Playlist sonore et pas trébuchante
C’est une playlist assez sonore, presque tonitruante par moments, que j’ai choisie pour accompagner cette soirée !
-Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
C’est une playlist assez sonore, presque tonitruante par moments, que j’ai choisie pour accompagner cette soirée !
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… la nouvelle application Calypso, qui, paraît-il, doit permettre de remplacer – contourner – simuler directement sur l’ordinateur l’interface en ligne de WordPress. D’un part, parce que je n’ai pas eu le temps de m’en occuper, d’autre part parce que l’interface en ligne n’est pas aussi indigne que ce que les articles semblent en dire, et que je m’y retrouve assez bien en fait ! Enfin parce que c’est limité aux utilisateurs des sites directement hébergés chez wordpress.com !
Je n’ai pas testé non plus en profondeur CaptureOne Pro, le logiciel de derawtisation et de traitement photo installé depuis dimanche sur mon ordinateur, qui devrait être celui qui remplacera –pour moi tout au moins– Aperture quand ce dernier ne sera plus supporté par un hypothétique prochain système d’exploitation. Déjà, je n’ai pas fait de nouvelles photos depuis des lustres, mais ça devrait changer rapidement avec le Marché de Noël . Et puis, j’ai essayé un peu la chose, ça a l’air à la fois costaud, simple, mais pas tout-à-fait intuitif, ou, en tout cas, un peu éloigné de mes habitudes de travail. Cela étant, l’essayer, ce sera peut-être l’adopter ? -J’ai un peu testé DxO, très bien aussi mais encore plus complexe à mon sens, et Lightroom, sûrement très bien aussi, mais dot la politique de développement -travail en ligne- me semble peu sûre-.
C’est dimanche, et entre diverses occupations plus ou moins intéressantes, quelques lectures et deux sorties sous la pluie et dans le froid –bientôt la neige, qui est annoncée, à peine sortis de la fin de l’été ?-, cette petite playlist, variée et plutôt pêchue, permettra de finir agréablement la journée !
–Cliquer sur l’image, au format toujours aussi pratique dans le contexte d’un blog, pour la voir en plus grand-.
En guise de bonne nouvelle cependant : le Marché de Noël est malgré tout maintenu cette année, avec quelques restrictions « de sécurité », ce qui devrait me valoir quelques jolis week-ends dans les prochaines semaines 🙂 Dès samedi prochain, il sera inauguré officiellement… Et, d’ores et déjà, la ville rutile de guirlandes et autres décorations de Noël 🙂
A moi le vin chaud, la cervoise tiède, les odeurs de pain d’épice et les jolies photos !
J’ai ressorti ce matin une vieille chose que je n’avais plus écoutée depuis des lustres –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– : à dire vrai, les concerti pour violon de Paganini ne sont ni indignes, ni géniaux, mais proposent à la fois une écoute agréable à l’oreille et des difficultés techniques pour les doigts et l’archet absolument gigantesques.
L’orchestre se contente, le plus souvent, d’accompagner et de soutenir sans originalité remarquable –mais avec talent– le discours du violon.
Quant à ce disque, il est tout simplement magnifique et dépasse de très loin toute la concurrence personnellement connue dans ce répertoire –pas très fréquenté, il est vrai-. Comment avais-je pu l’oublier ?
Nicolo Paganini, dit « Le violon du Diable », était un virtuose exceptionnel, qui révolutionna la technique du violon au début du 19ème siècle, et s’amusait à épater la galerie avec ses compositions injouables par tout autre que lui, sachant soutenir l’attention du public par des trucs habiles : présentation de profil vêtu tout de moir -il était longiligne, d’une maigreur à faire peur et laissa pousser ses cheveux filasses assez longs-, cordes volontairement abimées pour se casser au milieu d’une oeuvre, l’obligeant à terminer sur trois, deux, voire une seule corde-s…
Il amassa ainsi une fortune considérable –la légende prétend qu’il gagna plusieurs fois son poids en or-, dilapidée en grande partie dans les casinos, sut vivre du mécénat grâce à une habile publicité et à son charisme, fréquenta quelques geôles pour des banqueroutes frauduleuses, et, de temps à autre, livra des compositions qui sont restées au répertoire : ses six concerti pour violon et surtout le deuxième, des caprices pour violon solo, mais également quelques pièces pour violon et guitare ou mandoline.
