Playlist retour de vacances

Les retours de vacances, c’est toujours un peu fastidieux… Et c’est, chaque année, la même chose : vider les valises, ranger toutes les affaires, « dérawtiser » et classer les photos –ça, c’est plutôt agréable, et j’en ai finalement ramené assez peu cette année– trouver de quoi faire un repas alors qu’on a soigneusement vidé le frigo avant le départ… Bref, rien de bien réjouissant, d’autant que la perspective prochaine d’un retour au travail s’annonce à l’horizon…

Heureusement, j’ai quand même trouvé de quoi me réjouir les oreilles pour affronter ces perspectives ! Rien de bien nouveau sous le soleil, mais que du bonheur ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Playlist17082015

Et puis, pour préparer cette rentrée, il est temps d’envisager une mise à jour du blog, avec relooking en profondeur, ce qui risque de m’occuper un peu dans les prochains temps, pour peu que je trouve quelque chose qui me plaise…

Edit d’après une première tentative : j’ai essayé un truc, c’était pas mal mais assez fouillis quand même… Va falloir mettre les mains dans le cambouis pour peaufiner tout ça…

Retour de vacances

Et voilà, pour cette année, les vacances c’est déjà du passé ! Restent les souvenirs, excellents, et un plein de photos dont quelques-unes sont d’ores-et-déjà en ligne, ici.

Biere-DiablotinLes locaux sont très gentils, ils m’avaient réservé un accueil festif digne d’un diablotin en vacances, comme le montre cette petite photo –cliquer sur l’image pour la voir en grand-. La plus forte est vraiment trop forte à mon goût –près de 12° pour une bière, ça commence à faire beaucoup…-, mais la première, en boîte noire, est vraiment très bonne !

Sinon, petite maison accueillante, avec vue sur la mer –de loin-, bonne visibilité des côtes anglaises certains jours, gastronomie locale un peu roborative mais goûteuse, météo idéale : bref, de vraies vacances.

On a eu droit, en prime, à une mini-tempête, mais également à de gros coefficients de marée –jusqu’à 110-, permettant de découvrir de magnifiques et très étendues plages de sable fin, avec tous leurs coquillages et leurs jolis bateaux et même leurs cerfs-volants…

CoucherSoleil

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Oyez ! Bonnes gens, oyez !

Pour une petite quinzaine, le blog fait relâche ! Oreilles –un peu– en sommeil, aussi, mais yeux grand ouverts pour ramener de jolies photos –et lire quelques livres en retard– !

Vive les vacances !!!

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Surprise d’avant les vacances

NouveauLogoSurprises_DROITEJuste avant les vacances –départ vers la mer programmé samedi matin, le moins tard possible…-, une petite surprise sort de l’atelier, avec deux petits jours d’avance : elle est ici.

Comme d’habitude, la surprise de juillet est retirée au moment de la publication de celle-ci. Le sujet concerné est l’une de mes marottes, mais je n’en dirai pas plus… Ça pourra paître original, c’est plutôt surprenant et très agréable.

A vous, devoir de voir ! ENJOY !

Météo des vacances

Je n’aime pas les trop fortes chaleurs. J’aime bien les petites brises marines. Aussi, la météo des vacances, telle qu’elle est annoncée pour la quinzaine à venir, me convient tout-à-fait : pas trop chaud, un peu de vent, pas de grosse pluie, bref, que du bonheur !!!

Du coup, j’ai hâte d’y être… –Cliquer sur l’image pour la voir en grand-.

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Playlist « Deuxième chance », une suite

C’est une notule de Sardequin sur son blog qui m’a conduit à vouloir offrir une nouvelle chance à des disques qui, jusqu’à ce jour, me laissaient dubitatifs, ou déçu après leur découverte –parfois lointaine…-.  Cliquer sur l’image pour la voir en grand. Cela m’arrive périodiquement.

