Dyslexie du clavier !

Un lecteur de ce blog m’a récemment fait remarquer, à juste titre, les nombreuses et parfois cocasses coquilles qui parsèment les notules. Ma pratique du « tapuscrit » est pourtant ancienne et mes doigts sont relativement véloces sur le clavier, mais tapent assez souvent à côté, du fait d’un apprentissage en autodidacte imparfait et dans l’urgence.

Remontons un peu le temps ! J’ai été confronté pour la première fois à un clavier lors de la finalisation de la rédaction de mon mémoire de maîtrise d’histoire contemporaine –plus de 220 pages tapuscrites et une trentaine de pages d’annexes dans sa version définitive-, il y a plus de 35 ans. En ce temps-là, où un ordinateur coûtait encore un bras, voire les deux, certains étudiants n’hésitaient pas à confier ce travail fastidieux à des professionnels spécialisés, moyennant finance évidemment. Pour ma part, j’avais d’abord acheté une machine à écrire portative, mais, après avoir terminé la première page qui avait tout de même nécessité une vingtaine de feuilles qui ont fini à la corbeille, j’ai rapidement compris que tous les arbres de la création seraient insuffisants pour accomplir ce travail. Machine à écrire remisée et début de mon passage au Macintosh –un Mac SE 4/40-: méthode qui avait le mérite de permettre de se tromper sans grande conséquence, sous réserve d’une lecture un peu attentive.

Par la suite, mes autres travaux de rédaction –études, écrits professionnels…– ont presque toujours « zappé » le manuscrit pour un passage direct au clavier de l’ordinateur, ce qui offre une souplesse et une méthodologie de travail sans égales, à mon avis au moins. Petit à petit, j’ai réussi à saisir relativement rapidement, en utilisant tous mes doigts ou presque, mais au prix des coquilles évoquées plus haut –et je ne me relis pas très attentivement, les enjeux n’étant pas les mêmes que pour un travail universitaire ou un rapport professionnel…– !

Sauf erreur de ma part, cette notule est garantie sans coquille !

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Que d’eau, que d’eau !

La nouvelle interface de macOS 2026, alias Tahoe, alias « Liquid Glass », est… liquide et toute en rondeurs translucides ! Elle est également parfaitement harmonisée avec les interfaces iOS 26 pour iPhone et iPadOS 26. Malgré ces changements essentiellement cosmétiques, on s’y habitue remarquablement vite ! Evidemment, comme c’est le cas pour chaque transformation visuelle un peu marquée, les grincheux ne manquent pas pour rappeler que « c’était mieux avant… » ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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Ressusciter un antique MacBook, suite !

Il ya a quelques temps, je vous parlais, ici, de la résurrection en cours d’un antique MacBook : mon premier MacBook, en 2009, de l’authentique vintage donc ! Après l’avoir remis à neuf dans sa configuration d’origine, avec laquelle je ne pouvais quasiment plus rien envisager –du fait, notamment, d’un navigateur obsolète refusant pour des raisons de sécurité d’accéder à internet-, je me suis un peu penché sur son cas et, après quelques heures de galère, j’ai enfin réussi à mettre à jour, par étapes et en bidouillant pas mal, l’antique Mac OS X 10.6.8 d’origine vers un système plus récent et encore fonctionnel actuellement : High Sierra, ou 10.13.6, officiellement, le dernier système supporté par cet ordinateur, et dont j’ai également fait toutes les « mises à jour de sécurité » recommandées. –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand…-.

En bidouillant encore –beaucoup– plus, je pourrais éventuellement aller vers un système encore plus récent, mais sans doute au prix de lenteurs rédhibitoires, et il faudrait en outre que je l’ouvre pour rajouter de la mémoire… Cela étant, ce MacBook ne me sert pas beaucoup plus qu’avant, sauf, désormais pour numériser à la chaîne quelques albums de ma discothèque –l’accès aux bases de données en ligne constitue une aide précieuse pour le renseignement des tags-. A l’occasion, je pourrais également essayer d’en faire un lecteur CD ou un lecteur de fichiers audio FLAC de belle qualité, cette « antiquité » bénéficiant d’une sortie optique mini-Toslink –fonctionnalité abandonnée par Apple depuis au moins 5 ou 6 ans, et c’est regrettable…– dont il me semble qu’elle est configurable au moins jusqu’à une fréquence d’échantillonnage de 48 kHz.

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Antiquités, félins et grands parcs naturels… Part two !

[…Suite] Lors de la toute récente dernière mise à jour vers macOS 15.6, je m’interrogeais pour savoir combien de différents système d’exploitation j’avais pu utiliser ces presque quarante dernières années –ie : depuis le temps que j’utilise des ordinateurs Apple…-.
De System 6.0.3 à macOs 15.6 Sequoia, je suis passé par toutes les versions majeures –et presque toutes les mineures…– du système d’exploitation des ordinateurs Apple, sauf la version Public beta de MacOS X, intitulée « Kodiak » –un ursidé, pas un félin...- !

