Surcharge cognitive…

Mon agenda des semaines à venir, fait et refait pour essayer de caser aussi rationnellement que possible tout ce qu’il était nécessaire de caser en tenant compte des contraintes liées à la crise sanitaires, ressemble désormais à ça :

Sachant que les barres vertes, en particulier, correspondent :
soit à des déplacements longs –au moins deux heures de trajet quotidien– qui m’éloigneront de mon bureau de 07:15 à 20:00 environ –et que ce travail de bureau s’effectuera donc avant ou après ces échéances quotidiennes…– ;
soit à des activités nécessitant une grande mobilisation de mon cerveau :  je vais être en surcharge cognitive dans les prochains temps !

Playlist « Concerts parisiens »

L’avantage du télétravail, c’est que je peux l’agrémenter assez facilement d’une playlist, pour peu qu’elle ne demande pas une écoute trop attentive, même s’il peut m’arriver ici ou là de lever une oreille, voire les deux, à un moment ou un autre ! Profitons, profitons, en espérant que cette période ne s’éternise pas outre mesure !
La playlist du jour, à dire vrai, s’écoule agréablement et ne nécessite pas en soi une grande concentration : elle est consacrée à « d’aimables » concerts parisiens d’un rock plus ou moins intense selon le groupe envisagé ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Ce qui me sied tout-à-fait, puisqu’entre tableaux Excel ou enquêtes diverses et variées à renseigner et autres multiples réponses à de multiples courriels, j’ai déjà une grande partie de mon cerveau déjà mobilisée, sauf à l’occasion de courtes pauses que je m’impose toutes les trois heures…
Ainsi, le martèlement rythmique de Rammstein ou de Trust induit même une vitesse de frappe accrue sur le clavier –et donc, conséquemment, de dyslexie coutumière du clavier : je suis parfois obligé de baisser le son pour me relire…-. Le concert parisien des Cure n’est assurément pas leur meilleur –le groupe est même curieusement atone parfois-, mais, en revanche, le concert de Supertramp constitue un genre de « best of » en live du groupe tout-à-fait agréable et assez bien adapté à ce type d’écoute un peu distraite –même si mon oreille a été attirée, au détour d’une chanson, par quelques fausses notes divergentes de saxophone ! -.

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Un dimanche à l’opéra

 Mysticisme et décadence : le cinquecento vu d’Allemagne !

C’est un très bel opéra que j’écoute ce matin sur un livret mêlant mystère, sexe et folie dans la Gênes de la fin de la Renaissance italienne, le tout sur une musique post-wagnérienne mâtinée d’un peu de modernité décadente : « Les Stigmatisés », de Franz Schreker. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

L’oeuvre, créée en 1918 et composée pour partie durant la guerre, connut un assez grand succès pendant quelques années, avant qu’elle ne soit inscrite dans la liste des oeuvres qualifiées par l’Allemagne nationale-socialiste d’Art Dégénéré –trop expressionniste et « immorale » sans doute ?-.

Elle fut « redécouverte » à la fin des années 70, d’abord en Allemagne, avant de retrouver un succès de plus grande ampleur –création française en 2015 seulement, à l’Opéra de Lyon-, grâce, notamment au présent album, de fort belle qualité.

Playlist « Événement exceptionnel »

L’événement exceptionnel est constitué par le fait que, durant cette semaine, c’est la première playlist à laquelle je peux m’adonner depuis près de dix jours ! Avant cela, pas le moindre album à me glisser entre les oreilles tant j’ai été sollicité par des activités professionnelles dont je me serais fort bien passé pour certaines, et qui m’ont accaparé plus que de raison ! On se croirait presque revenu une année en arrière, en la matière… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

La playlist de ce jour, relativement courte dans sa durée, est donc construite comme un vaste fourre-tout, très varié mais agréable, et dont l’élément principal –au moins pour moi- est la magnifique pièce « Schelomo » d’Ernest Bloch : un genre de lamentation pour violoncelle et grand orchestre, très virtuose dans son écriture malgré une assez grande simplicité thématique. La version écoutée ce jour exacerbe encore le lyrisme de l’oeuvre.