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On trouve donc, en vrac –avec quelques commentaires en vrac eux aussi…– :

• le « Sgt. Pepper’s lonely hearts club band » des Beatles : peut-être bien le disque le plus surfait de l’histoire de la pop music, en tout cas à mes oreilles. Je n’ai jamais compris l’aura dont bénéficiait ce disque depuis sa sortie, et je ne comprends toujours pas… Ça va de la pop agréable, naïve et gentille à des prémices de world music –j’aime beaucoup George Harrison, mais « Within’you, without you », c’est du dernier pénible…– en passant par des choses un peu plus rock mais assez moyennement exécutées –le titre éponyme-. Restent donc deux trucs de Lennon au-dessus du lot : « Lucy in the sky with diamonds » et, surtout, « A day in the life ». L’album est par ailleurs bien produit –mais pas mieux que le « Pet Sounds » des Beach Boys, par exemple, qui est d’une toute autre tenue musicale-, la pochette est jolie et le 33T offrait même des images à découper pour se forger son propre costume… C’est un bon disque, mais pas le grand disque que l’on attend eu égard aux commentaires dythirambiques qui l’accompagnent.
• New Order : « Best of ». New Order, c’est tout simplement Joy Division sans Ian Curtis, trop tôt disparu… Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé ? On change en tout cas complètement d’ambiance, et, pour tout dire : c’est bien, mais très loin de Joy Division. Forcément, quand on aime les premiers -groupe majeur de la fin des 70’s-, on peut être déçu… D’autres groupes ont produit le même type de pop fraîche et dansante au travers de compositions plus intéressantes.
• Wagner : « Die Walküre », James Levine. Des 27 versions de l’oeuvre dans ma discothèque –recomptage effectué ce jour…-, c’est l’une des deux ou trois versions que j’ai toujours eu du mal à apprécier. Qu’on ne s’y trompe pas, tout est plutôt très bien : bel orchestre, chanteurs plutôt adéquats, belle prise de son. Mais l’ensemble est d’une grande placidité et tout cela est tellement étale qu’on n’y trouve guère de passion ou de tension pour cette oeuvre magnifique. Je préfère de très loin des version plus imparfaites, mais plus engagées.
• Led Zeppelin : « Presence ». J’ai toujours eu un peu de mal avec le groupe, qui peut rapidement tourner à l’ostentation un peu vaine. Quand, en plus, les compositions peinent à égaler celles d’antan…

Quand le deuxième est le premier

JournalLMArticle intéressant à lire ici, même si la méthodologie de cette enquête est assez contestable et l’échantillon statistique relativement mince –et largement orienté dès le départ– pour en tirer une loi aussi générale, d’autant que les contre-exemples sont plus nombreux que la règle le voudrait !

Mais on est en période de vacances, alors on déconne décode comme on peut  :mrgreen:ils proposent le plus souvent des analyses très pertinentes, relativement approfondies  et bien argumentées– ! Et on a les lectures qu’on veut, aussi…

Playlist d’une journée commencée tard

Pour une fois durant ces congés, je me suis levé tard, c’est-à-dire après 7:30, mais avant 8:00 ! Depuis, j’en profite pour rafraîchir la maison –et mes idées pour me concocter une petite playlist plutôt agréable à mes oreilles… –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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Et comme je suis de bonne humeur, je vous propose de découvrir cette rareté dans cette forme –l’oeuvre étant fort connue par ailleurs-. ENJOY ! Il s’agit maintenant, pour vous, de définir dans quelle langue c’est chanté  🙄 !

Edit : pour vous aider, et pour que vous puissiez même chanter avec la chorale, je vous offre les paroles  :mrgreen:

Oi Suomi, katso, Sinun päiväs koittaa,
yön uhka karkoitettu on jo pois,
ja aamun kiuru kirkkaudessa soittaa
kuin itse taivahan kansi sois.
Yön vallat aamun valkeus jo voittaa,
sun päiväs koittaa, oi synnyinmaa.

