Désormais, il passe partout !

Avant-hier soir, à l’occasion d’une enquête de satisfaction de mon fournisseur d’accès à internet, j’ai demandé si, éventuellement, il était possible de procéder à une échange de mon modem multifonctions –box internet en français courant-, l’ancien étant très robuste mais d’une portée WiFi –TheCookingCat se sert de son iPad partout dans la maison– ne permettant pas une couverture idéale de tout le domicile : la conseillère m’a annoncé une amélioration des performances WiFi.

Aussitôt dit, aussitôt fait : en moins de 14 heures chronola nouvelle échelle de temps en France en ce moment…-, j’ai vu arriver hier matin une nouvelle box, déballé le carton pour remballer l’ancienne box et la renvoyer, puis branché ladite box au sein de mon réseau en deux temps-trois mouvements. Comme annoncé la veille, le WiFi est en effet nettement plus performant, tant en débit, quasiment doublé, qu’en portée, puisque le WiFi passe désormais partout ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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Ressusciter un antique MacBook, suite !

Il ya a quelques temps, je vous parlais, ici, de la résurrection en cours d’un antique MacBook : mon premier MacBook, en 2009, de l’authentique vintage donc ! Après l’avoir remis à neuf dans sa configuration d’origine, avec laquelle je ne pouvais quasiment plus rien envisager –du fait, notamment, d’un navigateur obsolète refusant pour des raisons de sécurité d’accéder à internet-, je me suis un peu penché sur son cas et, après quelques heures de galère, j’ai enfin réussi à mettre à jour, par étapes et en bidouillant pas mal, l’antique Mac OS X 10.6.8 d’origine vers un système plus récent et encore fonctionnel actuellement : High Sierra, ou 10.13.6, officiellement, le dernier système supporté par cet ordinateur, et dont j’ai également fait toutes les « mises à jour de sécurité » recommandées. –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand…-.

En bidouillant encore –beaucoup– plus, je pourrais éventuellement aller vers un système encore plus récent, mais sans doute au prix de lenteurs rédhibitoires, et il faudrait en outre que je l’ouvre pour rajouter de la mémoire… Cela étant, ce MacBook ne me sert pas beaucoup plus qu’avant, sauf, désormais pour numériser à la chaîne quelques albums de ma discothèque –l’accès aux bases de données en ligne constitue une aide précieuse pour le renseignement des tags-. A l’occasion, je pourrais également essayer d’en faire un lecteur CD ou un lecteur de fichiers audio FLAC de belle qualité, cette « antiquité » bénéficiant d’une sortie optique mini-Toslink –fonctionnalité abandonnée par Apple depuis au moins 5 ou 6 ans, et c’est regrettable…– dont il me semble qu’elle est configurable au moins jusqu’à une fréquence d’échantillonnage de 48 kHz.

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Antiquités, félins et grands parcs naturels… Part two !

[…Suite] Lors de la toute récente dernière mise à jour vers macOS 15.6, je m’interrogeais pour savoir combien de différents système d’exploitation j’avais pu utiliser ces presque quarante dernières années –ie : depuis le temps que j’utilise des ordinateurs Apple…-.
De System 6.0.3 à macOs 15.6 Sequoia, je suis passé par toutes les versions majeures –et presque toutes les mineures…– du système d’exploitation des ordinateurs Apple, sauf la version Public beta de MacOS X, intitulée « Kodiak » –un ursidé, pas un félin...- !

Ce qui donne : Mac OS X – Les félins ! 2001 – 2015
J’ai eu la chance de pouvoir utiliser très rapidement Mac OS X grâce aux nombreuses opérations spéciales réservées, à l’époque, au monde de l’éducation, où les remises, dans le domaine logiciel, étaient  avantageuses et nombreuses.
• MacOS X 10.0.4 « Cheetah » que je n’ai utilisé que quelques semaines, le temps de découvrir l’interface Aqua et d’attendre l’arrivée de son successeur ! J’avais cependant déjà une imprimante compatible avec le nouvel OS, de même que le pack Office dédié à Mac OS X !


