Grandeur et décadence du patriarcat…
La vérité sort de la bouche des enfants, c’est bien connu ! A la même époque, les mamans étaient encore « gentilles, aimantes, douces et tendres »… C’était le bon temps ! 😈 –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand–
Je serais curieux de savoir ce qu’il en serait 50 ans plus tard. Pas sûr que les choses aient radicalement changé, si je me base sur les cadeaux et poésies rapportés de l’école par Nain, Nain-Junior, Mini-Nain et Trésor de Janvier, pour cette dernière il n’y a pas si longtemps ! Précisons, afin de lever toute ambiguïté, que tous leurs enseignants étaient des enseignantes !
L’IA : la meilleure et la pire des choses…
A tort ou à raison, l’intelligence artificielle, fait parfois peur, notamment lorsqu’elle montre quelques velléités à « désobéir » ou à vouloir s’autonomiser –c’est à lire ici-. Elle sait aussi, et de mieux en mieux, dessiner, créer des affiches, des romans ou des musiques « à la manière de… » à la demande –jamais essayé– : à ce titre, elle constitue un réel danger pour les artistes et les créateurs/créatifs.
Mais l’IA peut aussi constituer une aide très rapide et très efficace pour mettre en oeuvre certains projets : ainsi, hier, j’ai voulu vérifier que l’IA était éventuellement capable de générer un thème pour WordPress –en réalité, je me suis rendu compte après coup qu’il existait déjà des dizaines de tutos à cet effet-, formulant un prompt basique : « Générer un thème simple avec une colonne à droite pour WordPress ». En deux coups de cuillère à pot, l’IA a formulé une réponse et généré ce que je lui demandais, me proposant même une étape supplémentaire sans que je lui demande quoi que ce soit. Et en plus, j’ai vérifié : ça marche et le code généré est archi-propre ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Carnet de naissances !
Au gré de mes déambulations quotidiennes –quasiment 20 kilomètres par jour au mois de mai et à peine moins au mois d’avril…– et de mes flâneries de belle saison, je vous propose aujourd’hui ce petit carnet de naissance !
C’est en effet le printemps, et, sporadiquement, de nombreux cigogneaux sont désormais visibles dans leurs nids, avec un peu de patience et beaucoup d’abnégation : il en faut, parce qu’on ne voit guère que leurs petites têtes qui, parfois, dépassent du nid… En revanche, les cigognes adultes sont beaucoup plus actives que d’habitude et très nombreuses à voler dans le ciel. Si l’on estime à 4 ou 5 cigogneaux par nid, il doit bien y avoir eu pas loin d’une grosse centaine de naissances cette année.
Il est beaucoup plus facile de remarquer les canetons, qui, sous l’oeil vigilant de leurs parents, paissent picorent en grand nombre sur le gazon bordant le grand étang du parc voisin de notre appartement, avant d’y piquer une tête !
Enfin, de nombreux cygneaux ont également vu le jour mais un couple de cygnes que nous croisions tous les jours a disparu de son habitat habituel, du jour au lendemain, délaissant le grand nid qu’ils avaient bâti : il y a deux ans, plusieurs de leurs cygneaux avaient été attaqués par des corneilles, assez agressives ici, et n’y avaient pas survécu.
Cela étant, il faudrait vraiment que j’y retourne avec mon appareil photo et un bon zoom optique : celles rapidement prises avec l’iPhone sont d’assez médiocre qualité, malheureusement…
Playlist «Mes nuits sans dormir – Handel»
Le sommeil ayant décidé de me fuir totalement cette nuit, j’en ai profité pour écouter l’ensemble des 12 Concerti Grossi opus 6 de Georg Frideric Handel, que de nombreux musicographes n’hésitent pas à placer sur les mêmes sommets que les Concerti Brandebourgeois de J.S. Bach et que, personnellement, je préfère assez largement à ces derniers ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Il s’agit d’oeuvres qui m’accompagnent depuis très longtemps : Handel faisant partie de longue date du quinté de mes compositeurs préférés, ces disques furent parmi les premiers que j’achetais en CD, et je les ai donnés récemment, lors de l’achat du superbe coffret consacré à Trevor Pinnock et à son orchestre, The English Concert.
