Empreinte verte
« Le diagnostic de performance énergétique (DPE) renseigne sur la performance énergétique et climatique d’un site internet (étiquettes A à G), en évaluant sa consommation d’énergie et son impact en terme d’émissions de gaz à effet de serre. Il s’inscrit dans le cadre de la politique énergétique définie au niveau européen afin de réduire la consommation d’énergie des bâtiments et de limiter les émissions de gaz à effet de serre et sert notamment à identifier les passoires énergétiques (étiquettes F et G du DPE, c’est-à-dire les sites internet qui consomment le plus d’énergie et/ou émettent le plus de gaz à effet de serre). Il a pour objectif d’informer le concepteur ou le propriétaire du site sur la « valeur verte », de recommander des travaux à réaliser pour l’améliorer et d’estimer ses charges énergétiques. »
Evidemment, ce paragraphe est adapté de la page gouvernementale consacrée au diagnostic de performance énergétique –DPE– des logements, mais il est réellement possible de réaliser le DPE d’un site internet via la plateforme Eco-Index. Les résultats des mesures sont échelonnés de A à G, comme pour les logements, et il apparaît alors que mon atelier bénéficie d’une performance énergétique plutôt convenable –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
• A pour la page d’accueil,
• B pour les 3 pages thématiques
• des notes variant entre B et D selon les différentes pages de blog testées -c’est forcément très variable en fonction du contenu, et, dans une certaine mesure, assez facile à améliorer pour le futur- ; quant aux notules individuelles, leur DPE varie entre A et D, et, à titre d’exemple, l’une des notules les plus longues est notée C, mais elle ne contient ni son, ni vidéo.
La bonne nouvelle, c’est que si je veux améliorer les performances du site, je pourrai me passer de l’avis d’un architecte des bâtiments de France, alors que pour mon appartement, c’est impossible…