Préparation des agapes de Noël

Tombé du lit avant l’aube, je suis parti faire les courses très tôt ce matin –j’étais de retour, paniers remplis, à 9h00-, en vue de notre repas de Noël : des noix de joue de porc au Pinot noir et au miel façon Bäckehoffe.

J’ai donc acheté :
• 1,2 kilo de noix de joue de porc
• 2 kilos de carotte
• 1 kilo d’oignons grelots
• 2 kilos de pomme de terre « Rattes du Touquet » –pas besoin de les éplucher, elles cuisent gentiment dans leur peau…
• 3 bouteilles de Pinot noir –dont deux pour la marinade et la cuisson et une pour accompagner le repas-.
• j’avais déjà du miel de forêt étiqueté « Bio » et toutes les épices nécessaires.
La viande va mariner à partir de lundi matin, et je lancerai la cuisson, pour 3 – 4 heures, mardi matin. Comme j’ai prévu large, on en remangera quelques fois la semaine prochaine !

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Playlist anti-idées reçues

Lorsque j’étais plus jeune, il y a une petite trentaine d’années, il était de bon ton de considérer Claudio Arrau comme un pianiste d’une profondeur marmoréenne, avec sa sonorité à la fois grave et opulente et son goût prononcé pour des tempos très modérés, voire, dans certains cas, d’une lenteur extrême. Personnellement, j’aime assez, mais ne suis pas totalement inconditionnel, cependant, des enregistrements qu’il réalisa pour Philips, à partir des années 60 et jusqu’au son décès, en 1991, à l’âge plutôt avancé de 88 ans –il enregistra quasiment jusqu’à l’année de sa mort-. En définitive, plutôt attaché à des lectures un peu plus vives et claires, je m’en étais un peu éloigné, et nombre de ses interprétations quittent assez peu souvent leurs étagères. A contrario, je reviens assez régulièrement, et avec plaisir, vers ses enregistrements antérieurs.

C’est pourquoi, j’ai été très agréablement surpris en écoutant cet album –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, trouvé pour une bouchée de pain dans un bac à soldes, et qui propose des enregistrements de relative jeunesse : le concerto de Brahms s’avère très éloigné des futurs enregistrements que le pianiste chilien réalisé plus tard : ici, c’est à la fois vif et clair, presqu’autant que la célébrissime version de Clifford Curzon, qui, paraît-il s’inscrit vers les sommets de la discographie –personnellement, je ne l’a goûte pas outre mesure-. De même, les quelques sonates de Beethoven proposées sont très différentes dans l’esprit de celles qu’il enregistra plus tard pour Philips. 

Un joli coffret et très bonne surprise, donc ! Et, pour faire bon poids bonne mesure, je vous en propose même un petit extrait en prime !

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Playlist « Grands classiques »

De retour d’une longue journée laborieuse qui m’aura vu affronter un formidable brouillard alors que je parcourais de petites routes, il ma fallait une playlist réconfortante, composée de grands classiques qui ont marqué leur époque, et au-delà, tout en me précipitant vers la cuisine pour préparer une tarte légumes grillés – bacon – mozarella – miguaine épicée à ma façon, qui dore dans le four. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Inutile d’en dire beaucoup plus, chacun de ces albums est possède sa propre légende, à sa manière, et je les aime tous beaucoup. L’album de Neil Young bénéficie, en outre, d’un remastering très soigné, et très éloigné de toutes les autres versions que j’en ai possédé au fil du temps, qui allaient du médiocre à l’abominable !

Demain, une autre longue journée m’attend, mais demain est un autre jour… En attendant, à table !!!

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Les surprises de l’Avent – 2018.3

En ce troisième dimanche de l’Avent, il neige ici et voici donc la troisième surprise pour préparer les festivités de Noël, et au-delà. Celle-ci, disponible ici, est tout-à-fait extraordinaire, fut longtemps introuvable, et propose l’un des absolus sommets de la carrière de ces artistes, lors d’événements qui firent beaucoup parler d’eux, tant pour des raisons artistiques qu’extra-artistiques : beaucoup de neige aussi… C’est, dans son genre, absolument grandiose.

Comme d’habitude, la surprise du week-end précédent disparaît par la même occasion : il fallait en profiter avant ! PLAY IT LOUD & ENJOY !

Playlist romantique, entre télétravail et musique !

Ces derniers jours ont été marqués par des échéances électorales professionnelles qui m’ont apporté, au final une belle satisfaction. Evidemment, les opérations de dépouillement et de répartition des sièges m’ont procuré deux nuits blanches en fin de semaine dernière, puisque, malgré le vote électronique, elles restent fastidieuses et longues.

