20 ans pile poil !

Et même pas dans mon musée du Mac !  A sa sortie, la disparition d’un lecteur de disquettes fit jaser –ça ne marchera jamais ! – et l’apparition en série d’un port USB sur une machine « grand public » tout autant ! Quelques mois plus tard, la mode du « Bondi Blue translucide – Sorry ! No beige » faisait fureur chez tous les fabricants  d’imprimantes ou de lecteurs externe, et l’USB devenait une norme standardisée.

Pourquoi je n’en ai pas eu : à l’époque, j’avais upgradé mon PowerMac 4400 dopé en Ram –256 Mo, énorme pour l’époque…– avec une carte G3 et une carte graphique de compétition, me permettant de piloter un excellent moniteur 17 pouces cathodique avec une meilleure résolution que le « petit » 15 pouces de l’iMac original. De plus, ma chaîne graphique et mes éléments de sauvegarde étaient en SCSI, non proposé sur l’iMac. D’où cette impasse, jusqu’à l’achat d’un eMac quelques années plus tard…