• MacOS X 10.1 « Puma » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.1.5. A ce stade, MacOS X ne semble pas encore avoir atteint sa pleine maturité et reste relativement lent, mais on sent que les fondations sont solides, le système est très stable et l’interface Aqua a trouvé sa cohérence.
• MacOS X 10.2 « Jaguar » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.2.8 : le tout premier OS X rapide, fluide, hyper-stable et très agréable à utiliser ! Je l’ai beaucoup aimé et utilisé intensément à une époque où je produisais beaucoup…
C’est aussi le premier OS à proposer Safari, le navigateur d’Apple, ultra-rapide et léger à son lancement : auparavant, seul Internet Explorer était compatible avec Mac OS X.
• MacOS X 10.3 « Panther » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.3.9, qui apporte un changement dans l’interface, façon « Alu brossé ».
• MacOS X 10.4 « Tiger » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.4.11 : considéré par de nombreux utilisateurs comme le meilleur « félin » produit… –cliquer sur l’imagette de droite pour la voir en plus grand-.
• MacOS X 10.5 « Leopard » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.5.8
• MacOS X 10.6 « Snow Leopard » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.6.8. C’est le dernier OS d’Apple à être livré sur un support physique –DVD-. Par la suite, tous les autres ne seront disponibles qu’en téléchargement sur l’Apple Store, gratuitement à partir de MacOS 10.9.
• MacOS X 10.7 « Lion » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.7.5
• MacOS X 10.8 « Mountain Lion » et toutes ses déclinaisons jusqu’à 10.8.5

A suivre…

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Ressusciter un antique MacBook !

En faisant le vide de mon bureau –grosso modo, je n’ai guère fait de tri et tout passé à la broyeuse puis les services techniques ont tout emporté dans une benne-, j’ai ressorti du tiroir où il était sagement rangé depuis quelques années le premier MacBook qui m’avait été octroyé lors de ma prise de fonction, et qui s’avère désormais complètement obsolète, puisqu’il date de 2009… J’avais déjà commencé à le bidouiller un peu il y a quelques années, et il ne démarrait plus suite à ces interventions un peu sauvages.

Je l’ai néanmoins ramené chez moi pour essayer de lui redonner une seconde vie : nettoyage complet interne et externe – création d’un DVD bootable avec un système 10.6.8, les DVD originaux ayant été égarés depuis des lustres, et une bonne heure plus tard, l’ordinateur a enfin redémarré ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Evidemment, tout cela est bien beau et permet de retrouver une interface que j’avais presqu’oubliée, fondée sur le skeuomorphisme pour beaucoup de ses icônes, mais je vais devoir encore appliquer quelques mises à jour du système pour qu’il soit plus fonctionnel, de nombreuses applications actuelles ne fonctionnant plus sur un système aussi ancien –mais il convient parfaitement encore pour ripper des CD à la chaîne si nécessaire..-. Ceci réalisé, je pourrai le donner à qui le voudra !

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L’IA dessine mieux que moi…

… et, surtout, beaucoup plus vite !

Ce dessin a été généré par une intelligence artificielle en moins d’une minute à partir de quelques mots-clés que je vous laisse deviner -ce n’est pas bien difficile…-. Le résultat est assez bluffant ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Je sens que je vais bien m’amuser dans les prochains temps !

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Qui se souvient de la disquette ?

Les 40 ans du Mac sont l’occasion de publier, ici ou , toute une série d’articles plus ou moins nostalgiques pour les quinquagénaires qui ont connu ces temps lointains de l’émergence de « l’informatique ».
Aujourd’hui, le regard est porté sur la disquette, qui connut son heure de gloire durant les années 80 et 90, avant qu’un certain Steve Jobs décide d’en supprimer le lecteur lors de l’annonce du tout premier iMac, en 1998. Progressivement, la disquette fut remplacée par la clé USB.