Ce qui donne : Mac OS X – Les félins ! 2001 – 2015
J’ai eu la chance de pouvoir utiliser très rapidement Mac OS X grâce aux nombreuses opérations spéciales réservées, à l’époque, au monde de l’éducation, où les remises, dans le domaine logiciel, étaient  avantageuses et nombreuses.
• MacOS X 10.0.4 « Cheetah » que je n’ai utilisé que quelques semaines, le temps de découvrir l’interface Aqua et d’attendre l’arrivée de son successeur ! J’avais cependant déjà une imprimante compatible avec le nouvel OS, de même que le pack Office dédié à Mac OS X !


• MacOS X 10.1 « Puma » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.1.5. A ce stade, MacOS X ne semble pas encore avoir atteint sa pleine maturité et reste relativement lent, mais on sent que les fondations sont solides, le système est très stable et l’interface Aqua a trouvé sa cohérence.
• MacOS X 10.2 « Jaguar » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.2.8 : le tout premier OS X rapide, fluide, hyper-stable et très agréable à utiliser ! Je l’ai beaucoup aimé et utilisé intensément à une époque où je produisais beaucoup…
C’est aussi le premier OS à proposer Safari, le navigateur d’Apple, ultra-rapide et léger à son lancement : auparavant, seul Internet Explorer était compatible avec Mac OS X.
• MacOS X 10.3 « Panther » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.3.9, qui apporte un changement dans l’interface, façon « Alu brossé ».
• MacOS X 10.4 « Tiger » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.4.11 : considéré par de nombreux utilisateurs comme le meilleur « félin » produit… –cliquer sur l’imagette de droite pour la voir en plus grand-.
• MacOS X 10.5 « Leopard » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.5.8
• MacOS X 10.6 « Snow Leopard » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.6.8. C’est le dernier OS d’Apple à être livré sur un support physique –DVD-. Par la suite, tous les autres ne seront disponibles qu’en téléchargement sur l’Apple Store, gratuitement à partir de MacOS 10.9.
• MacOS X 10.7 « Lion » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.7.5
• MacOS X 10.8 « Mountain Lion » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.8.5

A suivre…

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Mises à jour -et tranches d’IA créative …-

Apple proposait hier une nouvelle mise à jour de son système d’exploitation –dénomination officielle de cette version : macOS Sequoia 15.x-, qui incorpore, sur les ordinateurs munis d’un processeur Apple Silicon, des tranches d’IA pour peu que l’on bascule son système en version anglaise –pour de subtiles raisons de droits attachées au DMA voté par la commission européenne, le module d’IA est actuellement indisponible en Europe, et ne devrait arriver qu’au mois d’avril…-.
Parmi ces module figure «Image Playground», un petit logiciel extrêmement sympathique de création ou de modifications d’images, que j’ai pour le coup activé sur mon portable le plus récent, présenté ici, tout en bas de la page., et avec lequel je commence à m’amuser : je relooke mes enfants ! Très ludique !

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Oh P… ! 30 ans déjà !

Cette notule retrace une page d’histoire que les moins de 40 ans n’ont pas pu connaître –les pauvres ! -. Une histoire où l’informatique était encore un monde de Ko ou de Mo plutôt que de Go ou de To, où Internet tel que nous le connaissons n’était pas encore né et où les écrans cathodiques encore étaient de règle.

En mai 1991, Apple sortait son tout nouveau système d’exploitation, livré dans une volumineuse boîte -cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– de près de deux kilos contenant 12 disquettes numérotées et un manuel d’utilisation de 600 pages : Système7.
L’avancée était alors majeure : gestion des couleurs, support du 32 bits et du multitâches, indispensable –pour la PAO– lissage des polices vectorielles, traitement des vidéos via QuickTime, ineffable procédure de reconstruction du bureau lorsque le système devenait instable…
Tout, donc, aurait dû aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais, dans les faits, ce système d’exploitation, tout au long de sa longue existence –de 1991 à 1997-, accompagna le lent déclin de la marque à la pomme avant sa renaissance –aujourd’hui première capitalisation boursière du monde, mais au bord de la faillite au milieu des années 90...-, liée au retour aux manettes de la marque à la pomme de Steve Jobs et à la sortie de l’iMac Bondi Blue en 1998.

Les premières déclinaisons de Système7 –de 7.0 à 7.1.2– s’inscrivaient encore dans la lignée de la version précédente, mais, à partir de Système 7.5indispensable aux nouveaux processeurs Power PC, beaucoup plus puissants que les anciens Motorola des gammes 680XX-, de nombreuses instabilités sont apparues, liées notamment à des conflits d’extensions, et je fais partie des utilisateurs qui ont largement pesté face à ces bombes inopinées qui apparaissaient assez régulièrement du fait d’un gestionnaire d’extensions trop chargé ! Lesquelles extensions s’affichaient progressivement, façon pièces de puzzle, au bas de l’écran à chaque démarrage de l’ordinateur, ce qui était assez joli !

La plus inénarrable de ces versions reste sans doute la maudite 7.5.3, remarquablement capricieuse mais avec des icônes en relief… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. Il fallut attendre l’apparition éphémère de la version 7.6 pour retrouver un vrai confort d’utilisation.

