La devinette estivale

DiablotinQuizÇa faisait longtemps que je n’avais plus soumis à votre sagacité une petite devinette ! Celle-ci est assez facile, sans l’être trop : il s’agit simplement de trouver le groupe interprétant cet extrait.

Vous allez entendre un groupe fan à la fois des Beatles et des Rolling Stones –c’est donc possible ?!-, qui essaya, souvent avec talent, de combiner les deux styles : une rythmique marquée par un riff efficace et un solo assez inspiré par George Harrison –plutôt mélodique, donc, mais avec un son un peu moins fluet néanmoins-, issu en droite ligne de la technique « ligne claire » propre à Hank Marvincliquer sur le lien pour retrouver ce morceau qui a fait la joie de tous les apprentis guitaristes, petits ou grands : simple, efficace, et précurseur-.

Prêt ? Partez Cliquez ! Comme à chaque fois, une jolie surprise sera remise au vainqueur de ce petit jeu estival.

La playlist bariolée du week-end

De jolies couleurs éclatantes pour une musique qui ne l’est pas toujours ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. De quoi égayer un peu le gris du ciel !
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Dans l’extrait ci-dessous, comme sur tout l’album dont il est issu, un musicien très célèbre et dont je vous parle assez souvent est présent. Oui, mais qui ? C’est la devinette du jour –facile– !

La devinette du week-end : musique et géographie

CarteMondeNBAujourd’hui, en guise de devinette, je vous propose une petite notule en forme de « géographie musicale » : si le coeur vous en dit, vous pouvez cliquer sur la carte du monde pour la voir en plus grand, et même la colorier à votre guise, avec des vrais crayons de couleur ou dans un logiciel de traitement d’image.

Au cours de ce voyage virtuel, vous échapperez cependant :
• aux visions dépressives d’Amsterdam (J. Brel) ou de Berlin (L. Reed);
• au New-York un peu déjanté et fun de Nina Hagen;
• aux fantômes buvant du beaujolais nouveau de Paris (J. Cale);
• à toutes les villes du monde où l’on rencontre des filles de bastringue, et qui changent chaque soir (Rolling Stones);

Une première étape fera halte à Liverpool, où je vous propose de vous attarder sur ce premier extrait. Un petit bijou d’un groupe que je n’aima pas trop en général. Comme c’est excessivement facile, je ne vous demanderai rien quant à cette chanson, qui ne fait pas partie de la devinette, mais est si plaisante aux oreilles  !

DiablotinQuizOn pourrait encore continuer cette balade de Baton Rouge (Rolling Stones) à l’Alaska (Lou Reed) en passant par l’Alabama (Neil Young) ou le bayou (Creedence Clearwater Revival), ce qui constitue un drôle de circuit, et pas vraiment le plus court pour arriver à notre deuxième étape, où la devinette vous attend.

Après avoir écouté cet autre bijou –personnellement, je trouve cette chanson absolument magnifique-, je vous invite à deviner : qui chante et quel lieu est décrit dans la chanson ? En cas d’ex-aequo, celle ou celui qui donnera la date de sortie du titre sera déclaré vainqueur.

C’est facile, et le gagnant aura même une jolie surprise !

Playlist tirage au sort -et une devinette-

TirageAuSortLa règle du jeu est toute simple : je lance iTunes, je clique au hasard sur un album en fermant les yeux et je l’écoute.

Diablotin_vertCliquer sur l’image pour en avoir un aperçu en plus grand, mais en petite résolution et volontairement floutée : c’est normal, et on découvre donc la devinette du jour ! Le premier qui arrive à en reconstituer une ligne (Compositeur et/ou groupe/artiste et titre de l’oeuvre ou de l’album) gagne une surprise ! C’est plus facile que ça en a l’air…– !

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Bref, ça donne cette drôle de playlist –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, pas désagréable du tout, au demeurant, avec :
• le Messie de Handel le plus léger et transparent de toute ma discothèque, qui en compte quelques versions –et peut-être de toute la discographie ? Cliquer sur l’extrait ci-dessous pour vous en faire une idée-.
Il résulte également de cette stratégie aveugle :
• une « Symphonie Fantastique » de Berlioz dans une version ancienne que je n’avais plus écoutée depuis des lustres, qui bénéficie d’une vraie côte auprès des spécialistes, que j’ai toujours eu du mal à m’expliquer, personnellement;
• un vrai beau disque de vrai blues ou un groupe légendaire accompagne une légende du genre;
• et, pour débuter cette playlist, du quasi-rap alla francese !

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Playlist bissextile !

Après une journée laborieuse et fastidieuse –ce qui est assez rare en général pour ce qui concerne ce second qualificatif-, il y a bien, dans cette playlist, un album que je ne dois écouter que tous les quatre ans… C’était, aujourd’hui, le jour ou jamais ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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A vous de deviner du quel il s’agit… Je ne vous donne aucun indice, ce serait trop facile sinon 😉 !

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Devinette en couleurs

tableauCouleurDiablotinQuizCliquer sur l’imagette ci-contre –celle de gauche– : elle révèle un joli tableau sans mot, mais en couleurs !

A votre avis, à quoi correspond ce tableau, sachant qu’il y manque éventuellement une colonne tout-à-fait à gauche ? Un indice se cache sur la page d’accueil du blog… C’est très simple !

A vous de jouer !

La devinette du mois… Facile ou pas ?

DiablotinQuizTiens, ça faisait longtemps, voir donc une petite devinette… Extrait de ma playlist, ce petit morceau tout-à-fait sympathique, à écouter dans un premier temps –play it loud ! – : il ne s’agit pas, cependant, de deviner qui joue quoi ou chante quoi, ce serait trop facile.

