qu’esquissée par Christophe. Il s’agissait de la « Valse des patineurs », d’Emil Waldteufel, interprétée en 1993 par l’Orchestre philharmonique de Strasbourg sous la direction de Theodor Guschlbauer.
Rien que pour le plaisir des oreilles, je vous propose un autre extrait de ce compositeur, je suis d’ailleurs sûr que la majorité des lecteurs de ce blog le connaissent, puisqu’il servit de générique à au moins une émission de TV fort connue -et, sans doute, à de nombreuses publicités-.
Et, pour le plaisir des yeux, vous trouverez une photo du grand sapin de Noël, symbole du Marche de Noël de Strasbourg, où, comme annoncé hier, j’ai pu déguster mon premier verre de vin chaud, parmi une foule nombreuse malgré la « bunkerisation » de l’ensemble du centre ville.
Quant à moi, je m’en vais faire une première visite du Marché de Noël, qui a désormais ouvert ses portes. Malheureusement, je suis rentré trop tard pour pouvoir participer à l’inauguration, hier soir 😥 A moi le premier vin chaud de la saison !
Jeudi, tragique erreur, j’avais raté le Beaujolais nouveau, aimable piquette dont la presse, pour une fois occupée par d’autres sujets d’actualité, a dû oublier de parler –ou alors, cela m’a complètement échappé !-.
Hier soir, j’en ai quand même acheté une bouteille, qui sent la banane, les fruits rouges et le bon bois de tonneau, tout cela à la fois 😀 !
Il n’était donc pas question, en plus, de rater la période de Noël qui va officiellement s’ouvrir d’ici peu de temps… Ici, le Marché de Noël –qui reste selon l’appréciation démocratique, le plus beau d’Europe, et, selon l’appréciation subjective locale, le plus beau du monde-, ouvrira ses portes dès vendredi, avec inauguration officielle du Père Noël maire de Strasbourg.
Pour un petit moment, le blog sera donc paré des attraits festifs propres à ces fêtes de fin d’année, qui vont arriver bien vite ! Evidemment, point de crèche ici, qui pourrait heurter la sensibilité des lecteurs les plus laïcs ! En corollaire, il est temps que je pense à m’occuper des traditionnelles « Surprises de l’Avent » : cela devrait débuter, si mon compte est bon, le week-end prochain !