Qui se souvient de la disquette ?

Les 40 ans du Mac sont l’occasion de publier, ici ou , toute une série d’articles plus ou moins nostalgiques pour les quinquagénaires qui ont connu ces temps lointains de l’émergence de « l’informatique ».
Aujourd’hui, le regard est porté sur la disquette, qui connut son heure de gloire durant les années 80 et 90, avant qu’un certain Steve Jobs décide d’en supprimer le lecteur lors de l’annonce du tout premier iMac, en 1998. Progressivement, la disquette fut remplacée par la clé USB.

Avec dans le meilleur des cas, une capacité de stockage limitée à 1,44 Mo (!!!), la disquette s’avèrerait évidement totalement dépassée de nos jours, où l’unité de bas semble être le Go… Pourtant, pendant longtemps, les logiciels vendus en boîte étaient inscrits sur un nombre plus ou moins élevé de disquettes que l’on insérait, l’une après l’autre –la création d’un jeu de sauvegarde était par ailleurs un processus relativement long et fastidieux…-, dans le lecteur afin d’installer une application. Ainsi, MacOS 8 était-il livré dans une boîte comprenant une vingtaine de disquettes -pour ma part, j’avais une version sur CD Rom, autre support désormais disparu…-.

Surprise aride…

… pour affronter les derniers frimas de l’hiver !

Février est finalement arrivé bien vite, mais sera plus long que l’an dernier ! Vous bénéficierez donc d’une journée supplémentaire pour profiter de cette surprise copieuse mais relativement aride. Pour ma part, j’aime beaucoup… C’est disponible ici.

ENJOY !

Playlist « Cadeaux de Noël », 2nde partie

Suite et fin de cette série, avec du lourd : 3 albums représentant 6 disques de 180 grammes ! On dépasse donc allègrement le kilo, et on doit en réalité tourner autour du double si l’on rajoute le poids des pochettes cartonnées… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Et puisque nous sommes dans les chiffres, le couvre-plateau que je souhaite changer par un autre anti-statique mesure en réalité 3 mm d’épaisseur, qu’on se le dise ! Le nouveau que j’ai commandé fera la même épaisseur –on en trouve de toutes les matières et de toutes les épaisseurs entre 1 et 3 mm, ce qui permet de respecter l’angle d’attaque vertical sans avoir à ajuster la hauteur du bras, d’autant que toutes les platines n’offrent pas cette possibilité-.
Comme nous sommes dimanche que tout le monde est réveillé, j’en profite pour suivre le conseil prodigué sur l’album des Cure : « This music has been mixed to be played loud so turn it up » !

Playlist « Cadeaux de Noel… », 1ère partie

Cette année, sous le sapin, les nains et leur soeur avaient déposé de quoi alimenter le cadeau qu’ils m’avaient offert lors du Noël précédent, et que j’avais commencé à modifier quelques mois plus tard. Je suis d’ailleurs en train d’envisager une autre source de modification à peu de frais –un couvre-plateau en liège pour remplacer celui en feutrine qui s’accroche assez systématiquement lorsqu’on enlève un disque sous l’effet de l’électricité statique-, il faut que je mesure l’épaisseur qui me sera nécessaire –a priori entre 1 et 2 mm-. J’en profite aujourd’hui, et si rien ne m’est inconnu, tout convient fort bien à mes oreilles délicates. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Tous ces LP sont très bien pressés, et trois d’entre eux sont en 180 grammes. Trésor de Janvier a préféré l’album de Lou Reed, parce que le disque, « trop classe » selon elle, est blanc…

40 ans et toutes ses dents !

C’est un anniversaire largement célébré et commenté ces derniers jours : le Mac a 40 ans, et, depuis 1984, bien des choses ont changé et évolué, se sont souvent alourdies,  mais le principe de base initié dès cette époque reste le même : un bureau virtuel où l’on collecte des feuilles et des objets  !
Si vous souhaitez vous amuser à remonter le temps et à tester un à un chaque système depuis la création de System 1, vous pouvez vous rendre sur ce site, très bien réalisé !
Quant à moi, j’ai débuté sur le Système 6 à la fin des années 80 –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, suis resté longtemps sur les systèmes 7 et 8 avant de passer, parmi les tout premiers, sur MacOS X. Je vous raconte tout cela sur cette page !

Playlist entre deux défis…Playlist

On garde les mêmes, mais on abonde… en écoutant certains des singles, ou SP –Short Playing, disques vinyles 2 titres d’un diamètre de 17 cm pour les moins de quarante ans qui n’ont pas connu cet objet– qui étaient sortis parallèlement aux cinq albums –LP, pour Long Playing-, ou un peu après présentés, lors des deux notules précédentes -la période couvre les années 1963 à 1968-.
La jungle des singles est encore plus indescriptible que celle des albums, chaque pays ayant des couplages parfois différents, sans même parler des pochettes, où c’est un grand n’importe quoi, les photos d’illustration n’étant pas toujours contemporaines de la date de parution d’un single. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand.

Playlist « Défi des dix ans » – 2

Poursuivons donc cette aventure débutée il y a peu de temps, avec cette deuxième playlist consacrée à l’écoute de tous les albums des Rolling Stones dans l’ordre chronologique de leur parution.
Les deux albums du jour, « Aftermath » –1966– et « Between The Buttons » –1967– sont écoutés intégralement dans leur version anglaise, complétée de l’écoute des titres sortis en sigles, qui figurent sur l’édition US : « Paint It, Black » sur « Aftermath », qui ne conserve par ailleurs que 11 titres sur 12 ; « Let’s Spend The Night Together » et « Ruby Tuesday » sur « Between The Buttons ». –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Rappelons que, généralement, les versions UK sont à privilégier aux versions US, et c’est encore plus vrai pour ces deux albums, qui sont les premiers à ne proposer que des chansons originales signées Jagger – Richards. Les musiciens ont achevé leur période « assimilatrice » des standards du blues et les déposent provisoirement de côté pour aborder leur première période créatrice, d’inspiration plus pop : ces deux albums s’inscrivent totalement dans le « Swinging London » ambiant propre à cette époque –c’est encore plus vrai pour « Between The Buttons »– et imposent complètement l’image de sales gosses misogynes qui collera longtemps à la peau des membres du groupe. C’est aussi sur ces albums que Brian Jones commence à délaisser peu à peu ses guitares pour prendre possession d’un instrumentarium varié et parfois exotique : sitar, accordéon, dulcimer, kazoo, trombone…

Les choses se précisent…

Ce soir, en rentrant, j’ai trouvé dans ma boîte à mail le courrier que vous pouvez découvrir en cliquant sur l’imagette pour la voir en plus grand.

Petit moment d’angoisse avant de découvrir le contenu des 9 pages de calcul reconstituant ma carrière… et, finalement, à quelques euros près, le calcul effectué par le service des retraites de l’État correspond aux projections les plus optimistes que j’avais envisagées en tenant compte des nouvelles modalités liées à la réforme des retraites votée l’an dernier : excellente nouvelle !

Pour l’instant, j’en suis encore à compter les mois, puis, dans quelques temps, une fois la majorité des taches que je me suis fixées avant l’été accomplies, je compterai les semaines, avant de commencer enfin le compte à rebours des jours qui me restent à travailler, au retour des congés d’été : ce seront mes dernières vacances d’actif !

Ensuite, je sombrerai dans l’oisiveté !

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