Oh P… ! 30 ans déjà !

Cette notule retrace une page d’histoire que les moins de 40 ans n’ont pas pu connaître –les pauvres ! -. Une histoire où l’informatique était encore un monde de Ko ou de Mo plutôt que de Go ou de To, où Internet tel que nous le connaissons n’était pas encore né et où les écrans cathodiques encore étaient de règle.

En mai 1991, Apple sortait son tout nouveau système d’exploitation, livré dans une volumineuse boîte -cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– de près de deux kilos contenant 12 disquettes numérotées et un manuel d’utilisation de 600 pages : Système7.
L’avancée était alors majeure : gestion des couleurs, support du 32 bits et du multitâches, indispensable –pour la PAO– lissage des polices vectorielles, traitement des vidéos via QuickTime, ineffable procédure de reconstruction du bureau lorsque le système devenait instable…
Tout, donc, aurait dû aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais, dans les faits, ce système d’exploitation, tout au long de sa longue existence –de 1991 à 1997-, accompagna le lent déclin de la marque à la pomme avant sa renaissance –aujourd’hui première capitalisation boursière du monde, mais au bord de la faillite au milieu des années 90...-, liée au retour aux manettes de la marque à la pomme de Steve Jobs et à la sortie de l’iMac Bondi Blue en 1998.

Les premières déclinaisons de Système7 –de 7.0 à 7.1.2– s’inscrivaient encore dans la lignée de la version précédente, mais, à partir de Système 7.5indispensable aux nouveaux processeurs Power PC, beaucoup plus puissants que les anciens Motorola des gammes 680XX-, de nombreuses instabilités sont apparues, liées notamment à des conflits d’extensions, et je fais partie des utilisateurs qui ont largement pesté face à ces bombes inopinées qui apparaissaient assez régulièrement du fait d’un gestionnaire d’extensions trop chargé ! Lesquelles extensions s’affichaient progressivement, façon pièces de puzzle, au bas de l’écran à chaque démarrage de l’ordinateur, ce qui était assez joli !

La plus inénarrable de ces versions reste sans doute la maudite 7.5.3, remarquablement capricieuse mais avec des icônes en relief… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. Il fallut attendre l’apparition éphémère de la version 7.6 pour retrouver un vrai confort d’utilisation.

Pourtant, Système 7 fut très largement en avance sur son temps, et même l’apparition de MS Windows 95 –et sa funeste base de registre…-, malgré le large succès de ce dernier, ne combla pas totalement le retard en matière d’élégance et de souplesse d’utilisation. Et, surtout, Système 7 était un peu personnalisable et l’on pouvait le débugger soi-même sans trop de difficulté.

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Pour vous, j’ai testé…

…macOS Big Sur !

Une version semble-t-il si majeure qu’elle vient marquer la fin de MacOS X, après 20 ans de bons et loyaux services : il s’agit en effet de la version 11 de macOS, qui perd une majuscule au passage ! C’est plein de couleurs et de transparence, avec une volonté marquée, esthétiquement, d’unifier les interfaces macOS et iOS pour iPhone et iPad.

A l’usage, et jusqu’à présent, rien de très révolutionnaire, si ce n’est que j’ai quelque peu réorganisé certaines barres de menu des logiciels que j’utilise le plus, afin de retrouver rapidement mon fonctionnement habituel ! De même, les raccourcis claviers fonctionnent de manière identique –depuis quasiment la nuit des temps…-, ce qui est bien pratique pour la mémoire dactyle ! –Cliquer sur les images pour les voir en plus grand-.


Une nouvelle histoire (re)commence : après avoir testé, depuis 1989, les systèmes 6, 7 et 8 sous leurs différentes moutures avec des bonheurs divers –7.5.3 et 7.5.5 me remémorent d’assez pénibles plantages et, pour les anciens qui s’en souviennent, la nécessité de « jouer » assez souvent avec le gestionnaire d’extensions pour résoudre moults conflits…-, après avoir laissé de côté la version 9 de MacOS « Classic », j’ai connu MacOS X sous toutes ses déclinaisons –de la version initiale 10.0, tout-à-fait révolutionnaire à son lancement, à la 10.15 donc- sauf une que je n’ai jamais utilisée -MacOS 10.14 Mojave-.