En revanche, en écoutant attentivement la fin de la chanson, on entend des extraits sonores d’un film relativement célèbre, bien qu’un peu ancien et totalement underground à l’époque, avec notamment pléthore d’acteurs non professionnels. Saurez-vous de quel film il s’agit ? A vous de jouer !

Playlist d’Outre-Atlantique

Thématique « Star-Spangled Banner » dès l’aube de cette nouvelle journée… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. Playlist27092015L’album du Grateful Dead, le cinquième du groupe, est très loin du Blues cher au coeur de Jerry Garcia, mais constitue un retour vers les racines blanches de la musique populaire américaine : vaguement folk, très country et très vocal, aussi. Intéressant, mais pas fondamental.
Du coup, « America stars and bars » de Neil Young en est presque une suite logique, dans la même veine, même si son sommet « Like a hurricane », est un pur rock très brut de décoffrage, à la guitare saturée et chargée d’émotion, comme souvent chez ce musicien.
Le concerto pour violoncelle d’Eliott Carter a été composé en 2001, mérite un coup d’oreille curieux, mais ne va pas révolutionner le genre…
Enfin, les Cramps font du Cramps, en s’amusant comme toujours : vivant et faussement glauque, même si on est loin de l’inventivité des débuts.

Devinette du week-endfacile 🙂 Hier soir, j’ai entendu ce chant jubilatoire, dans une ambiance assez électrique. Les paroles sont à peu près incompréhensibles pour une oreille normalement constituée…

Mae hen wlad fy nhadau yn annwyl i mi,
Gwlad beirdd a chantorion, enwogion o fri;
Ei gwrol ryfelwyr, gwladgarwyr tra mad,
Tros ryddid collasant eu gwaed.

Gwlad! Gwlad! pleidiol wyf i’m gwlad
Tra môr yn fur i’r bur hoff bau,
O bydded i’r hen iaith barhau.

Et vous, vous y comprenez quelques chose ? Et d’ailleurs, savez-vous seulement ce que c’est ???

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Playlist Union Jack

Après une longue et pleine journée, rien de mieux qu’une petite playlist à même de ravir mes oreilles pour entamer la soirée : ce jour, elle est toute entière consacrée à l’écoute d’un musicien anglais de l’époque victorienne, Edward Elgar, un peu méconnu dans nos contrées, mais presqu’un phénomène Outre-Manche. Ses « Pompes et circonstances » sont, quant elles, archi-connues partout et la première, avec ses paroles « Land of hope and glory », est presqu’un second hymne national…

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A vous de juger si cette notoriété relative dans nos contrées est justifiée, ou non… Son concerto pour violoncelle, quoi qu’il en soit, reste l’un des plus beaux du répertoire.

L’extrait ci-dessous –1ère symphonie, 1er mouvement– a, par ailleurs servi de support à la bande originale d’un film –anglais, forcément-, plutôt pas mal et renouvelant un peu le mythe envisagé, qui connut un succès certain dans les années 80, permettant au passage de découvrir un acteur français qui allait percer rapidement, avant de retomber un peu dans l’oubli… Quel film ? A vous de le découvrir !

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Vous reprendrez un peu de Gibson Les Paul ?

MBloomfieldSardequin a trouvé, assez très rapidement, la réponse à la devinette du mois de septembre. Le guitariste qu’il vous était demandé de reconnaître était bien Mike BLOOMFIELD,  –cliquer sur le portrait pour agrandir l’image– accompagné du Paul Butterfield Blues band, dans un court extrait du morceau «East West»  daté de 1966.

Evidemment, ce n’était pas aussi simple que ça en avait l’air dit comme ça : Mike BLOOMFIELD, prodigieux guitariste de blues, le premier américain blanc à percer dans ce domaine, est tombé un peu dans les oubliettes de l’histoire du genre, du fait d’une carrière quelque peu erratique, liée à des soucis de santé nombreux.

C’est lui que vous entendez à la guitare électrique sur le merveilleux «Highway 61 Revisited» de Bob Dylan, où il se montre particulièrement brillant.

Parmi les guitaristes blancs pionniers du blues, dans les années 60, on peut le comparer à Peter Green ou Mick Taylor, voire Eric Clapton au début de sa carrière –avant la création de Cream– : comme eux, il utilise une Gibson Les Paul et privilégie la beauté de la sonorité et la fluidité technique, à l’inverse de guitaristes plus ostentatoires comme Jimi Hendrix, Eric Clapton dans Cream, Jimmy Page ou Jeff Beck, qui exploitèrent plutôt d’autres palettes de la guitare électrique –pédales d’effets, larsen, saturations…-.

La décennie 70 fut cruelle pour Mike BLOOMFIELD : de complexion déjà fragile et amateur notoire de diverses substances de surcroit, il la traversa quasiment en «grand absent» malgré quelques productions sporadiques. Il ne vit quasiment rien de la décennie 80, puisqu’il fut retrouvé mort dans sa voiture –suicide probable par overdose– en 1981, à 37 ans.

Pour le retrouver dans toute sa vraie grandeur de précurseur –un blanc américain jouant du Chicago blues au début / milieu des années 60-, outre l’extrait sonore proposé en fin de notule, vous pouvez vous tourner vers les disques proposés ci-dessous. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. Vous y entendrez un guitariste fluide, parfait connaisseur des gammes pentatoniques agrémentées de quelques innovations harmoniques rares pour l’époque, et toujours une sonorité vraiment belle.

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