L’album d’Albert King –1962-, arrivé il y a quelques jours après une longue semaine d’errance postale via les Pays-Bas, est un pur produit de Chicago blues, avec belle guitare et orchestre assez fourni en cuivres. Pas révolutionnaire, mais très bon !

Saxon est un groupe de hard-rock dont j’ai beaucoup écouté –et apprécié– cet album au début des années 80 : une longue remontée dans le temps, donc, mais certains titres sont si gravés dans ma mémoire que j’en connaissais encore les moindres détours –en même temps, il est juste de reconnaître que le genre en offre assez peu…– !

Vivement le retour à une période un peu moins agitée !

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Pour vous j’ai testé…

… la nostalgie, camarade !

La firme anglaise LEAK, qui avait commis quelques bons appareils HiFi dans les années 60 et jusqu’au début des années 70, semble renaître de ses cendres via la Chine ! Ils ont en effet sorti un nouveau ampli qui fleure bon leurs productions antérieures, dont l’excellent « Stereo 30Plus », qui avait fameuse réputation. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Le LEAK Stereo 30Plus était le successeur amélioré du LEAK Stereo 30, qui fut l’un des tout premiers amplis à transistors, au bon vieux temps des transistors en germanium –qui chauffaient beaucoup et distordaient pas mal dès qu’on poussait le volume-. Le Stereo 30Plus avaient troqué le germanium pour des transistors en silicium, plus fiables et de meilleure qualité. Curieusement pour des amplis d’Outre-Manche, leurs sorties étaient au format Cinch et non pas DIN à cinq broches. Les clablâges internes étaient essentiellement « en l’air », sans quasiment de circuit intégré. L’ensemble, proposé à prix plutôt attractif et d’une bonne fiabilité, fonctionnait de manière très satisfaisante avec les enceintes de l’époque.

La copie contemporaine reprend assez bien les codes esthétiques de l’original, avec boiseries, poussoirs rectangulaires et potentiomètres crantés. J’ai eu l’occasion, dernièrement, de l’écouter rapidement et dans de bonnes conditions, tant sur ses sorties analogiques que numériques : le son, excellent, est évidemment beaucoup plus fidèle qu’antan, et l’objet, joli, fleure vraiment bon » la nostalgie, camarade » !

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Pour vous -et surtout pour moi-, j’ai testé…

… l’intelligence artificielle au service de la retouche photo !

Et bien cela marche très bien, comme en atteste la photo ci dessous –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. 

Evidemment, ici, j’ai accentué les effets au maximum, mais l’application plus nuancée de filtres et de ciels recréés artificiellement par le logiciel est tout-à-fait concluante pour sublimer certains clichés !

Ça s’appelle Luminar AIAI pour intelligence artificielle, évidemment…-, c’est très simple d’utilisation –finis les détourages fastidieux !– et c’est bourré d’algorithmes extrêmement puissants. Utilisé avec modération et discernement, c’est vraiment bien ! Adopté !

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Rions un peu avec le SARS-Cov-2

La crise sanitaire, presque banalisée désormais, a régulièrement été l’occasion, depuis un an, de dessins de presse ou de photo-montages et autres vidéos humoristiques, qui ont peu à peu suivi l’évolution de l’actualité.

En voici l’une des plus drôles, écho d’une émission TV d’une chaîne « cryptée » à laquelle je ne suis pas abonné –et la liste des chroniqueurs du plateau ne donne pas forcément envie…-.

Aujourd’hui : visioconférences !

Je navigue aujourd’hui de visioconférence en visioconférence… C’est passionnant, et ça me permet de tester de nombreuses plateformes différentes ! Trois pour cette seule journée –dont une d’une durée de trois heures cette après-midi-…
Certes, cela m’évite des déplacements parfois un peu longs, mais, sur la durée, c’est, pour le moins, astreignant, et, quasiment sans pause entre chacune d’entre elles, c’est même redoutable : impossible de rester constamment concentré !

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