Starlette

J’ai eu un certain nombre de chats, mais aucune qui posait si volontiers devant l’objectif ! Moneypenny est une vraie starlette et se laisse volontiers photographier sans trop bouger ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

A vrai dire, elle se montre assez intéressée par l’objectif, et c’est donc en sa compagnie que j’ai pu tester, hier, le nouvel objectif, complété d’un filtre UV neutre –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– à focale fixe –35mm/f1,8, équivalent 52 mm sur un APS-C-, très lumineux et d’un prix relativement abordable –le rapport qualité-prix, quant à lui, est excellent-, qui complète ma panoplie et bien m’offrir de nouvelles possibilités -cf. ici-.

J’en ai également profité pour acheter une carte SD de grande capacité, chaque photo « pesant » un peu plus de 30 Mo en RAW… Comme l’appareil a deux logements pour cartes SD, la capacité totale embarquée dans l’appareil s’élève désormais à 48 Go, ce qui me permet de « voir venir » en vacance ç.

A moi les jolis flous d’arr!ère-plan !

Playlist avec des femmes qui chantent bien

Pour bien entamer le week-end et avant d’aller faire mon marché, une playlist avec des femmes qui chantent bien résonne dans la maison, et c’est très chouette ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Trois voix au demeurant fort différentes, et des ambiances sonores qui donnent à entendre des ambiances très diverses, des ballades musclées des Cranberriesla voix ductile et étrange de Dolores O’Riordan passe très bien l’épreuve du live– en concert à la soul d’Amy Winehouse, en passant par ce gigantesque succès que fur le « Skyfall » d’Adele.

Les deux premières sont mortes, jeunes encore, et dans des circonstances relativement similaires… Elles possédaient le même tempérament explosif, semble-t-il, moins exacerbé chez l’Irlandaise toutefois.

Playlist Royal Baby and Big Four European Football Cups

L’Angleterre était à l’honneur cette semaine, et l’on en a beaucoup parlé dans les medias, et pour autre chose que l’imbroglio autour du Brexit pour une fois –ça reviendra bientôt, et ça divise toujours autant, voire de plus en plus, les Britanniques-. !

Donc, un bébé royal est né, qui est huitième dans l’ordre de succession au trône et porte un prénom pas très royal ! Outre-Manche, ils font toujours tout un plat de ce genre d’événement, ce qui ne les a pas empêchés de raccourcir deux rois, quand, en France, nous nous sommes contentés d’un seul.

L’autre événement est sportif et, semble-t-il, unique dans les annales de ce sport : les deux finales de coupes européennes de clubs opposeront des clubs anglais exclusivement -mais très peu d’anglais en réalité : sur les 44 joueurs des quatre « équipes-types », seuls 8 sont anglais !-.

Tout cela valait une mise à l’honneur de ce pays dans la playlist de ce jour, ce qui tombe bien, puisque l’aime beaucoup la musique anglaise ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Cela nous vaut notamment un magnifique disque consacré à Edward Elgar, superbement enregistré et interprété : une des plus belles versions des « Variations Enigma » à mes oreilles, notamment. Autre enregistrement de démonstration : « The Planets » de Gustav Holst dans l’excellente version de Charles Dutoit. Je ne dirai pas grand-chose du disque de Henry Purcell, je connais mal ce compositeur, mais sa musique est très touchante. 

Enfin, Billy Bragg fait du folk punk –association a priori hasardeuse, mais qui fonctionne tout-à-fait bien-. Musique assez basique, paroles engagées, interprétations brutes de décoffrage. A petite dose, j’aime beaucoup.

Vivement l’été : j’irai constater de visu que le tunnel sous La Manche n’est pas encore fermé !