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Dopons un iMac !

Comme annoncé lors de l’achat de l’Imac 27’ à la fin de l’été, je lui ai rajouté 2 barrettes de 8 Go de RAM –à des tarifs très éloignés de ceux pratiqués par la marque à la pomme-, portant ainsi le total à 24 Go2×4+2×8 Go-. L’opération est très aisée, pas besoin du moindre outil la réaliser ! 

La retouche-photo notamment, grosse consommatrice de mémoire lors des opérations de dématriçage des fichiers RAW, est désormais fluide et rapide : un pur bonheur ! Cependant, quand on y pense, on peut rester dubitatif devant cette inflation : mon premier ordinateur contenait uniquement 4Mo de RAM, mais c’était il y a bien longtemps !

Et, un bonheur ne venant jamais seul, j’en ai profité pour acheter un chouette clavier à pavé numérique dont la caractéristique principale est que l’on peut également le connecter à quatre périphériques Bluetooth supplémentaires de manière totalement indépendante les uns des autres : iPhone, iPad… La saisie de SMS et autres MMS un peu longs –ça m ’arrive dans le cadre du travail…– s’en trouve grandement simplifiée !

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Nouveau projet réalisé !

Parmi la liste des projets en attente évoquée durant le printemps, voici désormais le troisième qui s’est réalisé hier, avec l’achat d’un nouvel ordinateur pour remplacer mon vaillant iMac 2011, qui va poursuivre une seconde carrière –allégée– chez Trésor de Janvier, une fois formaté et remis à neuf pour elle.

Je vous présente son successeur : un gigantesque iMac 27’ dernier cri, avec processeur et disque SSD de course, que je vais doper en RAM moi-même –les tarifs de la marque à la pomme en la matière sont prohibitifs…-. La bête occupe une place conséquent sur le bureau, que j’ai quelque peu réaménagé en conséquence, mais c’est très confortable pour les yeux –l’écran est de très bonne qualité, Retina 5K oblige– et on sent la puissance sous le capot, notamment en retouche photo…

Etonnamment, l’Apple Store local m’a offert, outre un prix remisé très convenable du fait de ma carte professionnelle, une paire d’AirPods sans fil d’une valeur assez conséquente, mais dont je n’ai que faire pour ma part : je vais les offrir à je ne sais qui, cela fera un chouette cadeau… J’ai essayé de négocier autre chose en échange, même d’une valeur moindre –clavier avec pavé numérique-, mais pas moyen d’obtenir gain de cause.
J’ai commencé hier à l’équiper selon mes besoins –installations diverses et mises à jour que je ne pouvais plus faire sur le trop ancien 21 pouces-, il me reste désormais à le paramétrer à ma main et à  le personnaliser à mon image !

Quoi qu’il en soit, les mesures d’hygiène adoptées par le magasin, en cette période si particulière, sont assez drastiques, mais comme j’étais dans la bonne file –celle des achats-, je n’ai pas attendu trop longtemps -moins de dix minutes- pour entrer dans le magasin, où la jauge d’accueil est très réduite. De l’autre côté –file « conseils techniques »-, le délai d’attente annoncé était de plus d’une heure !

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Projets en attente… To buy or not to buy ?

Dans la liste des projets en attente dont je vous parlais l’autre jour, deux ont été concrétisés, l’un le sera prochainement puisqu’il concerne les vacances estivales et le dernier demeure en attente… Mais les nouvelles neuves de ces derniers jours ne poussent pas à une concrétisation dans les prochains jours ! Il s’agit de l’achat d’un nouvel ordinateur qui viendra remplacer l’actuel iMac domestique.

D’abord, je n’ai pas vraiment l’envie et le temps de perdre du temps dans les files d’attente monstrueuses qui ont prévalu lors de la réouverture des boutiques pommées, hier : il paraît que c’était dantesque -jusqu’à une heure d’attente pour pouvoir entrer en magasin…- ! J’avais en effet envisagé, dans un premier temps, d’y faire un tour en rentrant du travail, mais, en définitive, cela n’a pas pu se faire et ce n’est pas plus mal !

