And the winner is…
J’ai trouvé le vainqueur de l’élection d’hier soir : c’est le sondage !
Vilipendé, honni pour ses erreurs qui seraient récurrentes, trafiqué –il faut savoir les lire dans leur intégralité pour les interpréter complètement, et, notamment, tenir compte de la marge d’erreurs, toujours disponible dans un sondage-, il était le mal-aimé de cette élection, certains préférant se fier à « l’analyse » -à la méthodologie non réellement explicitée- des « big data ».
Et pourtant, ils se sont très peu trompés ! –Cliquer sur l’mage qui prouve ce que je dis pour la voir en plus grand : à gauche, la synthèse des derniers sondages avant le jour J, à droite les résultats définitifs publiés par le ministère de l’Intérieur-.
Encore plus fort : dès hier après-midi, ils donnaient des résultats très proche de la réalité finale sur une TV frontalière… Je peux même vous dire que les comptes twitter des équipes de campagne ont relancé la mobilisation à l’aune de cette publication précoce !