Avec dans le meilleur des cas, une capacité de stockage limitée à 1,44 Mo (!!!), la disquette s’avèrerait évidement totalement dépassée de nos jours, où l’unité de bas semble être le Go… Pourtant, pendant longtemps, les logiciels vendus en boîte étaient inscrits sur un nombre plus ou moins élevé de disquettes que l’on insérait, l’une après l’autre –la création d’un jeu de sauvegarde était par ailleurs un processus relativement long et fastidieux…-, dans le lecteur afin d’installer une application. Ainsi, MacOS 8 était-il livré dans une boîte comprenant une vingtaine de disquettes -pour ma part, j’avais une version sur CD Rom, autre support désormais disparu…-.

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Oh P… ! 30 ans déjà !

Cette notule retrace une page d’histoire que les moins de 40 ans n’ont pas pu connaître –les pauvres ! -. Une histoire où l’informatique était encore un monde de Ko ou de Mo plutôt que de Go ou de To, où Internet tel que nous le connaissons n’était pas encore né et où les écrans cathodiques encore étaient de règle.

En mai 1991, Apple sortait son tout nouveau système d’exploitation, livré dans une volumineuse boîte -cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– de près de deux kilos contenant 12 disquettes numérotées et un manuel d’utilisation de 600 pages : Système7.
L’avancée était alors majeure : gestion des couleurs, support du 32 bits et du multitâches, indispensable –pour la PAO– lissage des polices vectorielles, traitement des vidéos via QuickTime, ineffable procédure de reconstruction du bureau lorsque le système devenait instable…
Tout, donc, aurait dû aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais, dans les faits, ce système d’exploitation, tout au long de sa longue existence –de 1991 à 1997-, accompagna le lent déclin de la marque à la pomme avant sa renaissance –aujourd’hui première capitalisation boursière du monde, mais au bord de la faillite au milieu des années 90...-, liée au retour aux manettes de la marque à la pomme de Steve Jobs et à la sortie de l’iMac Bondi Blue en 1998.

Les premières déclinaisons de Système7 –de 7.0 à 7.1.2– s’inscrivaient encore dans la lignée de la version précédente, mais, à partir de Système 7.5indispensable aux nouveaux processeurs Power PC, beaucoup plus puissants que les anciens Motorola des gammes 680XX-, de nombreuses instabilités sont apparues, liées notamment à des conflits d’extensions, et je fais partie des utilisateurs qui ont largement pesté face à ces bombes inopinées qui apparaissaient assez régulièrement du fait d’un gestionnaire d’extensions trop chargé ! Lesquelles extensions s’affichaient progressivement, façon pièces de puzzle, au bas de l’écran à chaque démarrage de l’ordinateur, ce qui était assez joli !

La plus inénarrable de ces versions reste sans doute la maudite 7.5.3, remarquablement capricieuse mais avec des icônes en relief… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. Il fallut attendre l’apparition éphémère de la version 7.6 pour retrouver un vrai confort d’utilisation.

Pourtant, Système 7 fut très largement en avance sur son temps, et même l’apparition de MS Windows 95 –et sa funeste base de registre…-, malgré le large succès de ce dernier, ne combla pas totalement le retard en matière d’élégance et de souplesse d’utilisation. Et, surtout, Système 7 était un peu personnalisable et l’on pouvait le débugger soi-même sans trop de difficulté.

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Pour vous, j’ai testé…

…macOS Big Sur !

Une version semble-t-il si majeure qu’elle vient marquer la fin de MacOS X, après 20 ans de bons et loyaux services : il s’agit en effet de la version 11 de macOS, qui perd une majuscule au passage ! C’est plein de couleurs et de transparence, avec une volonté marquée, esthétiquement, d’unifier les interfaces macOS et iOS pour iPhone et iPad.

A l’usage, et jusqu’à présent, rien de très révolutionnaire, si ce n’est que j’ai quelque peu réorganisé certaines barres de menu des logiciels que j’utilise le plus, afin de retrouver rapidement mon fonctionnement habituel ! De même, les raccourcis claviers fonctionnent de manière identique –depuis quasiment la nuit des temps…-, ce qui est bien pratique pour la mémoire dactyle ! –Cliquer sur les images pour les voir en plus grand-.