Ensuite, la gamme actuelle des iMac, qui n’a pas été renouvelée depuis plusieurs mois, semble en fin de vie désormais et devrait être totalement renouvelée d’ici quelques jours, si l’on en croit les sites de rumeurs –qui ne sont généralement pas totalement infondées et s’avèrent souvent très proches de la réalité-. Disparition des disques durs à plateaux –il était temps– remplacés par des SSD, nouveaux processeurs et puce de sécurité supplémentaire seraient de la partie. Annonce à venir dans les tout prochains jours, sans inflation des prix, espérons-le !

En tous cas, voilà qui va me conduire à patienter encore quelques jours, voire quelques semaines, au moins… De quoi remettre de l’ordre dans mes documents et fichiers et préparer tranquillement cette migration !

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Il fait trop chaud pour travailler…

zoliMac monte en température dès le matin de bonne heure : après 1h30 de travail à charge très modérée, sa température interne atteignait déjà 50°C ce matin –oui, je sais, j’ai commencé à travailler tôt ce matin, ça me permettra de ne pas travailler trop longtemps cet après-midi, lorsque la chaleur atteindra d’autres sommets…-.

Cette température interne excède rarement les 42°C en temps normal, et, généralement, tangente les 50°C lorsque je travaille sur de très volumineux fichiers !

Du coup, j’ai activé manuellement les ventilateurs internes, mais c’est alors un peu bruyant à grande vitesse… Si ça continue, faudra qu’ça cesse !

Une devinette – Une réponse

Il semble que la devinette que je vous proposais l’autre jour a dépassé votre sagacité : un seul essai de réponse, et pas le plus petit début de commencement d’une idée pertinente…

L’objet dont il est question dans cette devinette est l’iPod dans l’une de ses toute première mouture :  l’époque, il était blanc et alu, avec une mollette tout-à-fait innovante et astucieuse. Son succès dépassa celui du WalkMan de Sony dans les années 80, et la demande était telle qu’Apple en sortit assez rapidement une version pour les utilisateurs de PC, sous marque Hewlett Packard.

A cette occasion, le conditionnement simple, sobre et beau de l’objet original fut, bien évidemment, adapté aux utilisateurs de PC : c’est tout l’objet de cette publicité satirique, soutenue par la musique de Danny Elfman, composée pour le drolatique film « Pee Wee Big Adventure ».

Nouveau jouet professionnel

Mon antique MacBook blanc 2009 commençait à donner quelques signes de faiblesse , même si sa batterie me permettait encore de travailler facilement 6 à 7 heures sans flancher, ce qui, au bout de dix ans, me semble assez exceptionnel ! Il était temps, cependant, d’en changer, puisqu’il ne supportait plus certaines mises à jour –même si les applications bureautiques usuelles relativement récentes étaient encore fonctionnelles-.

C’est chose faite depuis samedi, où, en deux temps trois mouvements, il a été remplacé par celui-ci, beaucoup plus léger et disposant d’un nombre conséquent –pour un MacBook– de ports permettant l’ajout de matériels externes.

20 ans pile poil !

Et même pas dans mon musée du Mac !  A sa sortie, la disparition d’un lecteur de disquettes fit jaser –ça ne marchera jamais ! – et l’apparition en série d’un port USB sur une machine « grand public » tout autant ! Quelques mois plus tard, la mode du « Bondi Blue translucide – Sorry ! No beige » faisait fureur chez tous les fabricants  d’imprimantes ou de lecteurs externe, et l’USB devenait une norme standardisée.

Pourquoi je n’en ai pas eu : à l’époque, j’avais upgradé mon PowerMac 4400 dopé en Ram –256 Mo, énorme pour l’époque…– avec une carte G3 et une carte graphique de compétition, me permettant de piloter un excellent moniteur 17 pouces cathodique avec une meilleure résolution que le « petit » 15 pouces de l’iMac original. De plus, ma chaîne graphique et mes éléments de sauvegarde étaient en SCSI, non proposé sur l’iMac. D’où cette impasse, jusqu’à l’achat d’un eMac quelques années plus tard…

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