• Anton Bruckner – Symphony n°7, arrangement pour ensemble de chambre – T. Christian Ensemble • The Cure – Live à Saint Malo, festival « La route du rock » • Fanny Mendelssohn-Hensel – Das Jahr – Laura Skride, piano • The Rolling Stones – A Bigger Bang
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• Nouvelle Vague – Nouvelle vague • Brahms – Symphonie n°1 – OS Londres, Bernard Haitink • The Cramps – How To Make A Monster Disc • The Cure – The Cure
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Suite et fin de cette série, avec du lourd : 3 albums représentant 6 disques de 180 grammes ! On dépasse donc allègrement le kilo, et on doit en réalité tourner autour du double si l’on rajoute le poids des pochettes cartonnées… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Et puisque nous sommes dans les chiffres, le couvre-plateau que je souhaite changer par un autre anti-statique mesure en réalité 3 mm d’épaisseur, qu’on se le dise ! Le nouveau que j’ai commandé fera la même épaisseur –on en trouve de toutes les matières et de toutes les épaisseurs entre 1 et 3 mm, ce qui permet de respecter l’angle d’attaque vertical sans avoir à ajuster la hauteur du bras, d’autant que toutes les platines n’offrent pas cette possibilité-.
Comme nous sommes dimanche que tout le monde est réveillé, j’en profite pour suivre le conseil prodigué sur l’album des Cure : « This music has been mixed to be played loud so turn it up » !
Cette année-là, au crépuscule du 20ème siècle, des informaticiens pessimistes nous avaient prédit le grand bug et quelques loufoques de courants millénaristes farfelus prévoyaient la fin apocalyptique de notre monde… Il n’en a rien été et le vingtième siècle s’est achevé sans encombre en même temps que cette année-là !
• AC/DC – Stiff Upper Lip • Charlie Watts & Jim Keltner – Project • Messiaen – La transfiguration de Notre Seigneur Jésus-Christ – Cambreling • The Cure – Bloodflowers
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• Bartok – Le château de Barbe-Bleue – Von Otter, Tomlinson ; OP Berlin, Haitink • The Cure – Wild Mood Swing • Neil Young – Broken Arrow • Bruckner – Symphonie n°8 – Staatskapelle Dresde, Sinopoli
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• Portishead – Dummy • Four Non Blondes – Bigger, Better, Faster, More • Bach – Suites pour violoncelle • The Cure – Wish
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• The Cure – Glastonbury Live – Enregistrement non officiel, excellent et assez facilement dénichable sur plusieurs labels plus ou. Moins obscurs obscurs, et avec des visuels différents. • The Cramps – Stay Sick • The Allman Brothers Band – Seven Turns • Kurt Weill – L ‘opéra de quat’sous – RIAS Berlin, Mauceri -Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
• INXS – Kick, 25th Anniversary Deluxe Edition • Midnight Oil – Diesel And Dust –aux véritables extraits de ministre !– • William Boyce – 8 symphonies – The English Concert, Trevor Pinnock • The Cure – Kiss Me Kiss Me Kiss Me, Deluxe Edition
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En ce début de dimanche matin à la météo bien morne –le ciel est bas, le brouillard tarde à se lever et on ne devrait pas voir le soleil de la journée…-, une playlist entamée quasiment au pied du lit, donc fort tôt, est déjà en train de s’achever ! Elle est composée de raretés relatives, que l’on peut dégotter sans trop de peine , en cherchant un peu, lorsqu’on sait qu’elles existent. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
De l’album des Cure, je n’ai écouté que les versons acoustiques de ce double best of : ça ne change pas fondamentalement les choses, mais les chansons, bien choisies, résistent étonnamment bien à ce traitement et Robert Smith est un excellent chanteur ! –Cf. extrait ci après, mais également l’extrait vidéo, un peu pus tardif mais réalisé selon le même concept et avec le même instrumentarium en fin de notule, dont la chanson ne figure pas sur le disque-.
Le live des Cranberries a été enregistré à Milan en 2010, le son en est relativement décent, même si la voix, par moments, est un peu lointaine. Le groupe, dans ces années-là, se produisait triomphalement à travers l’Europe, et l’ensemble est de fort belle tenue !
Enfin, Paradiso est un concert de Joy Division enregistré au Club Paradiso d’Amsterdam le 11 janvier 1980, et c’est sans doute le plus connu des enregistrements pirates du groupe, et probablement le meilleur, puisqu’il bénéficie de très bonnes conditions techniques. La prestation du groupe n’est pas impeccable : pas mal de pains à la basse ou à la guitare, mais la voix de Ian Curtis reste toujours aussi prenante et l’enchaînement de la set-list est implacable ! J’aurais bien aimé y être –je n’ai découvert le groupe qu’en 1981, quand il n’existait déjà plus…-.