Il fut adulé de tous les compositeurs romantiques, et Liszt sut le prendre pour modèle pour développer la technique pianistique à partir de 1830.
En extrait, une pièce archi-célèbre, provenant de l’album mentionné, et où le triangle tient une place presqu’aussi importante que le violon ! ENJOY !
Une playlist qui se passe de commentaires superfétatoires ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Il s’agit-là des quatre premiers albums des Rolling Stones dans leur édition anglaise –il convient de privilégier systématiquement les éditions UK aux éditions US, beaucoup moins cohérentes-, écoutés dans l’ordre de leur parution entre 1964 et 1965.
A l’époque de la sortie du premier, la très sérieuse revue Gramophone le critiquait ainsi, dans la section « Jazz » du magazine : « They play a kind of negro music in a far more idiomatic way than the Beatles, and with lot more technical skills ». Soit : « Ils jouent un genre de « musique nègre » de manière beaucoup plus idiomatique que les Beatles, et avec beaucoup plus de compétences techniques ».
Ce qui n’est sans doute pas faux si on compare l’extrait ci-dessous avec une chanson du genre « Love me do », beaucoup plus édulcorée –et aux paroles sans aucun des arrière-plans vaguement salaces, pour l’époque, entendus ici-.
Petit à petit, le quotidien se réinstalle et reprend ses droits même pour mes oreilles, et malgré un emploi du temps chargé, et quelque peu chamboulé par les événements récents –voyage à Paris annulé en cette fin de semaine, par exemple, le salon du numérique auquel je devais participer étant reporté-.
Ce soir, une playlist qui crachote mais case de réelles beautés ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
C’est une belle leçon de solidarité et, même, de fraternité, qui nous a été apportée par les Anglais hier en fin de soirée –et le vrai événement dans l’événement, en fait, puisque la suite ne fut qu’anecdotique-. Qui eût pu croire, avant cela, que leurs magnifiques choeurs entameraient un jour –et de quelle manière ! En ce domaine, ils ont beaucoup à nous apprendre !– une Marseillaise aussi fervente que celle qu’ils ont livrée en signe d’amitié ?
Une vraie belle leçon d’humanité compatissante, bien plus appréciable en tout cas que le lamentable spectacle auquel s’adonnèrent certains de nos « représentants du peuple », hier à l’Assemblée : que l’opposition s’oppose, certes, mais avec intelligence, dignité et sans vociférations, ce serait tellement mieux !
Après une journée bien dense, y compris en déplacements relativement longs, une nouvelle playlist thématique, ce jour, consacrée aux musiques de film : il en est de vraiment très bien, quel que soit le genre envisagé. Et certains très grands compositeurs se sont prêtés au genre avec délectation. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Pour vous mettre l’eau à la bouche, deux petits extraits, ci-dessous :
• le premier provient de ce qui constitue l’une des plus belles musiques de film à mes oreilles –sans être grand spécialiste du genre, j’en connais quelques-unes d’assez près et je prête généralement une attention certaine à la qualité de la musique d’un film, qui en fait partie intégrante selon moi-;
• le second, beaucoup plus nerveux –et presqu’énervant, à tout dire, mais c’est fait exprès et cela sert vraiment la narration– a servi de support à une « fausse pub » assez drolatique –la vidéo subsiste en ligne– au début des années 2000.
Par ailleurs, saurez-vous associer ces deux extraits aux albums écoutés ?
11 novembre : commémorons comme il se doit ce jour, marquant, en 1918, la fin de l’immense boucherie qui ensanglanta l’Europe, beaucoup, et le reste du monde dans une moindre mesure. Si la période m’a toujours beaucoup intéressé, j’ai souvent eu du mal, pendant longtemps, à trouver des ouvrages vraiment remarquables et complets sur la période. C’est pourquoi, d’ailleurs, je ne retins pas ce sujet, en définitive, lors de la rédaction de mon mémoire pendant mes études d’histoire –ça, c’était il y a longtemps…– !
Ça a beaucoup changé désormais, et depuis quelques années, centenaire et préparation d’icelui obligent, de très beaux livres sont désormais sortis sur ce sujet.
En ce jour de commémoration, donc, c’est une playlist d’oeuvres composées pendant la guerre qui a occupé mes oreilles ce début de matinée, la confection d’un boeuf bourguignon aux épices de Noël –cannelle, anis étoilée, gingembre : un essai…– occupant mes mains par ailleurs 🙂 ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.