Oi nouse, Suomi, nosta korkealle
pääs seppälöimä suurten muistojen,
oi nouse, Suomi, näytit maailmalle
sä että karkoitit orjuuden
ja ettet taipunut sä sorron alle,
on aamus alkanut, synnyinmaa.

Auscultons une discothèque

Et hop, une mise en graphique pour commencer –cliquer sur l’image pour la voir en grand-.

DiscoAuscultation

Quelques commentaires :

• comme attendu, Beethoven puis Wagner sont largement en tête en classique, et The Rolling Stones et The Cure en pop-rock : quelle surprise !
• plus inattendu : Mozart est en troisième position en classique ! Le bougre a beaucoup composé –plus de 600 oeuvres répertoriées-, et il suffit de quelques intégrales des symphonies et des concerts pour piano pour faire croître rapidement la courbe… Mahler et Bruckner, à l’inverse,  sont de piètres producteurs ! Quant à Wagner et ses dix opéras effectivement inscrits au grand répertoire…
• cet ensemble représente exactement 50% de ma discothèque –hors récitals, classés à part– à ce jour –et le fichier est quasiment à jour…- : j’aurai voulu le faire exprès que je ne m’y serais pas pris autrement !
• la prise en compte des récitals pourrait changer un peu ce classement : on y retrouve beaucoup de Liszt –chez les pianistes– et de Schubert –chez les chanteurs-.

Une autre page de petite histoire

L’année dernière, à peu près à la même époque, je vous parlais de l’histoire en jaune, qui permettait de reconstruire un peu de la saga de l’enregistrement audio. Aujourd’hui, je vous propose quelques petites histoires en lien avec les premiers enregistrements réellement Hi-Fi, au sortir de la seconde guerre mondiale.

ffrrdeccaDeux phénomènes majeurs permirent de passer progressivement de l’ère du 78T à celle du 33T : • d’une part, l’enregistrement sur bandes magnétiques, mis en oeuvre très tôt en Allemagne –la qualité des retransmissions radio allemande interpellait les Européens des pays alentours et, surtout, la bande magnétique permit d’enregistrer les oeuvres d’un seul tenant, et non pas par « bouts de 4 minutes »-; d’autre part, l’amélioration des microphones, qui est due aux Anglais, en lien direct avec les systèmes acoustiques de détection des sous-marins ennemis pendant la guerre : cette technologie fut reprise par la marque anglaise Decca dès 1944, et popularisée sous le terme de « ffrr », soit full frequency range recordings.

ffrrdeccaLPLe premier enregistrement répondant quasiment aux normes Hifienregistrement encore mono, certes, mais proposant une bande passante considérablement élargie et s’étendant de 80 à 14000 Hz-, très supérieur aux enregistrements réalisés par la concurrence de l’époque, eut lieu à Londres en 1945 : il s’agit de la 5ème symphonie de Tchaikovsky par le National Symphony Orchestra, sous la direction de Sidney Beer. Vous pouvez en écouter des extraits, pour vous rendre compte de la qualité sonore obtenue eu égard aux standards moyens de l’époque –le disque est cependant hors catalogue depuis longtemps, et difficilement trouvable, et son intérêt artistique est plutôt mineur-.

MilsteinWalterUne fois cette technologie appropriée, il fallait encore passer du 78T –4 minutes par face– au 33T « long player », dit LP. C’est grâce à l’enregistrement sur bandes magnétiques que ce passage fut considérablement simplifié, puisque le montage ne posait plus, désormais, de problèmes insurmontables. Le premier 33T LP / 30cm de l’histoire du disque fut réalisé par Columbia records. Il s’agit du concerto pour violon de Mendelssohn, dans la version de Nathan Milstein dirigé par Bruno Walter. Hors classique, le tout premier LP produit était « The voice of Frank Sinatra ».

Il va sans dire que, rapidement, l’ensemble du catalogue 78T commença à disparaître, au profit du nouveau standard infiniment plus pratique proposé par le LP.

C’est alors que l’histoire « moderne » de l’enregistrement audio put commencer.

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