Les 12 Concerti Grossi opus 6 ont été écrits par Handel en moins d’un mois en 1739 –Handel a toujours eu la capacité de composer à très grande vitesse-, sur le modèle des concerti grossi de Corelli, en cinq mouvements : un trio concertino de deux violons et d’un violoncelle dialogue avec l’orchestre à cordes ripieno en quatre parties avec clavecin continuo. Le terme « écrit » est partiellement impropre : « rassembler » conviendrait mieux pour certains concerti, dans la mesure où Handel réutilise du matériau qu’il avait déjà employé dans d’autres oeuvres ; c’est le cas pour les n°1, 5, 8, 9 et 11. Les autres sont nouvellement composés ou ne réutilisent que très partiellement des fragments d’oeuvres déjà composées., ce qui constituait une pratique fréquente à l’époque.
L’interprétation de Trevor Pinnock est magnifique : c’est frais et joyeux, tonique et vivifiant, sans outrance mais avec une touche d’élégance qu’on ne trouve dans aucune des autres versions que je connais –au bas mots : une dizaine…-, somptueusement enregistré -les enregistrements d’Archiv Musik du début de l’ère digitale, ici 1982, sont tous excellents et, de plus, offrent généralement de jolies pochettes – dans une ambiance très légèrement réverbérée qui apporte une belle aération sans nuire à la lisibilité des lignes, essentielle dans ces oeuvres. Ces disques restent accessibles à relativement peu de frais en occasion ici : vous pouvez vous précipiter, l’ensemble de ce coffret, qui dispose de surcroît d’un très bon et exhaustif livret traduit en Français, est du plus haut niveau !
Parfois, les insomnies ont du bon !
Miss Moneypenny…
… chatte de son état, a désormais son showroom sur la page des galeries éphémères. C’est un excellent modèle : généralement très timide et n’hésitant pas à se cacher à la moindre occasion, elle adore pourtant poser devant l’appareil et en est très fière !
Sur un air de coupe du monde (98) !
La semaine dernière, je me suis amusé à accompagner « Hotel California », des Eagles, à la basse : c’est assez simple en réalité.
Les jours suivants, en cherchant à jouer d’autres morceaux se fondant sur le même modèle de Power Chords –fondamentale/quinte/octave– j’ai travaillé ce petit morceau, qui propose une chouette progression harmonique qui se répète à l’infini, un joli rythme syncopé et qui devrait rappeler quelques souvenirs aux plus de 40 ans !
Ce fut un tube, cet été-là, dans une version un peu différente… Souvenirs souvenirs !
Dans les prochains jours, petit retour aux sources avec quelques blues : Parachute Woman –The Rolling Stones– et Yer Blues –version Dirty Mac– !
Explication : le pourquoi du comment !
Tous les ans, nous passons une partie de nos vacances sur la Côte d’Opale, dans le Pas-De-Calais, ce qui semble en surprendre plus d’un… Et nous revenons même bronzés ! Voici, en image, le pourquoi du comment ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
[Mode PERFIDE on] Ça change de la Bretagne, où il pleut tout le temps ! [Mode PERFIDE off]
La fibre nuit à la sieste !
Il fut une époque où télécharger une mise à jour du système d’exploitation via une connexion adsl durait un certain temps : de quoi faire une petite sieste en attendant la complétude de l’opération ! Plus avant encore, les mises à jour étaient livrées sur des CD-Rom accompagnant des revues.
Aujourd’hui –depuis 2014 pour ce qui me concerne, en réalité-, avec la fibre, cela va beaucoup plus vite, et même plus moyen de faire une petite sieste : sur l’ensemble des ordinateurs de la maison, les mises à jour sont téléchargées en un clin d’oeil et l’opération d’installation excède rarement quelques minutes! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Pour les curieux, vous trouverez ici un simulateur de débit estimant le temps nécessaire au téléchargement d’une application de 100 Mo à travers le temps. Il va sans dire qu’au bon vieux temps du modem RTC, télécharger une mise à jour en x Go était inenvisageable !
L’image de la semaine !
Disponible en mondiovision, et déjà en DVD ou Blu-ray dans toutes les bonnes boutiques ! La version originale en latin –garantie sans ablatif absolu– est traduite en français. Des comptes-rendus –avant, pendant et après la présentation au balcon-, parfois très détaillés, sont disponibles dans de nombreux quotidiens à travers le monde entier.
Pour ceux qui penseraient : « Que voilà un Diablotin mégalo ! », je vous rassure –ou pas ?– ! Ce n’est rien à côté d’un certain Donald T., qui s’est auto-proclamé pape et revêtu de la grande tenue de cérémonie à cette occasion !