Une nouvelle histoire (re)commence : après avoir testé, depuis 1989, les systèmes 6, 7 et 8 sous leurs différentes moutures avec des bonheurs divers –7.5.3 et 7.5.5 me remémorent d’assez pénibles plantages et, pour les anciens qui s’en souviennent, la nécessité de « jouer » assez souvent avec le gestionnaire d’extensions pour résoudre moults conflits…-, après avoir laissé de côté la version 9 de MacOS « Classic », j’ai connu MacOS X sous toutes ses déclinaisons –de la version initiale 10.0, tout-à-fait révolutionnaire à son lancement, à la 10.15 donc- sauf une que je n’ai jamais utilisée -MacOS 10.14 Mojave-.

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Dopons un iMac !

Comme annoncé lors de l’achat de l’Imac 27’ à la fin de l’été, je lui ai rajouté 2 barrettes de 8 Go de RAM –à des tarifs très éloignés de ceux pratiqués par la marque à la pomme-, portant ainsi le total à 24 Go2×4+2×8 Go-. L’opération est très aisée, pas besoin du moindre outil la réaliser ! 

La retouche-photo notamment, grosse consommatrice de mémoire lors des opérations de dématriçage des fichiers RAW, est désormais fluide et rapide : un pur bonheur ! Cependant, quand on y pense, on peut rester dubitatif devant cette inflation : mon premier ordinateur contenait uniquement 4Mo de RAM, mais c’était il y a bien longtemps !

Et, un bonheur ne venant jamais seul, j’en ai profité pour acheter un chouette clavier à pavé numérique dont la caractéristique principale est que l’on peut également le connecter à quatre périphériques Bluetooth supplémentaires de manière totalement indépendante les uns des autres : iPhone, iPad… La saisie de SMS et autres MMS un peu longs –ça m ’arrive dans le cadre du travail…– s’en trouve grandement simplifiée !

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Easter eggs : la notule de Pâques

Les « Easter Eggs » sont des « petits programmes dans le programme », cachés et accessibles, généralement, par le biais d’une combinaison de touches, réalisés avec plus ou moins de facéties par les développeurs d’une application. Certains sont très simples, d’autres beaucoup plus élaborés, et leur recherche s’apparente à une véritable cueillette de Pâques, d’où, d’ailleurs, leur nom.

Le « widget » Météo du « Dashboard » de Mac OS X, par exemple, en comporte un relativement simple, qui vous permet de voir, très rapidement, l’ensemble des pictogrammes météorologiques à votre disposition. Il suffit de saisir la combinaison de touches [cmd] + [alt] en cliquant sur le symbole météo de votre widget pour faire apparaître le lieu « Nowhere », autrement dit « Nulle part », puis de poursuivre cette opération pour faire défiler les différents pictogrammes. C’est bête, mais ça vous détendra une minute ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

D’autres Easter Eggs sont nettement mieux cachés et plus facétieux. Les créateurs d’Adobe Photoshop cachent une image dans les informations d’accueil, renouvelée à chaque version. Pendant longtemps, elle mettait en scène le « chat électrique ». Désormais, les choses sont plus variées : lutins, lapins et autres créatures… Pour y accéder, il suffit d’appeler l’aide tout en appuyant sur la combinaison de touches [cmd] + [alt].
L’Easter Egg le plus drôle, selon moi, et celui qui m’a le plus amusé lorsque je prenais quelques minutes de pauses entre deux alignements de blocs au millième de centimètres, c’est celui qui est contenu dans Quark XPress. La suppression d’un bloc d’image en activant une combinaison de touches faisait apparaître un « alien » qui détruisait le bloc dans une explosion de couleurs.
La guerre InDesign – XPress vit apparaître également une guerre des programmeurs en matière de gimmicks : chez Adobe, ils firent apparaître un « gentil alien » caché dans l’interface de gestion d’impression, et chez XPress, en guise de réplique, un deuxième alien encore plus méchant fait désormais exploser le premier alien originel… –Cliquer sur l’image pour voir ces fonctions cachées en plus grand-.

Joyeuses Pâques et bonne cueillette !

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