Je profite, depuis la fin de la matinée et en ce début d’après-midi, d’une journée de télétravail loin de mon bureau pour oeuvrer en musique : une belle playlist romantique à souhait, qui me fait ponctuellement lever l’oreille lorsque j’y trouve des beautés cachées ou oubliées –il y a longtemps que je n’avais plus écouté la majorité de ces versions-, le tout sur un nouveau système Hi-Fi dont je vous ai un peu parlé précédemment. Cela faisait un bout de temps que je n’avais plus trouvé le temps, justement, de profiter d’un peu de musique calmement et tranquillement ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Avec cette version des symphonies de Schumann par Rafale Kubelik –sa seconde intégrale-, j’ai, à vrai dire, assez peu levé l’oreille : sa première version me semble meilleure, et, ici, l’ensemble est un peu terme est assez peu vivant, avec des articulations un peu téléphonées, notamment dans la quatrième symphonie, ma préféré du lot.

En revanche, le quintette de Schubert trouve dans cette interprétation une fort belle version, avec, notamment, un très bel équilibre entre les deux violoncelles –trop souvent, le second violoncelle est tenu par un « grand nom » qui occupe trop le devant de la scène, ce n’est pas du tout le cas ici-. L’oeuvre est absolument magnifique, ce qui ne gâte rien à mon plaisir –et ne m’incite pas trop à la tache…-.

Les deux derniers albums me permettent de retrouver le grand chef hongrois George Szell, très à l’aise dans ce répertoire : le Mendelssohn est vif et équilibré, le Brahms plutôt tendu et dans une ligne assez claire, encore renforcée par un pianiste qui aborde les oeuvres dans sa prime jeunesse, avec beaucoup de ferveur. Une très belle version, assurément !

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Inquiétudes britanniques…

Je ne sais pas si vous avez le temps de suivre l’actualité internationale, en cette période d’agitation nationale, mais j’ai trouvé cette vidéo à la fois drôle et inquiétante –et les Anglais sont bien plus embêtés que nous, avec le Brexit qu’ils ont voté il y a près de deux ans et qui engendre chaque jour son lot de péripéties…– !
Elle devrait aussi rappeler quelques aimables souvenirs aux lecteurs cinéphiles…

Les surprises de l’Avent – 2018.2

Comme annoncé, voici une nouvelle surprise pour ce deuxième week-end de l’Avent ! Elle est disponible ici, pour une semaine, dans l’attente de la suivante. Bien évidemment, comme annoncé également, la première disparaît en même temps…

Celle-ci est très rareet assez exceptionnelle, nonobstant– : je peux vous garantir que vous ne la trouverez nulle part ailleurs ! Essayez, et vous verrez… ENJOY !

Nouveau carrosse

Aujourd’hui, je suis allé chercher mon nouveau carrosse, qui remplacera celui que j’avais acheté il y a trois ans, presque jour pour jour… 75 000 km plus tard, il était temps de le changer avant qu’il ne décote de trop, et, opération « Black Friday » oblige, j’ai eu droit :
• à une remise assez conséquente sur le nouveau véhicule -une chouette occasion de 2015 faiblement kilométrée (26 000 kilomètres au compteur), entièrement révisée, livrée avec des pneus avant tout neufs et une garantie de trois ans-;
• un tarif de reprise plus élevé que celui que j’attendais !

La nouvelle voiture est « gris Cassiopée », c’est eux qui le disent, a exactement le même moteur que l’ancienne et s’avère un peu plus silencieuse à l’usage. Elle est aussi un peu mieux équipée, puisque toutes les options sont de série ! C’est reparti pour trois ans !

Un bilan discographique annuel

Cette année, le bilan sera établi en une seule courte notule ! Non pas que je me sois désintéressé de la musique, loin de là, mais les circonstances très chaotiques de ces douzes derniers mois m’en ont tenu un peu éloigné…

De fait, j’ai acheté moins de CD que les années précédentes, une centaine d’albums et assez peu de volumineux coffrets dont les éditeurs ont le secret pour écouler leurs rééditions !

Ces achats plutôt raisonnés impliquent un lot très faible de déceptions relatives, même si elles ne sont pas complètement absentes –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, soit parce que je n’ai pas réussi à appréhender les oeuvres -c’est le cas pour Busoni, dont j’aime pourtant beaucoup la musique pour piano, ou pour la musique du film « Ivan le Terrible » de Prokofiev– , soit parce que les versions proposées me plaisent assez peu –Mozart, symphonies, Walter-, soit, enfin, parce que le disque était très en-deça de mes attentes –live à Montreux de Nina Hagen !-.

Tous les autres albums sont pour le moins très plaisants, et la liste serait trop longue pour les citer tous, et même mes véritables coups de coeur 2018 forment également une liste relativement exhaustive ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, même si j’essaie de restreindre cette liste : c’est plutôt signe d’un excellent cru !

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