Playlist pour en faire baver l’un ou l’autre…

Alors voilà : j’ai trouvé et commandé ça, puisque la moitié de l’affiche –vous aurez deviné laquelle, de mon point due vue– au moins s’annonçait des plus alléchante ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Hop, c’est arrivé hier, mais comme je n’avais pas de temps à y consacrer, j’ai ouvert l’album ce matin seulement. En 1984, la voix de Bob Dylan est à la fois claire et éraillée, il joue de la guitare rythmique avec un son aigrelet qui manque cruellement de densité –le son n’aide pas, l’enregistrement « sous le manteau » n’est pas formidable, loin de là– et il est soutenu par un très petit nombre de musiciens : Ian McLagan au piano et à l’orgue –genre Bontempi-, un bon et discret bassiste, et soutenu par la moitié du Mick Taylor Group : Colin Allen à la batterie et Mick Taylor himself à la guitare –miniNain, qui a vu la pochette lors de l’arrivée de l’album, était très surpris : « Mais il était super mince quand il était jeune ! » : il faut dire que le guitariste s’est un peu empesé depuis…-.

Musicalement, le son n’aidant pas énormément, on a l’impression d’un public lointain et un peu atone, et d’un manque de densité harmonique : la basse est en retrait, la guitare rythmique de Dylan n’est pas fameuse et Mick Taylor ayant toujours rechigné à jouer de la rythmique, il place de merveilleux soli ou des contrechants mélodiques discrets, notamment sur les morceaux les plus blues.

Au final, c’est assez chouette, malgré un public un peu endormi donc, –c’est Mick taylor qui est obligé de les réveiller en les exhortant à coup de « Comme On » pour qu’ils applaudissent le chanteur !– et malgré, aussi, des conditions sonores assez précaires qui engendrent une certaine frustration…

Playlist « Gothique »

Quoi, comment, pas une seule note de The Cure dans cette playlist gothique ??? Que nenni ! Mais une seule oeuvre, gigantesque : la « Symphonie Gothique » du compositeur anglais Havergal BRIAN, composée nuitamment en huit ans, de 1919 à 1927, dédicacée à Richard Strauss, et qui est à la hauteur de la démesure des rêves de grandeur de ce compositeur atypique et méconnu.

Cette symphonie est l’une des plus longue du répertoire classique –aucune symphonie de Mahler n’est aussi longue, pour vous donner une idée– et mobilise un effectif pléthorique de plus de 800 musiciens –plus de 200 instrumentistes et quelques 600 choristes-. Musicalement, c’est un habile ramasse-tout qui irait de la musique médiévale anglaise à Schönberg, en passant par beaucoup de Berlioz. Elle comporte six mouvements, dont les trois derniers comportent des parties chorales, en latin. Pour le compositeur, la symphonie doit exalter la période gothique comme une période de haut développement spirituel et profane chez l’Homme. Vaste programme, me direz-vous !

Faire entrer tout cela dans un appartement est, forcément, loin d’être évident… J’ai dû jouer plusieurs fois avec le potentiomètre de volume pour adapter ces masses sonores aux contraintes dynamiques d’une écoute domestique –assez tôt le matin en plus…-, alors même que l’enregistrement est excellent, et même étonnamment transparent si on songe à l’effectif imposant. L’interprétation me semble par ailleurs tout-à-fait à la hauteur du propos, le chef anglais Martyn Brabbins étant un grand défricheur de partitions peu connues. Vous pouvez en écouter des extraits, voire l’intégralité, ici, dans une version malheureusement un peu moins bonne et moins bien enregistrée, ou encore la découvrir partiellement dans la vidéo ci-dessous.

Havergal BRIAN a composé 34 symphonies, dont celle-ci est vraisemblablement la plus célèbre –à défaut d’être très connue…– : il m’en encore reste 33 à découvrir !

Surprise à déguster presqu’au coin du feu

Le retour d’une fraîcheur quasi-hivernale –c’est ce qu’ils disent à la météo…– ce week-end annonce l’approche imminente de la période des saints de glace, qui débutera le week-end prochain !

Quoi de plus normal, donc, que de vous proposer une surprise à déguster tranquillement au coin de la cheminée –c’est mieux que devant un radiateur !– : elle s’y prête tout-à-fait bien et s’avère, de plus, plutôt originale et rare –à mon sens au moins-. Comme toujours, la surprise du mois dernier est désormais indisponible et retirée du serveur.

ENJOY !