Pourtant, Système 7 fut très largement en avance sur son temps, et même l’apparition de MS Windows 95 –et sa funeste base de registre…-, malgré le large succès de ce dernier, ne combla pas totalement le retard en matière d’élégance et de souplesse d’utilisation. Et, surtout, Système 7 était un peu personnalisable et l’on pouvait le débugger soi-même sans trop de difficulté.

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Pour vous, j’ai testé…

…macOS Big Sur !

Une version semble-t-il si majeure qu’elle vient marquer la fin de MacOS X, après 20 ans de bons et loyaux services : il s’agit en effet de la version 11 de macOS, qui perd une majuscule au passage ! C’est plein de couleurs et de transparence, avec une volonté marquée, esthétiquement, d’unifier les interfaces macOS et iOS pour iPhone et iPad.

A l’usage, et jusqu’à présent, rien de très révolutionnaire, si ce n’est que j’ai quelque peu réorganisé certaines barres de menu des logiciels que j’utilise le plus, afin de retrouver rapidement mon fonctionnement habituel ! De même, les raccourcis claviers fonctionnent de manière identique –depuis quasiment la nuit des temps…-, ce qui est bien pratique pour la mémoire dactyle ! –Cliquer sur les images pour les voir en plus grand-.


Une nouvelle histoire (re)commence : après avoir testé, depuis 1989, les systèmes 6, 7 et 8 sous leurs différentes moutures avec des bonheurs divers –7.5.3 et 7.5.5 me remémorent d’assez pénibles plantages et, pour les anciens qui s’en souviennent, la nécessité de « jouer » assez souvent avec le gestionnaire d’extensions pour résoudre moults conflits…-, après avoir laissé de côté la version 9 de MacOS « Classic », j’ai connu MacOS X sous toutes ses déclinaisons –de la version initiale 10.0, tout-à-fait révolutionnaire à son lancement, à la 10.15 donc- sauf une que je n’ai jamais utilisée -MacOS 10.14 Mojave-.

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Dopons un iMac !

Comme annoncé lors de l’achat de l’Imac 27’ à la fin de l’été, je lui ai rajouté 2 barrettes de 8 Go de RAM –à des tarifs très éloignés de ceux pratiqués par la marque à la pomme-, portant ainsi le total à 24 Go2×4+2×8 Go-. L’opération est très aisée, pas besoin du moindre outil la réaliser ! 

La retouche-photo notamment, grosse consommatrice de mémoire lors des opérations de dématriçage des fichiers RAW, est désormais fluide et rapide : un pur bonheur ! Cependant, quand on y pense, on peut rester dubitatif devant cette inflation : mon premier ordinateur contenait uniquement 4Mo de RAM, mais c’était il y a bien longtemps !

Et, un bonheur ne venant jamais seul, j’en ai profité pour acheter un chouette clavier à pavé numérique dont la caractéristique principale est que l’on peut également le connecter à quatre périphériques Bluetooth supplémentaires de manière totalement indépendante les uns des autres : iPhone, iPad… La saisie de SMS et autres MMS un peu longs –ça m ’arrive dans le cadre du travail…– s’en trouve grandement simplifiée !

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Auscultons un réseau domestique…

Et, comme on n’est jamais mieux servi que par soi-même, voici un schéma « simplifié » de notre réseau local, qui dessert toutes les pièces de la maison, symbolisées par des étiquettes de couleurs différentes ! Ça peut paraître compliqué à première vue –et même à perte de vue…-, mais ça fonctionne de manière plus simple qu’il n’y paraît ! 

Pour la petite histoire : je n’ai rajouté ni les trois périphériques connectés en Wi-Fi de Trésor-de-Janvier lorsqu’elle vient chez nous, à savoir son ordinateur portable, sa tablette et son téléphone, ni les périphériques Bluetooth –claviers, souris, enceinte connectée de TheCookingCat…-. 

Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Archives et premiers balbutiements

L’autre jour, profitant d’un petit nettoyage d’automne dans mes archives –sauvegardes depuis 1993 sur de multiples supports, dont certains inutilisables sans matériel spécifique désormais, CD d’installation…-, j’ai retrouvé cette vieille chose qui nous ramène vers les tout débuts du world wide web ! —Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Il me souvient d’avoir réalisé mon premier site « professionnel » –dont il ne reste plus aucune trace aujourd’hui sur la toile, et c’est sûrement heureux !!!– avec cet excellent logiciel, qui devait être le tout premier à proposer une interface « wysiwyg » et qui, pour l’époque, fonctionnait de manière relativement simple et remarquablement intuitive par rapport à nombre de ses concurrents –globalement, tous les logiciels de l’éditeur Claris étaient d’une clarté et d’un rapport puissance-qualité-prix inégalés– : il n’était pas nécessaire de posséder, notamment, une grande connaissance du code html pour obtenir des résultats plutôt probants –mais le fonctionnement était encore assez éloigné de la souplesse de nos outils actuels, évidemment…– !

Souvenirs, souvenirs…

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